J’ai fait comme toi une fois… la branche a cassée 
Salut bonsaiphil,
Je n’ai jamais pratiqué cette technique mais j’ai eu l’occasion d’observer des branches arrachées sur chêne en forêt domaniale.
Je pense que tu ne seras pas déçu et que la cicatrisation, forcément irrégulière, sera très naturelle.
Comme cette branche est proche de la surface du substrat, assure toi qu’il n’y ai pas d’eau qui stagne à la base du bois mort.
Déjà utilisé également cette technique mais avec une petite variante en réalisant une petite incision en dessous de la branche avant de casser. L’avantage c’est que du coup tu arrives à avoir ce que j’appelle un « fantôme de branche » donc plus de jin mais une belle cicatrice creuse qui suit les fibres naturelles sur le tronc. Bon des fois ça fonctionne et des fois non 
mais ce qui est sûr c’est qu’en faisant comme ça avec le temps tu auras un résultat plus naturel.
En dessous ??
Tu voulais sans dire « au-dessus » , non ?
Comme dans ce schéma
Je pensais aussi devoir initier l’arrachage avec une entaille. Mais en appuyant sur la branche j’ai constaté qu’elle cédait. J’ai pu faire l’économie de l’entaille qui laisse parfois la trace du ciseau à bois ou du tournevis.
Vaut-il mieux obtenir un fantôme de branche (en creux) ou un Jin comme ici ? Je ne sais pas, a priori je n’ai pas de préférence…
Obtenir un joli fantôme de branche, bien creux, fonctionne très bien sur le hêtre
On voit bien l’entaille initiale faite dans ce cas à la scie vu la puissance de la branche qui était à arracher.
[EDIT} Je précise que le hêtre ci-dessus réside en forêt. Il était pressenti pour être prélevé et cela ne s’est jamais fait.
Bonjour, pour les jin ou pour les ‹ fantomes › de branches, cela depend en gros en fonction de l’espece. Certaines font des branches plutot creuses d’autres plutot des jins. Observe les especes dans la nature et tu le verras.
Bonne journée.
Ce chêne pubescent a débourré en force.
Il suffit de ne pas y toucher avant le printemps, que la réponse est généreuse.
Prises de vues du 30 Avril dernier avant toute taille.
Vues frontales
Vues latérales
Je ne suis pas sûr de laisser le jin « fantôme de branche » suite à l’arrachage. Je le trouve plutôt insignifiant.
Bon, pour l’instant je laisse tel quel. Ce petit zizi ne mange pas de pain.
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Rien ne vaut une bonne journée de pluie pour amener ses arbres chez le coiffeur.
Ce chêne pubescent n’a pas arrêté de pousser depuis un mois quand je donnais les dernières nouvelles.
Rester passif plus longtemps aurait pu mettre en péril la structure de l’arbre, certaines branches, en particulier dans le sommet, pourraient accroître leur diamètre à l’excès.
Côte à côte les vues frontales avant et après les ciseaux
Volume de feuillage coupé
Vue après taille de l’autre vue frontale
Les deux vues latérales qui montrent la petite révérence de la tête vers le spectateur se tenant devant
Je mentionnais dans cet article sur mon chêne pédonculé, le retard au jaunissement de son cousin le chêne pubescent (Quercus pubescens) qui fait l’objet de ce sujet.
Je publie donc ci-dessous quelques clichés de mon chêne pubescent pris à un jour d’intervalle avec le premier. La différence est significative.
En vues frontales
Outre la taille en vert du mois de mai (voir message précédent), cet arbre a été taillé une seconde fois début juillet.
En vue de profil
Cet arbre n’a subit aucune nuisance durant cette saison passée. Pas de galles, pas de cochenilles, pas d’oïdium, pas de limaces des feuilles.
Je touche du bois.
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Mon chêne pubescent (Quercus pubescens) fête cette année ses dix ans de culture. Dix années depuis son prélèvement.
Cette année, je trouve qu’il commence à avoir une allure de chêne.
Prises de vue qui datent d’une semaine
Les vues frontales
Au printemps 2026, je pense lui offrir une poterie de grès. Je sais que ses racines supporteront des dimensions en rapport avec sa taille.
Vues latérales
Ces prises de vues ont été effectuées après deux interventions depuis le début de l’année sur la partie aérienne.
Une suppression des bourgeons terminaux début avril
Une taille en vert, fin avril
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