Sourire. Philippe, je t’invite à le parcourir ce sujet, surtout le début,et tu verras qu’il n’est pas « centré sur une personne » mais bien sûr les arbres de nombre de personne qui ont la même provenance et la même histoire au départ. Comment ils ont évolué. Et, ce faisant, tu aurais toutes les réponses à tes questions, sur l’historique, et le devenir de ce Cornus mas.
Et, c’est bien un cornouiller mâle, qui me semblait il fait parti de l’espèce ! Et je demandais des infos specifiques sur l’association espèce cornus et pot: quelles sont les couleurs et les formes de pots qui s’accordent le mieux avec cette espèce.
Faut il comprendre que cela te dérange qu’il y ait des photos de cornus mas, qui ne viennent pas de toi sur ce post?
Et pour rappeler donc l’historique de cet arbre, il a été prélevé en Corrèze du côté de Monceau sur Dordogne dans les années 76/78. Puis cultivé en pleine terre jusqu’en 1990, avec déjà l’intention du bonsaï. Abandonné de 90 à 1998, il a été retravaillé en été 1998, rabattage sévère et transplanté dans le lot, en 1999. De nouveau pleine terre. Mis en pot de culture et travail du bois mort en 2003. Dans le lot, aussi, il y a pas mal de cornus mas, sur le causse de Gramat notamment. Il a déménagé dans l’Hérault fin 2009. Dans l’Hérault, aussi, beaucoup de cornouiller mâle dans les gorges et sur les plateaux surplombant la rivière.
En 2013, il a de nouveau déménagé dans les Pyrénées orientales. Vécu deux ans en bas dans la vallée du Roussillon à st Estève, avant de venir s’installer ici un peu plus dans la montagne. (650m d’altitude)
Peu d’entretien donc dernières années. Goutte à goutte, une taille par an, après floraison qui a toujours été timide encore.
Et donc,là, en 2018, il cherche son premier pot … Son Bon.