Bonjour, un nouveau sujet pour moi avec une espere qui m’interesse grandement. Un Sainte Lucie prélevè au printemps 2024.
Au prélèvement
En novembre 2024, apres la reprise, il a bien poussé (1m50 de pousse mais ce qui semble normal sur cette espece)
Et puis apres le travail du bois mort.
A suivre…
Un prunus mahaleb avec une écorce intègre ! C’est rare et c’est très bien.
Pas de shari ou de bois mort…pour l’instant.
Mais à un moment il faudra bien s’occuper des gros moignons…
Je viens d’agrandir la dernière image. et j’ai vu ! ZUT
BonsaïPhil, J’ai eu la même pensée que toi… Sauf que le « seul » intérêt de l’espèce, ça reste souvent le bois mort…
Je vois d’autres intérêts :
Reprise facile
Croissance rapide
Petites feuilles
Fleurs agréables à regarder
Fruits agréables à regarder
Bonne odeur
Belle écorce noire craquelée
Super contraste vivant et bois mort
Culture facile, se plaît aussi bien au soleil qu’à l’ombre.
Résiste au froid.
Se trouve facilement.
Me donne la possibilité de contredire ceux qui la dénigrent
Cette odeur de miel ! A vous rendre dingue !
C’est une espèce phare amha
« La dénigre » ?
Le Sabi,tu écris pour moi ?
Si c’est le cas : Objection vôtre honneur !
J’ai mis des guillemets. 
C’est vrai que les nuances… 
Le futur de celui-là s’annonce bien !
ça a l’air très bien fait, n’hésite pas à prendre tes photos à la bonne hauteur (donc pas en vue plongeante) pour qu’on puisse bien voir le résultat 
+1
perso je la mets dans le top5 des meilleurs caducs en Bonsai pour toutes les raisons que tu as listées.
Moi aussi Clem.
Quel serait ton top 5 en caducs justement ?
Cordialement
Le Sabi
merci pour vos retours, j’aime beaucoup cette espece et cela me rapproche des feuillus que j’ai pu travailler avant.
le travail s’est fait aux ciseaux à bois, c’est tres agréable à travailler. Pour l’instant je vais le laisser évoluer pour qu’il me donne des indications et je reviendrais dessus plus tard
Une photo pendant le travail mais pas tres bonne
ça varie selon les personnes car un top5 est assez restrictif.
Mais en Top5, perso, je mets en 1ere place l’acer palmatum, ensuite, dans les 4 places restantes, je mets sainte lulu, charme (commun, coréen etc), orme (commun ou parviflora yatsubusa = variété magnifique à feuilles minuscules et écorce de chêne).
Pour la dernière place, j’hésite entre le burger, l’aubépine et le grenadier nain (qui fait des fleurs, des fruits et plein de veines décoratives sur le tronc/branches)
Et toi ?
je trouve que c’est du bon boulot avec beaucoup de reliefs et de creux 
Super début de projet pour cette lulu’ @fabrice , ça promet un beau bois mort à l’avenir, et restera plus qu’a construire un bel arbre dans le futur .
Tu as déjà une idée de comment il sera ? dessin, virtu ?
Je suivrai son évolution avec attention
Bonjour @LeeOw ,
pas d’idée précise de virtuel pour l’instant, en faire un st lucie et pas un pin c’est sur Donc laisser pousser vers le haut et le laisser faire tout seul.
Ce weekend pluvieux j’ai profité de bois de palette pour faire une caisse et le rempoter, ainsi que travailler le bois de la coupe du haut.
Maintenant j’attends le printemps.
Prélevé (=rempoté hard) au printemps 2024 et re-rempoté au printemps 2025 ? 
Perso j’attends au moins 2 ans après un rempotage pour remettre le couvert, en particulier si le rempotage a été « hard » (volume racinaire restant faible)… Mais c’est vrai que le Sainte-Lucie est puissant 
merci pour ton retour, c’est vrai que je n’ai pas assez d’expérience sur le St Lucie. En fait le pot était trop lourd et pas facile à transporter, d’ailleurs dans la caisse il y a même plus de substrat mais c’est plus pratique.
Je n’ai pas touché au racine, l’avantage de la pumice c’est justement que pas de difficulté pour le rempotage, le pain de racine est venu et je l’ai mis tel quel.
Maintenant je peux attendre plus tard pour le prochain rempotage
retaille des pousses ces derniers jours. Les bourgeons ont commencé à montrer le bout de leur nez.
Le bois mort commence aussi à travailler et à se fendre
Le Sainte Lucie et le buis, certainement les deux variétés de feuillus autochtones les plus aptes à être travaillées en Bonsaï.
