Ce que l’on m’a appris et je me renseignerai davantage avec ton article, c’est qu’il n’est pas conseillé d’engraisser un arbre malade car cela, « sucre » ou rend la sève plus attrayante pour les parasites, comme les pucerons, cochenilles etc.
Dans ce cas je dirai que ça a du sens, comme souvent ils s’attaquent aux arbres faible de prime abord.
Concernant les champignons ou bactéries, est ce un facteur ?
Car finalement, ils ont des incidences sur la santé, la croissance d’une plante etc, mais quel sont leur supports ?
Dans l’exemple du pain qui est mon métier, les levures et bactéries leur supports est le glucose principalement ou le maltose pour le transformer en CO2 et alcool.
Dans le cas d’un champignon pathogène, comme la rouille grillagée chez le junip, par exemple, est ce un facteur qui pourrait éventuellement, impacter l’attaque de ce dernier ? Dans le cas d’un plant déjà faible, bien sûr.
Car finalement, que consomme ces champignons ?
Vont ils directement pomper les ressources de l’arbre ? Sucre etc ? Et comme celui ci n’a plus rien de dispo, il fini par en mourir ?
Question con peut être, mais j’avoue que parfois, c’est un domaine où je m’y perd un peu.
Je suis d’avis que le l’arbre prendra ce qu’il veut et j’aurais tendance à l’engraisser, tout en lui apportant des choses pour l’aider à se défendre et/ou se remettre, traitement ciblé si besoin, tonus V etc.
Mais finalement, n’a t-il pas un effet indirect, dans certains cas de figure ? C’est purement une question, pour échanger.