On a aussi moins l’aspect « cimes plates » sous cet angle.
Perso je préfère.
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Merci @LeeOw, @bonsaiphil, @Fabizen, @Clem, @peuceb et @Clement34 pour vos commentaires.
Le défi, le projet que je me suis imposé il y a une tentaine d’années trouve là, peu ou prou, son aboutissement et ses limites.
Deux options pour la suite :
- Je garde la face actuelle en jouant légèrement sur l’inclinaison et la rotation.
Face actuelle. Avec une petite rotation et inclinaison.
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Inclinaison plus importante.
Cela nécessite de redessiner les masses foliaires mais c’est un jeu d’enfant, l’Orme du Japon se laissant sculpter facilement.
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2ème option :
Je choisis un autre angle de vision.
Celui-ci a ma préférence avec l'arbre arrière passant à gauche de la composition.
Là aussi, les masses foliaires devront être retravailler.
1ère option : je reste fidèle au projet initial avec quelques ajustements.
2ème option : nouveau projet, nouveau bonsaï.
Quoi qu’il en soit, les troncs ne posent aucun souci ; ils sont matures et préservés.
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NB :
Il me faut présenter toutes mes excuses @bonsaiphil car les livres qui m’ont servi à caler l"arbre sont des plus précieux 
La 2eme option me semble la plus judicieuse pour aboutir cette composition.
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bonjour, la 2eme option est aussi pour moi ce qui est le plus valorisant. L’écorce est tres belle.
Ces remaniements sont souvent nécessaires à certains stades. Tes arbres gagneront en simplicité
La référence du bouquin de gauche (Heisenberg) a stimulé mon imagination.
Sais-tu que ta composition d’ormes est un Chat de Schrödinger ?
Ceux qui ont peu ou pas de connaissances de mécanique quantique peuvent arrêter à ce stade la lecture de ce message.
Comme on le sait, le chat de Schrödinger se trouve simultanément dans deux états tant qu’on n’a pas ouvert la boite : il est à la fois mort et vivant.
Ton arbre possède intrinsèquement deux angles de vues optimaux. L’actuelle face avant et celle que tu nous a présentée récemment ci-dessus. Il est par essence la combinaison de ces deux états, comme le chat, comme une particule à deux états de spin.
Observes-tu le chat en soulevant le couvercle, mesures-tu le spin de notre particule et c’est l’effondrement de leur fonction d’onde. Toute « mesure » – l’observation est une mesure — projette le système dans un seul des deux états potentiels. Rempotes-tu ton arbre dans un pot ovale ou rectangulaire et voilà que la superposition des deux angles possibles s’effondre. Tu vas forcer l’observation La différence, c’est que là où le processus est non prévisible en physique, c’est toi qui décides une des deux vues pour ton arbre. En somme tu es dieu.
Pour éviter l’effondrement de la fonction d’onde et conserver la combinaison des deux angles, la recette serait de ne pas « mesurer », c’est à dire ne pas forcer un angle d’observation. Ce serait alors le pot circulaire. Je vois d’ici des moues dubitatives. Pour des raisons esthétiques, cette idée sera sans doute rejetée, non sans raisons.
Mon message n’était pas tout à fait innocent mais j’avoue la métaphore audacieuse, judicieuse et délicieuse. J’y reviens.
Vous avez tous choisi la 2ème option et je la trouve tout aussi intéressante que vous.
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Le choix de la communauté. Avec l'arbre arrière à droite;
moins pertinent.
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Après avoir trourné autour un long moment (le rempotage a été plusieurs fois reporté), j’ai décidé de ne pas trancher entre les deux options envisagées.
Les deux options qui nécessitent, pour chacune d'entre elles, quelques ajustements.
Le choix d’un rempotage dans un pot rond s’est alors imposé à moi, et, moyennant là aussi quelques ajustements, ,j’espère pouvoir conserver ces deux visions en une seule composition.
RV donc l’année prochaine.
J’ai opté pour un pot joliment façonné par Greg-Ceramics qui a le grand avantage de ne pas présenter de pieds, ce qui permet de le tourner dans tous les sens sans trahir les règles de la présentation.
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Et le chat est sauvé ! 
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salut, ce serait le pot définitif, ou un pot de transition ? perso, je le verrais plutôt dans un pot ovale, avec pieds, pour renforcer l’impression de paysage de plaine. 
Mais ça impliquerait de choisir une face.
Le concept de Walter, de ne pas choisir de face avant offre plus de liberté de choix de face, mais est alors plus restrictif niveau pot, puisqu’on doit se limiter à des pots ronds ou lauzes plates et rondes 
Je suis à la fois bouche bée et épaté !
Là où cette composition était promise à une évolution tranquille, tu lui ouvres de nouvelles perspectives. C’est du courage !
On voit bien que proposer plusieurs visions induit un nouveau travail plus délicat,encore plus complexe que celui qui consiste à développer une seule face.
Possédant quelques trop rares arbres qui peuvent être vus sur plus d’un angle de vision, je t’assure que le plaisir de contempler ta composition sous plusieurs angles sera énorme.
Le pot est superbe. Il faudra peut être considérer sa hauteur à l’usage, envisager de la réduire après quelques temps. A voit dans quelques petites années.
Quoiqu’il en soit, BRAVO !
@Clem, @bonsaiphil :
Salut Clem.
C’est au mois de Juin, en taillant l’arbre, que j’ai finalement décidé de tenter l’aventure et de garder les deux angles de vision dans une même composition.
Evidemment, le choix d’un pot rond s’impose dans ces conditions.
Je ne sais pas si le pot que j’ai ciblé sera le « définitif » mais il coche toutes les case à savoir les dimensions, la stabilité, la couleur et la texture. Dernier atout l’absence de pied.
La hauteur du pot est de 6,5 cm et le diamètre du plus gros des troncs est de 4 cm à la base.
Reste à passer l’examen d’après rempotage !
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