Œuvres,Conception,Art et Symboles

Quand on conçoit une œuvre, il y a souvent quelque chose que l’on désire mettre en évidence.c’est le thème, le sujet.

Différents éléments peuvent être utilisés pour remplir des fonctions différentes , la fonction symbolique par ex.

Des principes de composition peuvent aussi être utilisés comme la triangulation par ex, un élément au premier plan,un autre au second plan qui permet d’avoir un triangle.Le but de l’élément au second plan étant de souligner, de renforcer son collègue qui lui se trouve sur le devant , ou sur le derrière c’est selon , de la scène par le jeu des contrastes par ex.Un dialogue existe entre eux d’une certaine manière.Ils font parti du tout qu’est l’œuvre,de son unité.

Un truc non négligeable étant aussi l’équilibre certains parlent d’harmonie.

On peut aussi faire appelle à la notion de cohérence.

L’élément du premier plan comme en photo par ex peut être de faire rentrer le regard dans celle-ci.On peut aussi s’appuyer sur des lignes de forces, des points cruciaux, des fractions…

Une œuvre se conçoit, y a l’ingénierie de la création, inné pour certains, apprise pour d’autres peu importe .La finalité étant souvent de donner corps à une idée par le biais de cette langue qu’est l’art, expression somme toute personnelle mais expression.

Beaucoup d’œuvres d’art portent en elles des symboles.cette notion est universelle.

Une fonction symbolique peut être remplie de manières différentes selon le choix de l’auteur, il a à sa disposition tout un panel de possibilités.

il existe pleins d’ouvrages qui expliquent, qui analysent bien des œuvres,ils mettent souvent en évidence les symboles portées par celles-ci en leur sein.

Celle ci est importante pour nous , nous sommes entourés, fait par des symboles.

L’art est universel, rassembleur, c’est une langue commune à tous, compréhensible pas tous sans avoir d’alphabet.

C’est quelque chose qui aide l’individu à se construire, à être, à vivre, et à avoir des émotions.C’est une source de joies importantes, il n’est pas porteur d’affects triste même si parfois il peut donner l’illusion que mais non…il est aussi porteur d’une éthique.Un truc non essentiel pour certains et vital pour d’autres.

L’œuvre pouvant être la présentation, le kazari si on considère, si on fait l’hypothèse que l’espace proposé pour celle-ci, est une page blanche offerte à la création.Une sorte de terrain de jeu que l’on a à sa disposition.

Si on considère le pb suivant, si c’est ça qu’on souhaite faire, comment évoquer le temps, la saisonnalité, si on se place dans ce cadre là, quelles réponses, quelles solutions peut -on apporter à ce pb là ? comment peut on traiter cette symbolique ?
On peut en choisir d’autres mais si c’est celle ci qu’on choisit, que l’on considère et qu’on souhaite évoquer.

D’est en ouest au fil de notre histoire, par des individus différents, deux forces fondamentales ont été mises en évidence, ça se recoupe, il y a convergence d’un point de vue statistique : la joie et l’amour, de bien belles énergies non fossiles, renouvelables et inépuisables, nécessitant peu de ressources, de revenus voir aucun des deux.Les plus petit commun dénominateur, l’essentiel en somme, ils nous sont aussi nécessaires que l’o2 comme la vie l’est aussi tout comme la mort.

Une œuvre d’art quelque part mais où ? est aussi une sorte d’ objet mathématique,conceptuel, un objet scientifique , il faut qu’on lui prête sans lui la rendre une certaine attention.

Au cours de son activité Grothendieck voyait des paysages quand il faisait ces recherches sur les topos au pays des mathématiques , il a peut être croisé un bonsai au cours de ces déambulations allez donc savoir, avec sa vision il voyait la nature.Preuve en ait que nous ne voyons pas tous le monde de la même façon tout comme deux individus peuvent voir une même couleur de façon totalement différente différente.Nous avons pas tous le même regard et le regard portait sur le monde donne une idée de la nature et de la couleur de celui , celle qui le porte.

Je pense que vous l’aurez compris pour ma part je vois le monde de façon mathématique, c’est ainsi, c’est un mode de vision qui a la chance la malchance d’être objectif car scientifique et non pollué, tout va par paire.l’un ne peut exister sans l’autre et inversement.C’est la loi des paradoxes, ils ne sont pas forcément othodoxe ou ortho normé.

Savoir être cartésien, non cartésien, savoir être le tout et le rien , être l’unité.être tout court.

Pour récolter un jour…il faut semer, ne pas négliger son jardin. c’est l’art de la culture.

remarque : parmi nos modes de raisonnement, le mode raisonner par analogie a été identifié.On peut l’utiliser dans divers contextes , bien différents les uns des autres.On peut user de la métaphore, de l’allée aux gorilles de différents outils que l’on aura pris soin de bien ranger dans la petite caisse à outil qu’on logera avec précautions dans son petit balluchon cortical, le temps du trajet de notre petite et maigre existence charnelle.

« Il ne faut pas apprendre à écrire mais à voir. Écrire est une conséquence. »
Lettres à l’amie inventée (1953)

Titi disait en quelque sorte qu’il fallait voir avec le coeur, il n’avait pas tort tout comme il avait raison pour les ombres dont on pourrait faire l’éloge sans être dans la loge comme quelqu’un la fait pour ces toilettes.

Une remarque en apparté , je ne suis pas favorable à la notion de prix car elle induit la culture de l’esprit de compétition, de l’individualisme au détriment de celui de la collaboration du collectif.

plus on en sait, moins on en sait, ignorant je suis c’est pas grave par contre je sais que je le suis et ce n’est pas quantité négligeable ou à négliger.

Constuction , pas de destruction, être une somme, une intégrale, une pile de légos,assemblés les uns ou autre, en vaillant à ne pas s’ enfemer .https://youtu.be/L1ZNf--PGE8?si=m_vO_EJ_ZIXltrxF

on peut remplacer une plante par … ou … par contre il faut pas tomber dans le kitch, la caricature, la posture.

La symbolique de l’arbre chaque membre étant une branche, une racine ou un savoir, une discipline.
1002008-Léonard_de_Vinci_étude

il faut savoir dépasser l’objet physique tendre vers l’objet conceptuel, car le concept est l’origine de celui-ci.L’art du bonsai est aussi un art philosophique, une sorte de sport…un bonsai est un concept fait au forceps ou non .un objet mathématique, un ensemble de symboles.une intégrale multiple de dim n ,dont une somme d’instants, de gestes, de mm, de feuilles ou d’aiguilles, de lignes, de points focaux ou non .Tout comme non par anologie commutative ou non .Une sorte de topo par ex, une enveloppe, une idée qui s’est concrétisée qui a pris vie et forme.

unifier, condenser par ex l’art, la science, tout avoir une vision globale,une vision systémique.

etre petit grand, s’intéresser au mico au macro à tout , tenir compte de tout dont autrui, l’autre qu’on rejette trop souvent pour ça ou ces différences.

le dernier livre de jp, autre matheux préfacé par …,

Autre symbol

pastel ce jour,

parfois, c’est plus ça, une œuvre d’art vivante en somme comme un bonsai , et on vit dedans, nous en faisons partie intégrante, on a même des incidences sur celle ci ,

Essayez, expérimentez, observez, tirez les enseignements, faites…

Bonne journée.

ps 1 : en fait je voulais tout virer tout mettre à la poubelle, tirer la chasse, là je peux plus du coup je fais autrement, j’ai avisé avec ou sans un aviso.

ps2 : pub mode on avec des amis, on a crée ceci, on est open sans être un bar ni sectaire,ça intéresse pas grd monde mais ça existe, l’idée c’est donner à voir, Redirecting… mode off.

petit complément a1 algébrique de son état mathématique enfin comme d’hab une p’tite tartine de confiture de lettres et de mots…
"
In Fact

L’art du bonsai est un art philosophique , une sorte de philosophie appliquée, des math appliquées, de la science appliquée par le biais de la créativité,grâce à ces semences que sont les idées.Que l’on le veuille ou non, c’est ainsi.Il est universel, il repose sur des concepts, des fondements, des fondations.C’est une langue sans alphabet qui est compréhensible par tous , c’est aussi pour cela qu’il dure que l’art bien que dur en sachant être doux dure.C’est un absolu, un invariant, il porte en lui ces aspects là, ces fruits et ces graines.Celui ci est une voie parmi d’autre un ex de voie à suivre ou non, y a souvent des portes sur les voies…

L’art permet de donner vie aux idées, il permet en les habillant de les rendre perceptible par l’ensemble de nos sens, il fait sens sans jamais faire de contresens.

C’est pour cette raison que G.Deleuze s’est intéressé à la peinture, cours qui sont d’ailleurs accessible à qui veut les entendre comme d’autres d’ailleurs, quelle belle voie, une voix qui manque, qui vous emporte, comme d’autres ou des rires peuvent manquer.

Par exemple, pourquoi « Pourquoi par ex ? » Pourriez vous me dire. Parce que l’éducation, l’apprentissage se fait par le biais de la notion d’exemple, c’est-à-dire de choses que l’on donne à voir, des éléments concrets et non abstraits. Notion capitale, essentielle pour comprendre, apprendre, évoluer, progresser, avancer, marcher, grandir.Un bonsai, une œuvre est un exemple, une démonstration de dimensions finies.

J’ai croisé y a longtemps un style qui l’air de rien en avait,il avait du chien comme on dit sans aboyer pour faire du bruit lui, le bruit on finit par plus l’entendre, on s’y habitue ce n’est pas bon d’ailleurs.Celui du radeau, il a du caractère, de la personnalité sans en avoir l’air, un truc en lui , sa particularité élémentaire, sa singularité. J’ai rangé ça dans ma petite boite à idées, ma petite caboche que je ballade comme un baluchon qu’il y ait un bal à Luchon ou pas,sur des routes qui ne sont pas que de bohèmes avec ou sans rapsodie puis un jour tic tac la tac tic , elle est sortie du chapeau, de sa boite, sans doute voulez telle prendre l’air, respirer un peu ou voir le jour de plus près.

J’ai compris qu’il était un style très expressif, un beau trait qu’on pouvait avoir intérêt à utiliser comme moyen pour exprimer un truc et faire naitre des trucs, comme des émotions il y avait comme souvent dans le trait bien des possibilités et des potentialités à explorer , à employer et à utiliser, le trait est riche de ce qu’il est de ce qu’il porte en lui et avec lui.Rembrandt, Corot ont bcp utilisé la notion de trait,ils ont produit des œuvres étourdissantes.ça c’est l’idée, c’est le postulat de base, le truc qui va induire tout le reste. C’est ça qui va donner naissance à l’objet d’abord philosophique, le concept et ensuite à l’œuvre artistique dans ce cadre, ce contexte ci, qu’est l’art.

J’ai donc fait une bouture, je l’ai travaillé, mise en forme à part de son côté au début puis j’ai construit mon œuvre avec l’élément élémentaire que j’avais crée par moi même. J’aime créer des arbres à partir d’une idée, de rien ou pas grand-chose mon truc c’est plus ça, puis c’est économique, ça demande peu d’espace, de ressources t de temps. J’ai conçu, fait un arbre qui évoque un radeau pour concrétiser mon idée. Faire un arbre de « A » à »Z », ce n’est pas du tout comme prendre un arbre dans la nature et l’employer,pour son plaisir égoïste, c’est totalement différent, ça ne fait pas appel aux mêmes choses,aux mêmes inductions, là on le façonne complètement, on décide de tout on est responsable et l’auteur de tout, on est autonome.ça ne donne pas les mêmes fruits, ça n’induit pas les mêmes conséquences, résultantes, résultats, ce sont deux pistes différentes, chacun pouvant choisir la sienne, ça fait parti des choix possibles.

D’un point de vue créativité, le job il est fait. C’est fini, y a plus qu’à attendre , à affiner mais la concrétisation de l’idée de base s’est faite. Le concept a pris vie, il est né, l’idée, le postulat s’est concrétisé.

Le hic, c’est qu’exposer, montrer une idée ça ne marche pas. Elles sont souvent non comprises, non vu , en leur temps, pour diverses raisons dont l’espace, la dimension et la temporalité. Pour preuve y a pas de musée des idées pourtant notre évolution repose sur les pas que nous avons fait grâce à ce carburant là.Le pb c’est que si on expose l’idée, le spectateur ne peut pas de lui , de par sa perception voir l’œuvre car ça perception est limité à ce qu’il sait , à ce qu’il a déjà vu, il peut pas voir un truc qu’il n’a pas encore vue c’est une évidence.Une idée doit être belle , bien vêtue si on veut qu’elle est une chance d’être vue et de séduire le regard de l’autre.L’idée doit être sexy, avoir du charme pour être perçue.

Si on n’est pas compris, c’est pas grave, on recommence en espérant, à chaque acte on apprend quelque chose y a des acquis, on perd rien à essayer puis vu qu’on a rien perdre.

Il faut donc attendre que le fruit de son acte murisse, mature pour le montrer. Si on veut être compris il faut attendre que l’œuvre soit prête à être vu par autrui, que vous puissiez lui donner sa liberté,son autonomie que celle-ci soit majeure pour pouvoir prendre son indépendance, ces quartiers libre, vivre par elle-même sans vous à ces côtés. Là seulement, à ce moment là on peut espérer qu’un regard s’éclaire, s’allume en comprenant l’idée qui a été émise par le biais de la réception, l’idée étant une sorte de photons ayant sa propre dualité onde/énergie, ces aspects relatif et quantique car celle est belle. Pour qu’il y ait réception, il faut émettre, c’est tout con mais les trucs de base sont svt non sus, non perçus ou oublié , de plus tout le monde ne les connait pas car ils ne sont pas dans le cercle de perception de tous les autrui,d’où l’importance, des redites, des reformulations, des images ou des métaphores, des exemples, de l’éducation.C’est la base de la pédagogie, de l’enseignement.

Selon un fameux principe essentiel qui est trop souvent ignoré, le principe fondamental de la causalité. Un radeau est une conséquence, pas une causalité, c’est la résultante d’un ou de plusieurs aléas, selon le principe action /réaction, y a eu induction.Il symbolise quelque chose qui essaye de survivre, de vivre malgré cela, qui continu malgré tout à chercher sa voie, son chemin qu’il soit dans l’obscurité ou non têtu qu’il est ce Mr radeau portant son fardeau sur son dos et essayant de s’en sortir coute que coute quoi qu’il en coute en misant sur la lumière,l’esthétique, le fait de devenir un bel arbre, c’est le chemin qui lui est indiqué montré par les petits photons réunies.

On pourra s’y on le souhaite utiliser le principe de réfutabilité pour voir si c’est vraiment du solide ou s’y on arrive à déconstruire ,à faire tomber le truc démontrant ainsi que cela ne tient pas debout. On peut aussi faire appel à la contradiction, au débat contradictoire en jetant son truc sur la voie publique en espérant que quelqu’un le voit et y prête suffisamment d’attention et qu’il y ait échange d’idées, discussion.

On peut imaginer que c’est un être mathématique qui est tombé sur un plan horizontal et qui essaye de survivre de grandir dans un paysage qui peut être fait de creux, de collines ,convexes ou concaves avec ou sans pince, de surfaces topologiques. Une sorte de modélisation comme peuvent le permettre les éléments finis par leur maillage par ex, les topos.

Le radeau peut être un objet mathématique on vient de traiter et de voir ce point, être un style en avoir tout en étant élégant,sobre, humble et simple en toute humilité et modestie.Sans oublier la notion de geste, d’élégance du geste, la gestualité, art dont la maitrise est capitale en lettres capitale et qui doit être dans le capital de l’être.Le capital de l’être est fondamental sans être capitaliste.

Autre item, j’ai émis l’idée que l’on pouvait peindre, dessiner avec un végétal.
Je vais faire un rappel poser des hypothèses, contextualiser avant d’aller plus loin dans mon propos.

Pour moi le bonsai est un art majeur, un art à part entière. Il vise à représenter la nature de façon symbolique, c’est une représentation comme l’est la peinture par ex ce n’est pas la nature, ça ce n’est pas dans sa nature, c’est un art tout en finesses et en subtilités.Un art global et systémique, il intégre, il ne sépare pas, ne divise pas,ne sectarise pas il n’y a pas d’exclusion selon la th des ensembles.Ceux qui le font qui joue su cette corde ont d’autres finalités que celle de l’art dont on doit être au service comme on s’engage pour une noble cause

je fais des bouquets de lettres, de mots, je fais fleurir mon esprit et mon âme se transforme en fleurs littéraires sans en avoir l’air.

Sa finalité visible c’est évoquer , rendre hommage à la nature. sa finalité invisible c’est la réflexion en s’appuyant sur la nature et sa propre nature.C’est une collaboration,une danse non macabre, c’est faire grandir l’individu tout comme l’arbre grandit lui aussi tout en restant petit.

Je considère que le kazari, c’est à dire l’espace que l’on offre à la présentation est une page blanche offerte à la création d’une œuvre de nature artistique, un fond sur lequel , un cadre dans lequel, un volume , une scène où on peut agir comme on le souhaite .C’est l’hypothèse que je fais, c’est mon cadre de pensée,de réflexion, d’action, c’est là que se situe ma réflexion, à ce niveau là, c’est ma position, mon point de vue ou d’observation.

J’ai choisi une variété d’arbre car j’ai pensé qu’elle avait des ressources dont un certains type de bourgeon, une certaine typologie, qu’il était possible d’en faire quelque chose puis il y a une sorte d’analogie entre elle et les êtres que nous sommes, entre nous et elle.

D’un point de vue graphique, c’est un élément végétal à employer pour dessiner sur un fond,une surface, un volume, … on peut l’utiliser pour ça,sa vivacité, sa souplesse, ces caractéristiques intrinsèques permettent cela. Il s’agit du hêtre, c’est l’un de mes feuillus préférés, je ne sais pas pourquoi mais ce n’est pas grave, c’est ainsi et tant pis.

J’ai fait non pas le radeau de la méduse mais un radeau de hêtre, j’ai d’abord formé un arbre debout tout en sachant que j’allais le coucher,le mette ko, on fait souvent des changements de repères par le jeu des bascules par exemple. On peut si on laisse son imagination partir et être libre , c’est une chose qu’il est parfois bon de faire .On peut donc imaginer ceci. Un individu déraciné en partie, tombé au sol , par le biais des aléas qui l’ont heurté et dont il n’est pas responsable, lui il les a subi,il a été heurté contre et au détriment de son plein grée. il doit maintenant faire avec, faire face et survivre, trouver une voie ,une solution, sa solution à lui malgré ça cet événement qui a surgit , impacté sa destinée, c’est un peu ce qui arrive à ces petits être vivants voyez vous qui viennent s’échouer sur nos plages , que certains qui prennent pas l’autre en considération ne veulant pas voir dans le champ visuel de leur foret de croyances philosophique, not in my back yard.

Je l’ai éduqué non comme le douanier Rousseau un peu plus comme Rousseau ce jeune arbre sauvage, que j’ai choisi d’élever, d’en prendre le plus grand soin.En fait moi je fais, j’apprends par l’expérience, c’est ainsi que je trouve des principes, des solutions, en me confrontant aux pb par moi-même en sommes, en cherchant des solutions à des problèmes que je me pose.

En réalité je pense que c’est plus mes arbres qui m’ont éduqué, la nature, ma nature que moi qui les aient éduqué, ils m’ont apporté plus que ce que moi je leur donne, ou ai donné, y a échange, c’est donnant/donnant.Il faut aimer, respecter les arbres, la nature tout en général et en particulier sauf le mal et ces associés tansversaux.

Un jour à un moment venu si je le souhaite, je pourrai lui rendre sa liberté, là il est un peu emmerdé entravé par une forme d’école, par un pot c’est pas de bol.Prendre un arbre dans la nature ça a fini par me déranger car on lui hôte sa liberté, c’est la nature qui l’a éduqué, j’ai préféré m’intéresser au semis, aux boutures finalement pour ces raisons là.Je l’ai fait , j’ai pratiqué le yamadorisme, j’ai réfléchi , tirer les conclusions, mes enseignements finalement ça m’aura appris à regarder, à comprendre, à aimer encore plus la nature et à la regarder avec une intensité et un amour bien plus grand. Entre parenthèse c’est aussi une conclusion qui a été trouvé ailleurs bcp plus à l’est.

On peut donc peindre créer une représentation symbolique de la nature, sans forcément vouloir la dominer, en l’aimant, en collaborant avec celle-ci, en s’appuyant sur sa vigueur sa vie à elle , s’en se prendre pour un autre pour autant dont l’existence n’a pas été démontré qui bien qu’il soit partout et nulle part.

On peut faire une représentation artistique avec un arbre, peindre, dessiner avec cette matière est possible, c’est réalisable, je l’ai fait comme d’autres l’ont dans des styles classiques ou non comme les burtoniens par ex qui ne sont pas des bons à rien, ils sont bons comme les autres le sont lorsque la maitrise est là, on peut être bon de bien façons. J’ai appris à faire ça par le bien de l’apprentissage, par le faire, par le do, par ma voie, mes pas, de part tout mon être, mon corps et mon esprit

Certains dessinent des arbres comme d’autres dessinent des moutons…peu importe dessinez, rêvez, artez, faites

C’est quelque chose qui m’a apporté, bcp de joies,d’émotions, de récoltes ainsi que ds semailles, de beaux résultat fructueux.

Il est vrai que quand je vois plus l’arbre maintenant , j’entends l’oiseau chanter car cet art m’a permis de grandir, de prendre du recul,de m’élever au dessus de ma maigre condition d’individu corporelle, il a contribué à me construire, à construire ma voie en orientant mes pas,grâces aux clés qui m’ont permis d’ouvrir des portes et de progresser de pas en pas comme on avance d’étape en étape sur un chemin, mon chemin.Il a fait contribué à faire ce que je suis, ce que je suis devenu et en train de devenir puisque c’est sans fin, il faut avoir faim par contre.

En relisant, la préface, c’est important les préfaces, y a un truc que j’estime avoir fait, je suis content tout en étant fier mais sans fierté, de façon modeste et humble d’avoir fait, il faut pas avoir la fierté mal placée.Trouver une soluce, sa soluce, au problème posé,qu’est son existence, de l’avoir résolu en somme, j’y travaille depuis longtemps maintenant des années, des décennies, des km de pas parfois en l’oubliant le laissant de coté. J’ai le sentiment et c’est une très très belle émotion.

Merci Sensei, merci Yashushi, je ne t’oublie pas, en moi tu vis toujours. Merci maman , en moi tu vis aussi pour tout dont les essentiels, les fondamentaux sans eux …Merci à Ronan mon prof de méthode qui m’a enseigné l’art de la méthode, qu’il est difficile d’être synthétique juste et précis sans rien zapper d’important mais l’exercice est intéressant, durant mon apprentissage je voyais ça ainsi je faisais des exercices, je me confronté a des situations des contextes différents, je faisais mes arbres de façon différente pour pas m’enfermer dans un truc. Il est important d’être juste, la justesse est essentielle dans le domaine de l’art

De l’importance des livres, du savoir, de la culture, de savoir se nourrir , de digérer et de faire caca avec ou sans culotte.On est svt mieux après plus léger puis c’est une façon de rendre, de nourrir ce qui nous a donné à savoir la nature.

Quand on s’intéresse à un truc étranger, qui vous est étranger, celui qui peut le mieux en parler c’est l’étranger lui-même car lui sait,lui est, c’est la raison pour laquelle il faut aller à sa rencontre, écouter, non entendre ce qu’il dit lui faire une place à lui et à ces différences en vous , comme à table t dans votre regard. ça semble évident mais les évidences évidentes ne le sont pas pour tous, la culture n’est pas une confiture qu’on étale, il faut l’avaler, c’est une drogue comme d’autres le sont.

La caravane finit toujours par passer, https://youtu.be/5K4uXoaeoLg?si=YDF7kEa4wtfFe2lF

L’école qu’elle soit du micro en bois , l’éducation, la vraie celle qui bâtit, construit, l’être est fondamentale pour un individu. Jamais négliger les fondamentaux et savoir y revenir si nécessaire, bien les attacher en fond de cale a côté des valeurs absolu.

En aparté, j’ai choisi entre la rébellion et la révolution, j’ai choisi la rébellion. Pourquoi ? Toujours poser des questions si on n’a pas compris un truc, ce qui est bête couillon c’est de ne pas demander quand on comprend pas quelque chose, on peut pas tout comprendre ou tout savoir, on n’a pas la place pour ça , ça serait prétentieux. par contre il faut savoir chercher et savoir ou se trouve le machin si besoin, ne pas s’encombrer, avoir de la méthode, des outils. Mon éducation m’a appris à apprend, à faire partie de la mêlé, à tirer les et pas sur, à creuser me creuser c’est ça que j’ai appris aux mines qui n’étaient pas de sel, c’est mon apprentissage.

Donc la révolution ça repose sur le terrain de l’émotion, c’est clivant, c’est-à-dire que ça ne rassemble pas, c’est de couleur rouge, le rouge avec toutes ces symboles…les exemples historique ont svt fini par être hystérique et n’ont rien donné.Ce n’est pas une solution c’est démontré.j’y ai cru puis par réflexion en y pensant à tete reposée, non ça marchera pas, avec les mêmes acteurs, les mêmes modes de penser.

Moi j’ai choisi la rébellion car c’est sur le terrain du rationnel, du cartésien,de la raison, c’est objectif, chacun peut agir, ça peut être collectif, c’est fédérateur. D’un point de vue mathématique ça peut être une coupure dans une droite continue, il peut y avoir changement car y a coupure, y a un avant et un après. Le bleu est une jolie couleur pleine de nuances et apaisante. D’autres partages ma conclusion l’ont écrit par ex dans « courage ».

La musique est un objet mathématique également ,un livre aussi c’est une des suites de pages, d lettres, de mots, un tableau aussi, un dessin y tout , etc….Un bonsai est une forme de musique silencieuse qui s’entend par les yeux, vide, pleins, symétrie, asymétrie, ruptures, courbes, vitesse lenteur.Il sait faire entendre le silence, cet art permet de mettre en musique le silence, une réflexion ,lui donner vie.

ça c’est la mer, y a d’autres interprétations toutes aussi belles …avec toutes ces petites humeurs, une femme magnifique sur laquelle on peut naviguer.

le vent : https://youtu.be/9eWewdTkghM?si=6TKnzrj111gjpEcE
le silence : https://youtu.be/8ui9umU0C2g?si=itA3xHEMTVT0FzUF
etc…

Avec ou sans revenus, parvenu ou non, au chômage technique ou non il faut toujours bosser d’une façon ou d’une autre il y a milles et une façons d’être productif même en étant un improductif. Rester sans rien faire est mauvais malsain pour un individu, il a tendance à se détruire ou à détruire.

Comme Gro je pense qu’il faut savoir être seul , faire par soi même car c’est mon vécu, mon expérience, l’expérience que j’ai choisi de mener, si on fait pas, si on essaye pas, si on tente pas, on peut rien démontrer , prouver.

La vie est un beau voyage, vivre c’est bon et bien, il est agréable d’être vivant on est moins lourd et moins pateau, plus léger du pas.

Si on veut aller vite, il est important de voir, de savoir agir, décider vite c’est une question de vie ou de mort. C’est l’art du pilotage, l’art de la décision , du comportement. c’est mathématique.c’est l’art du choix, de savoir faire des choix, une forme d’intelligence.

L’arbre est un très beau symbol il peut en comporter et en porter plein. L’art du bonsai est un très bel art, riche de lui-même comme le sont souvent les disciplines artistiques.

Avec le temps…
Merci Sensei, toujours en moi tu vis, je te porte .Merci pour tes enseignements à bientôt.
Etre assez con pour se braquer et se dire que la banque est dedans pas dehors, en dedans quelque part mais où ?
Bon week, amusez vous, soyez sérieux, sans l’être et vous prendre au sérieux .
Portez vous bien faites, vivez pour être et pour vivre.
ET faite en bon usage…

Ma devise que j’ai choisi et trouvé sur un trottoir à Charleville avec Mézières est , avant tout il faut être moderne, c’est ce fardeau là que j’ai choisi de porter le temps de mon existence. Il faut être soi et pas un autre c’est assez difficile comme ça.

Pourquoi ? pcq c’est un truc qui vous tire vers l’avant qui vous fait marcher, un sorte de lumière à suivre, son propre soleil.

Merci à tout ceux qui m’ont aidé soutenu, enfoncé, aimé, ou pas.à tout ceux que j’ai croisé.Ils m’ont tous aidé à me construire en le sachant ou non.Merci


Ailleurs pas ici, on m’a demandé mes sources.Il faut toujours citer ces sources, c’est important, il n’y a pas qu’en science qu’il faut savoir faire preuve de méthode .

Le reste étant ma prose perso, mon témoignage, mon travail , mes réflexions, mes jeux de mots , de méta sans stases et plutôt phores, allégorie , paraboles ou hyper coup de bol du hasard.Une sorte d’état des lieux de là où j’en suis à ce jour.

ça c’est une photo que j’ai faite sans trucages, retouches, juste avec l’appareil.y a pas que le bonsai dans la vie c’est un loisir il est bon de savoir prendre du recul y compris pour mieux pratiquer celui-ci et de faire d’autres choses également à côté t en // car les analogies sont possibles.

ps : Work in progress…Je m’excuse pour les fautes, les coquilles,il faudra que j’affine.On est encore pas très loin du premier il faudra encore que j’affine non une fonction et que je raffine un peu plus le corps du texte.La fatigue de l’acte de création se fait sentir, je devrai y revenir plus tard sans doute ou pas.Il faut douter jamais avoir de certitude.

Son petit frère le complément a2 sans être à demi mots, pas faire les choses à moitié, faire, être tout court.

La maïeutique c’est l’art de se poser des questions, on n’avance pas si on ne s’en pose pas.

Je vais rajouter une référence bibliographique. Je pense qu’il existe une très forte analogie entre nous et les arbres. Je l’ai déjà écris mentionné à plusieurs reprises. Et je ne suis pas le seul à penser cela…

Je vais citer un livre d’un grand poète breton contemporain reconnu, un poète d’aujourd’hui et non d’hier, un poète qui fait là maintenant sous les yeux de tous.

Je vais aussi avoir une pensée pour mon pote « Solo » un poète à ces heures perdues qui fait de très beaux clichés un maitre du b&w qui est rempli de lumière,autre marin marrant qui m’a bcp aidé soutenu par ces écrits.Ainsi que Jack un ami qui fait de jolies choses même si elles sont pas toujours très net.je n’oublie pas les autres non plus même si je ne le cite pas pour autant.Merci à tous pour vos œuvres respectives.

Il s’agit du livre : « Ecrits de l’arbre dans le soleil » de Jean Lavoué parue chez la maison d’édition l’enfance de l’arbre. Un arbre peut fructifier, être porteur de graines, de semences, tout comme nous le sommes en sommes aussi.

C’est un amoureux des arbres, il a crée sa petite maison d’édition « l’enfance des arbres ». Elles font un travail formidable produisent des livres de qualité.Elles méritent d’être aidées, soutenues et encouragées, il faut prendre soin de la culture, nous devons pendre soin de notre pauvre condition humaine.Pour vivre, être, il faut tout donner au présent, vivre l’instant.

y a pleins de gens qui aiment les arbres, la nature.

Il est natif de pas loin de là où je suis amarré basse ou haute pour l’instant, il est passé chez moi comme moi je suis passé chez lui.Je l’apprécie beaucoup pour sa bonté, sa gentillesse, son humanité, pour ce qu’il fait lui et pour les autres.

Je vous encourage aussi à écouter ceci, ces paroles là qui ne sont pas d’un pré vert mais qui portent en elles tout de même bien des couleurs.

La poésie est une arme extra ordinaire, elle porte en elle une force et une puissance inouie .Tout comme l’esprit humain quand il le veut, quand il a cette volonté, cette envie là.

Une oeuvre d’art c’est un assemblage, un ensemble, une réunion, une conception, un puzzle de pièces de symboles ou non , c’est un tout, une unité.C’est un arbre.C’est mathématique tic tic tac tac.

Viser loin et haut, c’est un des principes de la conduite , histoire de bien conduire et de bien se conduire.La justesse a de son importance en art, il faut être juste car c’est juste de l’art.

On choisit jamais un avatar au hasard, c’est un symbole qu’on porte svt en soi et auquel on s’identifie.

un autre navire, une autre ivresse, le vaisseau livres naviguant sur la mer de l’incertitude qu’est la culture,un homme est un navire constitué de livres, de pages, de lettres, il est capable de ramer sur l’océan de la terre à l’envers de l’endroit sur l’écume des jours et des nuits. https://youtu.be/_djeletNHr8?si=XFF81bjSdxVJWEDA

let you be , faites vous , construisez vous, soyez l’artisan de votre être, https://youtu.be/HzvDofigTKQ?si=kSp8Q5E8VVjp0DRg

C’est l’art du façonnage, du travail à façons.

La notion d’intensionnalité est importante en effet pour produire il faut avoir une intension, tout comme une envie , une motivation et une volonté.La notion de processus aussi.la créativité, l’inventivité sont des processus remplient de phases, d’étapes, de choix, de portes et de clés en somme, qu’il faut ouvrir ou passer.

Faire de ces maux, avec et grâce à eux,faire avec ce que l’on a et ce que l’on est ni plus ni moins juste avec ça rien que ça.

Vous pouvez constater de vous même que je me suis intéressé pour ma part en plus de la réalisation de mes arbres , aux aspects théoriques et fondamentaux de cette discipline particulière et singulière qu’est cet art.

Work in progress, l’art de savoir montré un truc non fini , en cours d’élaboration, de conception.

Bonne journée.

Bon allez ménage, je reprendrai plus tard ce petit désordre ordonné ou non posé ici.

Je vais maintenant voir les choses d’un autre point de vue, je vais changer de poste d’observation,il faut savoir tout faire et voir, ceci est possible grâce à la transformation de Lorentz, moyennant quelques hypothèses, il faut toujours moyenner comme on dit, faire des premières approximations.

Je considère un arbre qu’on a laissé seul dans un pot, qu’on a délaissé, qu’on n’a pas aimé, un truc auquel on n’a pas fait attention durant un certains lapse de temps. Entre (), le parallèle entre un arbre et un individu est possible sans faire de parabole ou d’hyperbole juste en regardant une autre droite celle d’a côté.

Je vais maintenant me placer dans le domaine de l’énergie, je vais adopter ce point de vue. Il s’adopte, se prend, c’est à dire le point de vue thermodynamique. Cette discipline permet de voir le monde sous l’angle, le prisme de l’énergie.

On a donc un système arbre, un système isolé dans un pot, ayant une certaine énergie totale , il se trouve dans certains états et un certains état.

L’entropie caractérise, le désordre d’un système. C’est cette grandeur là qui permet de la mesurer , de la quantifier, c’est une grandeur physique concrète et non abstraite.

Voici ici sa définition :

En préambule, ou sur le quai des bulles : la notion de projection. Parler, écrire, bouger c’est une projection de soi quelque part mais où de son ego, de son identité propre et non de son identité relative comme celle du repère social. Là il est question de l’identité absolu, l’identité de l’être, du soi qui est à soi à personne d’autre rien qu’à soi, son unité propre.

Pour voir clair dans ces idées en soi, se voir soi, il faut projeter, verbaliser, vomir ou chier parfois comme crier ou pleurer. C’est la raison pour laquelle, il faut verbaliser. Jung comme d’autres ne disait pas que des conneries dans son petit livre rouge et non j’ai pas tout lu Nietzsche seulement en partie, puis je l’ai entendu, écouté, parler de son pote imaginaire on non Zarathoustra comme j’en ai écouté ou lu d’autres.J’ai pris en considération d’autres point de vu, dans des espaces, des dimensions, des spécialités, des pays, des cultures autre que le mieux,j’ai considéré le tout et tous.

Un arbre échevelé, qu’on a laissé en désordre, c’est une certaine énergie, Thierry Font poète à ces heures parlait bcp d’énergie en parlant des arbres, il les aimait, il avait une grande humanité, une grande générosité, un rire qui savait marquer vos tympans au fer blanc et non rouge.C’était un homme de cœur, il savait vous donner un coup de pied au cul, il savait manier cet art sans user de pelle.

tf

un jour j lui ai dit, je veux faire comme ça, et il m’a répondu ouai c possible en mode why not c une idée.

Il a donc une certaine entropie, elle peut être quantifiée, c’est un nombre X on va dire, on pose ça comme on dit ou on écrit.

Pour lui il était important d’adopter ce point d vu là par rapport à l’arbre. Là, je vais introduire, et oui parfois, il faut introduire, s’introduire, c’est par ex ce que fait une idée saugrenue ou non par surprise on non, c’est l’art de la pénétration.

La notion du Chi, Ch'i (spiritualité) — Wikipédia

Donc à l’instant t , son entropie est de X.

On met l’arbre, en forme il passe chez le coiffeur, l’esthéticienne, il change de fringues, d’habits, bref il se fait tout beau histoire de se montrer sous son meilleurs jour , pour se donner à voir et avoir un peu d’allure, une bonne allure.

En terme d’entropie, son désordre a diminué, elle est dorénavant de Y.Elle a changé de valeur.

A l’instant, t+1, l’entropie du système considéré est de Y.

Donc entre , t et t+1 le système est passé d’un état X à Y, son entropie à baisser.

Selon le principe de conservation de Lavoisier, rien ne se perd et pâte à couffin…il y a eu émission, émission de quoi d’esthétique, de beau. Son esthétisme lui en théorie à augmenté, en th par le jeu des transferts non du mercato mais d’énergie.

Le beau, la beauté est une forme d’énergie, c’est une grandeur, un état physique comme une autre que l’on peut caractériser, définir, quantifier.

La matière se crée en se mettant en ordre, en abaissant son désordre en se mettant en ordre et il y a dissipation d’énergie. C’est pour ça qu’on dit du chaos…

L’univers est né du chaos et depuis il se met en ordre en grandissant.La création de matière tout comme la création d’une œuvre c’est une mise en ordre, c’est un peu comme faire un puzzle .On vit dans des paysages entropique qui ne cessent de se mettre en ordre à chaque instant car ils sont vivants .

Faire de la science, c’est ça c’est comme faire une soupe , c’est de la cuisine, avec d’autres ingrédients si on transpose.

Une œuvre d’art c’est une expression, un truc qui est sorti, un œuf, un cracha, une larme, un rire, un caca ou un pet non de nonne.

Par le biais d’un bonsai si on considère ce type d’œuvre, ce type d’art , on sait comment pense son auteur selon quel mode s’il est plutôt rigide, ordonné ou bien bordélique. Ça se voit, il suffit de regarder, l’arbre qui est une sorte d’auto portrait, un instantané, un polaroid de son auteur et de son ego associé , de celui qui est à lui et pas à moi.

C’est comme une chanson, une histoire silencieuse et sans paroles, https://youtu.be/JQ4mFaI17pk?si=eS8s1LxkNJg0dunB

On peut donc d’un côté avoir un point de vue artistique et de l’autre un point de vue scientifique, il y een a d’autre le jardinage par ex mais je me limite à ceux-ci par choix, un choix d’économie et de temps, généralisé n’est pas utile car la généralisation peut être déduite par extrapolation, c’est possible, on vient de le voir, de le démontrer. On peut unifier ces états.Le point de vue peut prendre l’un ou l’autre de ces états, le point de vue peut aussi être global, systémique.

Avoir ces deux états au même moment, on dit alors que le point de vue est dans un état quantique, sans être un cantique c’est la théorie du point de vue quantique, cad que deux états différents peuvent être vu au même instant et au même endroit comme un bit par ex ou un spin .on peut considérer les choses de façon restreinte ou de façon plus générale, c’est la notion de relativité .

Albator : https://youtu.be/ROXpxDtKv7o?si=lHvkZWNiAKT0Lr4K

kenneth : identité : https://youtu.be/Y04cJJt4OTg?si=nw362TLMJcDqfUO4

une forme de géographie, la géopoètique ça change un peu de la géopolitique.

Merci à frère cheng et à ces cons de disciples qu’ils soient discipliné ou non .Merci François …

Le noir peut être plus blanc que le blanc c’est possible, le blanc peut aussi savoir vous tromper.

Question du jour, moi j’ai mon idée, Comment être hors norme dans la norme ?

On vient donc de voir que l’on pouvait voir un arbre d’un point de vue artistique et d’un point de vue scientifique.

En bref : il faut avoir une vision globale, systémique.C’est à dire que la vision doit être l’intégrale d dim n, n étant le point de vue considéré.C’est un être mathématique c’est ma thématique.

Nous devons pas oublier négliger l’oxygène, nos oxygênes ce qui se ballade dans nos flux vitaux , ceux sans qui la vie n’est pas possible.La vie est un flux, un mouvement, c’est un état dynamique.

C’est un truc que j’ai capté, pigé, un jour n plein mileu d’une fonderie alors que je me balladé dans ls paysages de cette petite usine d’un grand groupe industriel , j’apporté ma contribution à un certains tout comme une certaines malette bien pourvue m’aider à affiner mes gammes.Pour macher il faut être debout et non couché.

C’est quand même dingue ce que l’on peut trouver sous ces pas en machant qu’on soit sur un troittoir de manille d’alger ou d’alleurs

Il est bon de savoir parler, bonsai ou pas, s’exprimer est une nécessité vitale, impérieuse.c’st d’ailleurs l’une des première chose qfançais, ue fait un nouveau né pour montrer qu’il est vivant que son océan, ces flux sont en mouvements, unis et éunie dans une envloppe charnelle comme nous le sommes au sein de la cellule terre ou de l’être univers.

L’art de se donner en spectacle sans en avoir l’air, l’air de rien .L’art du don, l’art du rien du bon à rien.

Aimer les caractères, https://youtu.be/tdo7s16l04g?si=E_AiQeLBkv6aPkxI

Avancer, progresser quoi qu’il en coute, grandir

Are you expérienced, https://youtu.be/cbG7HEEPE1o?si=DgIcjUDmd3Aq13WI

Walk the line, suivre la ligne, la voie, https://youtu.be/J-6fW66IUY4?si=AWjl3R3brtXBbe6-

L’art de montrer son petit cul sans se mettre à poil.L’art de la découverte en quelques petits sommes et pas de se découvrir par exemple, nous sommes de beaux paysages , de belles mers, continents, univers ou galaxies intérieurs qu’il faut savoir extérioriser, savoir se mettre à l’envers de l’endroit, se retourner, être réaliste tout en étant sur réaliste.

L’art de boucler, de se boucler, de mettre son doigt qu’il soit majeur ou dans son petit fion histoire de prendre la température, sentir l’odeur de son propre humus intérieur.ça c’est la notion ouriboros, l’art de faire la roue, le cercle, le zéro d’être rien en somme et tout à la fois , une origine.

Un truc qui est bien avec sport qu’est cet art, c’est qu’il faut être endurant, il faut être constant, toujours reprendre, attraper son ouvrage si on veut que l’équilibre du beau soit maintenu et gardé , il faut savoir être Mr Constant, https://youtu.be/RxlKMn587NM?si=daoB6LulCsXm3xoF

Un jour je t’écrirai quand je ne sais pas encore mon ami que tu sois imaginaire ou non que si tu désires être libre au plus profond de toi même, tu dois te débarrasser de tout tes oripeaux, du dois être vide, être rien comme le vent, être un bon à rien, c’est drôle ça non ? en quelque sorte il faut être bon en tout pour être un bon à rien tout ça pour être libre en absolu et non en relatif, tout à un prix, une valeur, on a rien sans rien, sans quelques larmes et quelques joies.

Choisir une couleur, une nuance de voie comme d’autres le font pour leurs oeuvres respectives individuelles ou leur personnage, ma couleur est le bleu, pourquoi jean sais rien peuvent.Choisir sa croix, le fardeau que l’on va porter, quit à le porter tout au long de son chemin temporel , faire ce choix là aussi comme tous les autres, être une somme de choix, de décisions, d’actes faits réalisés et non de rêves, d’envies ou de souhaits.

savoir être un radical, libre comme boris, avec ou sans évian, https://youtu.be/y60gybrG1jE?si=NxyKZinyWb586Hls

Savoir que pour un bonsai, se construire, se reconstruire comme on se fait, on défait et on s refait, c’est l’art du progrès, l’art de la science, tout ne vaut qu’à un instant et peut être différent au pas suivant, c’est un choix, une question de choix de volonté, d’envie, de travail et d’efforts, une somme, un truc mathématique.

https://youtu.be/qcCuFLbWznY?si=PYLBXwJr3IyQCBF_

vivre car oui que…, https://youtu.be/WsQaPj98fR0?si=qBzzwXqTL82V6E4N

pas pour nous, pour nous c trop tard, pas pour eux et pour ceux à venir, https://youtu.be/_AWEYHgxNYw?si=YTUvq0IEeUuiTLQO

Au lieu de celle des certitudes, de l’avis , choisir celle du doute, de l’incertitude.
à cause de cette idée absolument géniale , elle est partout , nulle part n tout et en rien cad qu’elle est sans être.Il est question de religion.Choisir une religion quantique, choisir l’espace quantique pour voir, faire le choix de ce repère là, d’effectuer ce recul là.

Il faut s’assumer, s’assurer soi et pas se rassurer auprès d’un autre pour soigner ces peurs.

De l’importance d’être en route sur la route, d’être on the road.https://youtu.be/QsUa2pDKXNg?si=mBnRQPvyJas1YmTt

c comm l’horizon inatteignable mais c un cap, une direction .celle fait et a du sens avec ou sans essence et les sens tout en évitant les contresens.

Faire le choix de la difficulté, du chemin extrême, https://youtu.be/JLOgY8hWe1I?si=7sITnbYdv2JGV9Yb

L’importance des codes, des valeurs, des principes plus que des règles, y a la conduite t l’art de bien se conduire, l’art de l’éducation quoi ! ,Bushido — Wikipédia

L’importance des codes, des valeurs, des principes plus que des règles, y a la conduite l’art de bien se conduire, l’art de l’éducation quoi ! ,Bushido — Wikipédia

On vit à l’époque du « Moi je « roi, c’est étrange quand même quand on y pense, on a toujours pas assimilé avec la méthode à Emile ou non que » je » est un autre soit que je c’est toi, vous, nous tous, nous sommes un ensemble de « je » avec lesquels il faut savoir dialoguer, il faut jouer avec tous et non tout seul dans son coin, considérer tout le monde, ne pas rejeter le je ni les jeu , fédérer, assembler et rassembler, faire une mosaïque , un puzzle de « je « d’identité propre et non sociale.

Il faut être sérieux sans se prendre au sérieux ou encore ce que l’on n’est pas. C’est l’art de la déconne .C’est l’art d’avoir de l’humour.

L’art n’est pas futile, encore moins remplie de banalités, c’est un espace, un champs de liberté que certains paysans culturel ont su cultiver à travers les âges, les lieux, preuve en est, leurs récoltes, les fruits, les semences qu’ils nous donnent pour grandir et voir, Ils contribuent à notre alimentation en nourrissant eux notre esprit, ils nous font grandir, ils nous permettent de nous épanouir tel les arbres que nous sommes depuis notre naissance sur les sols de nos terroirs et cultures respectives. D’autres se chargeant pour leur part du corpus physique.

Paysan de l’art,en voilà un beau métier, une belle fonction sociale, humaine, sociétale y a aucune honte à être un paysan bien contraire, c’est l’art d’être noble car on agit pour les autres, pour autrui pas pour soi pour aider les autres tout en se faisant soi sous le regard, l’attention de tout ceux que l’on aide.

Il faut choisir entre la culture de l’être et celle de l’avoir, il faut choisir son auxiliaire de vie, le moteur de vie, celui qui va vous faire avancer, qui lui ne vous fera pas couler ou ne vous tirera pas vers le bas ou les bas fond. Celui qui ne vous détruira pas.

Bon après avoir fait des pauses, un peu digressé, mettre éloigné du sujet je vais y revenir. Faire ça est aussi nécessaire c’est un souffle, une respiration. C’est l’art de la respiration.

Une Floraison corticale, du à l’activité des synapses, du cortex, à nos flux globuleux notre énergie interne qui quand elle est réveillée et éveillée….

Par ex François Chen, grand académicien français est un ex pour nous tous, un ex de voie ,de parcours suivi, emprunté d’abord dans l’ombre puis dans la lumière, passé par bien des portes, des épreuves, par monts et part vaux. Il est passé sans se vautrer dans la fange, la merde ou la gadoue, il a finit par arriver à bon port, au port de soi, au port de l’être, c’est ce qu’il a fait , ce qu’il a vécu, son expérience, qui a permis à son être de naitre un jour, de voir le jour et la lumière, il s’est comme d’autres papillons métamorphosés un jour et a pris son envol libre comme l’air qu’il était, un bel oiseau qu’il st agréable d’entendre chanter. C’est un frère que j’aime, dont je me sens proches , tout comme je me sens proches de certains de mes autres frères de parcours bien qu’ils soient différents , qu’ils aient des parcours différents au mien mais nous sommes frères et sœurs de cœur quelque part.

On me l’a soufflé merci à Estéban, les notions sont importantes, le notionnisme cad l’art de la notion qui rassemble l’ensemble des notions, cet élément mathématique est important , fondamental, capital, essntiel.

Un jour j’ai reçu une missive qui comportait une note manuscrite en bas de page, par un gus qui maitrisé l’art de la méthode, il fut mon prof dans cette discipline avec sa tête de gendarme bien ordonné, avec sa petite moustache, il avait un beau sourire pour un gendarme. Moi qui déteste l’autorité et l’ordre…eh merde…Le truc important c’était ça , le truc important c svt le détail qui passe là qui a l’air de rien alors qu’il l’est.

Un bonsai , c’est une somme de détails dont il faut prendre soin et sur lesquels il faut travailler sans en négliger aucun car c’est eux qui feront le tout avec le reste, c’est l’art du détail, du tout bien fait comme dans d’autres disciplines, ordonné, une orfèvrerie végétale, un bijoux naturel, tout doit être juste et bien réglé comme une horloge, pour que l’on puisse entendre l’harmonie, son chant silencieux, c’est un travail d’horloger, précision, rigueur,….

En fait il m’a mis en relation avec un certain Mr D, un mec qui savait des trucs qui en a maitrisé certains dont la notion du demi tour, l’art du demi tour du coup de pied retourné quand on estime que l’on s’est trompé, il faut avoir le courage de faire un autre choix , de faire autrement et il est possible que cet autrement soit de faire demi tour.

L’erreur est humaine, il ne faut pas persister, persévérer dans celle-ci, dans ces erreurs de choix par ex, quand on s’est trompé il faut être capable de changer, d’évoluer. Il faut savoir, piloter, naviguer, aviser et décidé faire des choix, , il faut être capable d’être son propre capitaine d’être le capitaine de son vaisseau « soi », c’est un poste, un costume qu’il faut savoir être et porté, il faut s’assumer, être responsable de ces actes comme de ces paroles qu’elles soient écrites ou non . Changer, savoir changer, c’est un signe d’intelligence car c’est comportementale, ça grandit aussi l’homme, les expériences, les vécus font grandir l’individu, ça l’aide à gagner en maturité en sagesse .Car on a analysé , décidé et agit, on a corrigé, y a eu une prise en compte, une régulation, une adaptation.

Marcel avec ou sans orchestre m’a beaucoup apporté, il a contribué en grande partie à mon existence par son exemple, ces pas , ces réflexions et ces citations. https://youtu.be/L6gYRGDkugY?si=Fgt7uTd8UVyX0azm

Tout est symbole, Il n’est pas dénué de sens d’apprendre à lire la langue symbolique , y a bien d’autres langues que nous ne savons pas lire, tellement d’autres langues que nous ne percevons pas,car elles nous sont étrangère comme la langue et la culture de l’autre pet l’être pour certains ,il est idiot de ne pas s’éduquer à celle-ci, à la beauté de celle-ci à cette langue symbolique qui a une très belle tonalité.

Toutes les cathédrales ne sont pas à Conques, savez vous que Pierre S avait conçu tout d’abord les verres, avec les quel il allait faire les vitraux de celle-ci pour faire danser la lumière.

Une bien belle cathédrale que celle-ci avec une belle lumière, de belles couleurs et nuances, de belles dimensions également qui rappelle Vincent, pablo,dali, claude et bien d’autres.

Qui n’est pas sans évoquer une autre cathédrale, c’est une représentation symbolique , à savoir de la nature, notre nature.toutes les natures, la nature dans son unité son ensemble non carcéral, un ensemble ouvert non fermé t replié sur lui même .

Un ex ici bas :

jeu de touches sur un clavier, https://youtu.be/JQ4mFaI17pk?si=Lq49hivhhuyKXo_n

Résister toujours au mal, rien céder au mal, rien que dal, nada, que chi, jamais, se battre pied à pied , main contre main, https://youtu.be/9RYy_8u4blk?si=orPzdYptDPpPrfGd

Un autre ex de symbole, l’architecture, le patrimoine, par ex un bâtiment qui se nomme « la grande passerelle » , un truc qui nous relie tous les uns ls autres et nos cultures que nous soyons à l’est ou à l’ouest , vivant ou mort. Un sorte de cathédrale du symbole, des mots, des lettres, des jeu de mots et des jeu de maux. Une cathédrale culturelle, un navire ouvert à tous et pour tous sans distinctions aucunes. Une cathédrale, un ensemble de visions, de points de vue, réunit ensemble quelque part en un point sans être absurde à la fois lourde sans être à lourde et légère comme une plume sans pendre bcp de place, c’est l’une des forces de la culture.

Je n’oublie pas les fleurs dont marguerite et bien d’autres qui nous auront bcp donné et apporter.

C’est beau une route, c’est encore plus jolie quand elle est bleu comme la mer et le ciel.

Pour être un ego véritable, cad pour qu’il existe soit vu, reconnu un jour, à sa juste valeur, mesure,grandeur, il ne faut pas chercher à en avoir , à être vu, a être apparent.Il faut faire ,produire des œuvres , être transparent, faire sans avoir l’air de faire.C’est l’art de la désinvolture par ex qu’on peut croiser dans les taxis, dans le regard d’un mec qui tacte sa valise au milieu de la foule, qui vous fait un sourire, un coucou car vous avez durant un instant accroché son regard alors qu’il se rend à pied au milieu de tous là où il doit être à l’affiche ce soir là

C’est le regard de l’autre, qui un jour ou l’autre s’il estime, s’il vous estime qui fera naitre votre ego y compris après que vous ayez marché ou vécu.Pour avoir un ego vrai il faut œuvrer.

Nous ce que l’on doit faire ici bas, c’est marcher, fructifier, vivre et être, juste ça, c’est déjà assez difficile, complexe, pour charger la mule qui l’st déjà bien assez comme ça.

Merci à mon Gabin, mon pote archi ,à mes potes anar dont lui, sans lui, sans Michel je serai jamais allez aussi loin, il m’a porté, aidé et soutenu mon double mon pote breton marin marrant épicurien qu’il est. Merci Michel si tu savais… y a des gens que j’aime lui il n fait partie intégrante.

Un bonsai est le son du silence, il incarne ça , c’est l’une de ces incarnations, : https://youtu.be/gAX7AKaUCgU?si=YQHME55orJMvRB_H

Preuve en est que les symboles sont important on a envoyé ceci se balader dans l’espace en mode on ne sait pas mais c’est ton jamais….

Etre vrai authentique, droit, élégant, sobre, humble, modeste et pauvre à de son importance, on est riche de son soi c’est bien suffisant et nécessaire, c’est ça les conditions nécessaires pourquoi s’emmerder avec plus encore, pourquoi se détruire, s’alourdir. Le zèbre est un dôle d’oiseau .l’ennemi c’est soi pas l’autre c contre soi son soi qu’il faut s battre si on veut faire grandir, évoluer son soi. C’est une affaire qui peut être d’honneur entre soi et soi. Ne pas négliger l’inconscient qui bien svt tente de nous gouverner et nous trompe en nous menant par le bout du nez.

Un individu est une forme de concaténation cad un enchainement tout et lié et relié.

Nous pouvons être d’étonnants voyageurs, faire notre festival, embarqué que nous sommes sur un dôle de vaisseaux terre ou dans les trains de nos existences réciproque où on peut regarder ou pas les instant de notre existence qui défile soit en les voyant soit en ce les remémorant.

Un train qui me manque notamment à cause de l’ambiance, des odeurs, des gens croisés ou aperçu parfois comme à bordeaux par ex qd à une certaine époque je ne naviguai bcp à terre entre chez moi, mon boulot de missionnaire mal payé de l’époque ou la mine où j’avais choisi d’aller, histoire de me creuser et de me miner un peu plus.

Y a un gus, un mec qui m’a enseigné un truc fondamental comme d’autre l’ont fait. L’art de ligature cad l’art du geste qui consiste à poser du fil sur un arbre. Il me regardait faire, il me laissait faire puis il se pointait en jetant un coup d’œil de tps à autre , il disait ça va pas, recommence une fois, deux, trois…C’est l’art d’avoir de la pédagogie, il st pas donné à tous d’être un bon prof, les choses sont rarement donné en fait , l’art d’apprendre à faire, défaire, à refaire jusqu’à… par le biais de l’art de prendre une leçon , l’art d’écouter celui qui sait qu’en vous vous ne savez pas. Merci à mon pote Alain à qui comme à d’autres je dois bcp.

Les musiciens, la musique aura été pour moi une langue fondamentale.

tout comme celle de la mer, merci éric, merci à la navale, à l’école , à l’éducation,

Mon pote le blaireau par sa maitrise de l’art de la pédale m’aura bien aidé aussi tout comme yann, denez et alan par la maitrise de leur art.Heureux, je suis d’avoir pu en remercier certains en personne lorsque le hasard m’en donné l’occasion il faut bien qu’il donne un peu il peut pas passer son temps à pendre, ça doit être équilibré c’est comme tout.

Je me suis construit par et grâce à des symboles, c’est-à-dire que je suis une construction symbolique comme chacun, chacune d’entre nous, une œuvre d’art humaine vivante qui respire pisse et chie.

La mort comme la vie sait peu danser

Rame…l’art de savoir ramer même à terre face aux aléas et aux adversités en tout genre et de toute nature.

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savoir ouvrir les portes,trouver ces clés qui ne sont pas de voitures.

Alors possible ou non ?

En bref , en résumé, en conclusion :Faire Dé Faire Re Faire avec du Faire et sans s’en Faire , Faire

Désolé pour le dérangement , je n’arrive pas à enregistrer mes corrections au chapitre ci dessus car visiblement j’ai atteint la limite, je vais donc les mettre à la suite.

Faire une fragmentation, une coupure, c’est l’art de la coupure non publicitaire pourquoi s’emmerder avec des sponsors, se coller des contre marques et des marques partout sur son beau navire de vaisseau corporel, ce n’est , il n’est pas nécessaire d’être tatoué pour l’être,ni pour être, la vie avec les épreuves, sa dureté et son âpreté sait très bien s’en charger par ces blessures et les cicatrices associés.

un autre type de coupure, Coupure de Dedekind — Wikipédia

"Work in progress,en cours de projection, l’art de savoir montrer, un truc non fini , en cours d’élaboration, de conception, une création vivante qui vit se développe et grandit.

Bonne journée.

Je vais maintenant voir les choses d’un autre point de vue, je vais changer de poste d’observation,de repère,il faut savoir tout faire et voir, ceci est possible grâce à la transformation de Lorentz, moyennant quelques hypothèses, il faut toujours moyenner comme on dit, faire des premières approximations, des réductions.

Je considère un arbre qu’on a laissé seul dans un pot, qu’on a délaissé, qu’on n’a pas aimé, un truc auquel on n’a pas fait attention durant un certains lapse de temps. Entre (), le parallèle entre un arbre et un individu est possible sans faire de paraboles ou d’hyperboles juste en regardant une autre droite,celle d’a côté.L’art de faire le pas de côté.

Je vais maintenant me placer dans le domaine de l’énergie, je vais adopter ce point de vue. Il s’adopte, se prend, c’est à dire le point de vue de la thermodynamique. Cette discipline permet de voir le monde sous l’angle, le prisme de l’énergie.

On a donc un système arbre, un système isolé dans un pot, ayant une certaine énergie totale , il se trouve dans certains états et un certains état.

L’entropie caractérise, le désordre d’un système.C’est une grandeur d’état, elle permet de faire une photo d’un état à un instant c’est une sorte de photo. Cette grandeur là qui permet de la mesurer , de la quantifier, c’est une grandeur physique concrète et non abstraite.

Voici ici sa définition :

En préambule, ou sur le quai des bulles : la notion de projection. Parler, écrire, bouger, c’est une projection de soi quelque part mais où ? de son ego, de son identité propre et non de son identité relative comme celle du repère social que nous considérons trop. Là il est question de l’identité absolu, de l’identité de l’être, du soi qui est à soi à personne d’autre rien qu’à soi, son unité propre, c’est la notion d’identité propre et absolu.

Pour voir clair dans ces idées ,en soi, se voir soi, il faut projeter, verbaliser, vomir ou chier parfois comme crier ou pleurer. C’est la raison pour laquelle, il faut verbaliser. Jung comme d’autres ne disait pas que des conneries dans son petit livre rouge et non j’ai pas tout lu Nietzsche seulement en partie, puis je l’ai entendu, écouté, parler de son pote imaginaire on non Zarathoustra comme j’en ai écouté ou lu d’autres, je me suis attardé le temps de quelques pas et instant à cause l’importance des notions de temps et d’espace.J’ai pris en considération d’autres points de vu, dans des espaces, des dimensions, des spécialités, des pays, des cultures autre que les miens,j’ai considéré le tout et tous.C’est tenté d’avoir un point de vue global, système, j’ai cherché l’intégrale de dim n des visions.une intégrale est une somme d’aires, d’espace que l’on considère dans une certaine dimension.

Un arbre échevelé, qu’on a laissé en désordre, c’est une certaine énergie, une quantité,un nombre,Thierry Font poète à ces heures parlait beaucoup d’énergie en parlant des arbres, il les aimait, il avait une grande humanité, une grande générosité, un rire qui savait marquer vos tympans au fer blanc et non au rouge.C’était un homme de cœur, il savait vous donner un coup de pied au cul, il savait manier , cet art sans user de pelle.Il aimé les arbres et la nature de part sa nature propre.

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un jour je lui ai dit, je veux faire comme ça moin, il m’a répondu alors « ouais c possible » en mode why not c une idée, j’avais une validation de concept, j’avais plus qu’à faire à l’époque.C’était au début de ma période d’apprentissage, dans le cadre de cet art, j’ai été, je suis un arpet dans bien des domaines et des disciplines

Il a donc une certaine entropie, elle peut être quantifiée, c’est un nombre X on va dire, on pose ça là comme on dit ou on écrit.

Pour lui il était important d’adopter ce point de vu là par rapport à l’arbre. Là, je vais introduire, et oui parfois, il faut introduire, s’introduire, c’est par ex ce que fait une idée saugrenue ou non par surprise on non, c’est l’art de la pénétration, de l’introduction.Il faut induire, c’est l’art de l’induction.

La notion d’énergie, ce que certains appellent le Chi, Ch'i (spiritualité) — Wikipédia

Donc à l’instant t , son entropie est de X.

On met l’arbre, en forme il passe chez le coiffeur, l’esthéticienne, il change de fringues, d’habits, bref il se fait tout beau, histoire de se montrer sous son meilleur jour , pour se donner à voir sous tous les profils , avoir un peu d’allure, une bonne allure.

En terme d’entropie, son désordre a diminué, elle est dorénavant de Y.Elle a changé de valeur.

A l’instant, t+1, l’entropie du système considéré est alors de Y.

Donc entre , t et t+1 le système est passé d’un état X à Y, son entropie à baisser.

Selon le principe de conservation de Lavoisier, rien ne se perd et pâte à couffin…il y a eu émission, émission de quoi d’esthétique, de beau. Son esthétisme lui en théorie à augmenté, en th par le jeu des transferts non du mercato mais d’énergie.

Le beau, la beauté est une forme d’énergie, c’est une grandeur, un état physique comme une autre que l’on peut caractériser, définir, quantifier, c’est un nombre.

La matière se crée en se mettant en ordre, en abaissant son désordre en se mettant en ordre et il y a dissipation d’énergie.

L’univers est né du chaos et depuis il se met en ordre en grandissant.La création de matière tout comme la création d’une œuvre c’est une mise en ordre, c’est un peu comme faire un puzzle .On vit dans des paysages entropique qui ne cessent de se mettre en ordre à chaque instant car ils sont vivants .

Tout en ayant besoin de désordre, de production d’énergie, c’est paradoxale, on ne peut pas se développer sans créer du désordre sauf qu’il y a manière de faire du désordre, elles peuvent aussi avoir des cinétiques différentes. C’est pour ça qu’on dit du chaos…Si on veut aller loin et durer il faut savoir ménager sa monture.

Faire de la science,être scientifique, c’est ça c’est comme faire une soupe , c’est de la cuisine, avec d’autres ingrédients si on transpose.

Une œuvre d’art c’est une expression, un truc qui est sorti, un œuf, un cracha, une larme, un rire, un caca ou un pet non de nonne.

Par le biais d’un bonsai si on considère ce type d’œuvre, ce type d’art , on sait comment pense son auteur selon quel mode s’il est plutôt rigide, ordonné ou bien bordélique voir borderline. Ça se voit, il suffit de regarder, l’arbre qui est une sorte d’auto portrait, un instantané, un polaroid de son auteur et de son ego associé , de celui qui est à lui et pas à moi.

C’est comme une chanson, une histoire silencieuse et sans paroles, https://youtu.be/JQ4mFaI17pk?si=eS8s1LxkNJg0dunB

On peut donc d’un côté avoir un point de vue artistique et de l’autre un point de vue scientifique, il y en a d’autres le jardinage par ex mais je me limite à ceux-ci par choix, un choix d’économie et de temps, généralisé n’est pas utile car la généralisation peut être déduite par extrapolation, c’est possible, on vient de le voir, de le démontrer. On peut unifier tout ces états.Le point de vue peut prendre l’un ou l’autre de ces états, le point de vue peut aussi être global, systémique, total, une somme.

Etre ces deux états au même moment, on dit alors que le point de vue est dans un état quantique, sans être un cantique c’est la théorie du point de vue quantique, cad que deux états différents peuvent être vu au même instant et au même endroit comme un bit par ex ou un spin .On peut considérer les choses de façon restreinte ou de façon plus générale, c’est la notion de relativité .

Albator : https://youtu.be/ROXpxDtKv7o?si=lHvkZWNiAKT0Lr4K

Il est conceptuellement possible de Remplacer « E » par « A » dans une certaine formule, égalité car « A » et « E » sont deux grandeurs physique ou non équivalente.C’est une permutation, un changement possible.

kenneth : identité : https://youtu.be/Y04cJJt4OTg?si=nw362TLMJcDqfUO4

une forme de géographie, la géopoètique ça change un peu de la géopolitique.

Merci à frère Cheng et à ces cons de disciples qu’ils soient disciplinés ou non .Merci François …tu es doté d’une belle lame, d’une belle âme.

Le noir peut être plus blanc que le blanc , c’est possible, le blanc peut aussi savoir vous tromper.Plusieurs l’ont compris et se sont vêtu, ils ont fait comme moi le choix du noir pour leur habit de lumière.

Question du jour, moi j’ai mon idée, Comment être hors norme dans la norme ?

On vient donc de voir que l’on pouvait voir un arbre d’un point de vue artistique et d’un point de vue scientifique.

En bref : il faut avoir une vision globale, systémique.C’est à dire que la vision doit être l’intégrale de dim n, n étant le point de vue considéré.C’est un être mathématique c’est ma thématique, c’est une somme non d’aires mais de vues,de visions.

Nous ne devons pas oublier ,négliger l’oxygène, nos oxygènes vitaux, ceux qui se baladent, flottent dans nos flux vitaux , ceux sans qui la vie n’est pas possible.La vie est un flux, un mouvement, c’est un état dynamique.Trop de Co2 dans le sang…on n’est pas un arbre même si on l’est en partie de façon analogique par transposition et extrapolation.

C’est un truc que j’ai capté, pigé, un jour en plein milieu d’une fonderie alors que je me baladé dans les paysages de cette petite usine d’un grand groupe industriel français , j’apportai ma petite contribution à un certains projet tout comme une certaine mallette bien pourvue roulant dans une Austin mini pas si mini, il m’aider à affiner mes gammes, c’était mon maitre d’apprentissage de l’époque.Pour marcher, il faut être debout ,non couché et en mouvements.

C’est quand même dingue ce que l’on peut trouver sous ces pas en marchant qu’on soit sur un trottoir de Manille,d’Alger ou d’ailleurs par ailleurs.

Il est bon de savoir parler, bonsai ou pas, s’exprimer est une nécessité vitale, impérieuse.C’est d’ailleurs l’une des premières chose que fait un nouveau né pour montrer qu’il est vivant que son océan, ces flux sont en mouvements, unis et réunie dans une enveloppe charnelle comme nous le sommes au sein de la cellule terre ou de l’être univers.

L’art de se donner en spectacle sans en avoir l’air, l’air de rien .L’art du don, l’art du rien du bon à rien.

Aimer les caractères, https://youtu.be/tdo7s16l04g?si=E_AiQeLBkv6aPkxI

Avancer, progresser quoi qu’il en coute, grandir.évoluer

Are you expérienced, https://youtu.be/cbG7HEEPE1o?si=DgIcjUDmd3Aq13WI

Walk the line, suivre la ligne, la voie, https://youtu.be/J-6fW66IUY4?si=AWjl3R3brtXBbe6-

L’art de montrer son petit cul sans se mettre à poil.L’art de la découverte, de se découvrir en quelques petits sommes et jours , pas de se couvrir par exemple, nous sommes de beaux paysages , de belles mers, de beaux continents, univers ou galaxies intérieurs qu’il faut savoir extérioriser, savoir se mettre à l’envers de l’endroit, se retourner, être réaliste tout en étant sur réaliste.

L’art de boucler, de se boucler, de mettre son doigt qu’il soit petit ou majeur dans son petit fion, dans son cul, histoire de prendre la température, sentir l’odeur de son propre humus intérieur, voir si le compost est fait ça c’est l’art du compost, art dans lequel il faut devenu maitre composteur, comment savoir si on est un bon compositeur ? C’est la notion de l’Ouroboros, l’art de faire la roue, le cercle, le zéro d’être rien en somme et tout à la fois , une origine, le vide, le néant.

Un truc qui est bien avec ce sport qu’est cet art, c’est qu’il faut être endurant, il faut être constant, toujours reprendre, rattraper son ouvrage si on veut que l’équilibre du beau soit maintenu et gardé , il faut savoir être Mr Constant,car c’est un art qui s’inscrit dans la durée, c’est une droite, une ligne, pas un point, merci Alan, https://youtu.be/RxlKMn587NM?si=daoB6LulCsXm3xoF

Un jour je t’écrirai quand je ne sais pas encore mon ami que tu sois imaginaire ou non que si tu désires être libre au plus profond de toi même, tu dois te débarrasser de tout tes oripeaux,de tout ce qui t’encombre, tu dois être vide,le vide, être rien comme le vent, être un bon à rien, c’est drôle ça non ? en quelque sorte il faut être bon en tout pour être un bon à rien tout ça pour être libre en absolu et non en relatif, tout à un prix, une valeur, on a rien sans rien, sans quelques larmes ,quelques joies, et beaucoup beaucoup de pas.

Choisir une couleur, une nuance de voie comme d’autres le font pour et par leurs œuvres respectives individuelles ou leurs personnages.Ma couleur est le bleu, pourquoi jean sais rien comme jean bon beurre.Choisir sa croix, le fardeau que l’on va porter, quit à le porter tout au long de son chemin temporel ,de sa vie, faire ce choix là aussi comme tous les autres, être une somme de choix, de décisions, d’actes faits réalisés et non de rêves, d’envies ou de souhaits, ne pas être une sommes de postures ou d’impostures.

Savoir être un radical, libre comme Boris,Grothendieck, avec ou sans Évian et sans être à Evian ou Vittel, https://youtu.be/y60gybrG1jE?si=NxyKZinyWb586Hls

Savoir que pour un bonsai, se construire, se reconstruire comme on se fait, on défait et on se refait, c’est l’art du progrès, l’art de la science, tout ne vaut qu’à un instant et peut être différent au pas suivant,à l’instant d’après, c’est un choix, une question de choix de volonté, d’envie, de travail et d’efforts, une somme, un truc mathématique.

https://youtu.be/qcCuFLbWznY?si=PYLBXwJr3IyQCBF_

vivre car oui que…, https://youtu.be/WsQaPj98fR0?si=qBzzwXqTL82V6E4N

pas pour nous, pour nous c’est trop tard, pas pour eux et pour ceux à venir, on ne change par un truc avec ceux qui sont qui ont été les acteurs ou qui doivent quoique ce soit à …non il faut du neuf, des visions neuves, autre chose si on veut un jour faire autrement car parfois la soluce est de savoir faire autrement.C’est l’art de faire autrement, l’art d’être différent, https://youtu.be/_AWEYHgxNYw?si=YTUvq0IEeUuiTLQO

Au lieu de celle des certitudes, de l’avis , choisir celle du doute, de l’incertitude.
à cause de cette idée absolument géniale , elle est partout , nulle part n tout et en rien cad qu’elle est sans être.Il est question de religion.Choisir une religion quantique, choisir l’espace quantique pour voir, faire le choix de ce repère là, d’effectuer ce recul là.

Il faut s’assumer, s’assurer soi et pas se rassurer auprès d’un autre pour soigner ces peurs, ces maux.

De l’importance d’être en route sur la route, d’être on the road.https://youtu.be/QsUa2pDKXNg?si=mBnRQPvyJas1YmTt

c’est comme l’horizon inatteignable mais c’est un cap, une direction .celle ci fait et a du sens avec ou sans essence et les sens tout en évitant les contresens.

Faire le choix de la difficulté, du chemin extrême,des efforts,du travail, https://youtu.be/JLOgY8hWe1I?si=7sITnbYdv2JGV9Yb

L’importance des codes, des valeurs, des principes , plus que des règles, y a la conduite et l’art de bien se conduire, l’art de l’éducation quoi ! ,Bushido — Wikipédia

On vit à l’époque du « Moi je « roi, c’est étrange quand même quand on y pense, on a toujours pas assimilé avec la méthode à Emile ou non que » je » est un autre soit que je c’est toi, vous, nous tous, nous sommes un ensemble de « je » avec lesquels il faut savoir dialoguer,savoir écouter, pas rejeter, il faut jouer avec tous et non tout seul dans son coin, considérer tout le monde, ne pas rejeter le "je"ni les « jeux » , fédérer, assembler,rassembler, intégrer, faire une mosaïque , un puzzle de « je « d’identité propre et non sociale.

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La suite en bonne éduforme et sans uniforme , ensuite je vais pouvoir reprendre la suite de mon récit.

"Il faut être sérieux sans se prendre au sérieux ou encore sans se pendre pour ce que l’on n’est pas. C’est l’art de la déconne .C’est l’art d’avoir de l’humour, l’art de la dérision.

L’art n’est pas futile, encore moins remplie de banalités, c’est un espace, un champs de liberté que certains paysans culturel ont su cultiver à travers les âges, les lieux, preuve en est, leurs récoltes, les fruits, les semences qu’ils nous donnent pour grandir et voir, Ils contribuent à notre alimentation en nourrissant eux notre esprit, ils nous font grandir, ils nous permettent de nous épanouir tels les arbres que nous sommes depuis notre naissance sur les sols de nos terroirs et cultures respectives, ancré que nous sommes par nos racines. D’autres se chargeant pour leur part de nourrir le corpus physique.

Paysan de l’art,en voilà un beau métier, une belle fonction sociale, humaine, sociétale y a aucune honte à être un paysan bien contraire, c’est l’art d’être noble car on agit pour les autres, pour autrui pas pour soi pour aider les autres tout en se faisant soi sous le regard, l’attention de tout ceux que l’on aide.

Être la figure de proue de son existence, de son navire charnel, faire le choix de tout prendre dans la gueule, dans la face, car de chaque action, chaque coup, une réaction naitra selon le principe inductif action/réaction.C’est l’art de la réaction qui sans être un avion peut être, vivre sa petite vie de réaction suite à une causalité subie voulue ou non.

Il faut choisir entre la culture de l’être et celle de l’avoir, il faut choisir son auxiliaire de vie, le moteur de sa vie, celui qui va vous faire avancer, qui lui ne vous fera pas couler ou ne vous tirera pas vers le bas ou les bas fond. Celui qui ne vous détruira pas.

Bon après avoir fait des pauses, un peu digressé, mettre éloigné du sujet je vais y revenir. Faire ça est aussi nécessaire c’est un souffle, une respiration. C’est l’art de la respiration que l’on m’a enseigné.

Être une Floraison corticale, en raison de l’activité intense de ces synapses, du cortex, à nos flux globuleux , notre énergie interne , qui bien que non nucléaire est belle, quand elle est réveillée,éveillée et agitée…une bien belle tempête, une jolie mer dans un vers d’eau dans notre bocal cérébral, l’art d’être fêlé pour laisser la pression, la vapeur s’enfuir pour ne pas s’échauffer et se cramer, pour pas péter le joint de culasse ou couler une bielle.Un bel état à connaitre, c’est l’art de l’état de savoir se mettre dans tout ces états.

Par ex François Cheng, grand académicien français est un ex pour nous tous, un ex de voie ,de parcours suivi, emprunté d’abord dans l’ombre puis dans la lumière, passé par bien des portes, des épreuves, par monts et part vaux comme d’autre il a su surmonté ça, gravir son Everest intérieur. Il est passé sans se vautrer dans la fange, la merde ou la gadoue, il a finit par arriver à bon port, au port de soi, au port de l’être, c’est ce qu’il a fait , ce qu’il a vécu, son expérience, qui a permis à son être de naitre un jour, de voir le jour et la lumière, il s’est comme d’autres papillons métamorphosés un jour et a pris son envol libre comme l’air qu’il était, un bel oiseau qu’il st agréable d’entendre chanter. Il a fait son odyssée comme Ulysse en son temps l’a faite.C’est un frère que j’aime, dont je me sens proche , tout comme je me sens proches de certains de mes autres frères de parcours bien qu’ils soient différents , qu’ils aient des parcours différents au mien mais nous sommes frères et sœurs de cœur quelque part de part nos choix.

On me l’a soufflé merci à Esteban, les notions sont importantes, le notionnisme cad l’art de la notion qui rassemble l’ensemble des notions, cet élément mathématique est important , fondamental, capital, essentiel comme notre mouvement le sont, il y a une somme de mouvement, de courant artistique ou non à considérer.

Un jour j’ai reçu une missive qui comportait une note manuscrite en bas de page, par un gus qui maitrisé l’art de la méthode, il fut mon prof dans cette discipline avec sa tête de gendarme bien ordonné, sa petite moustache, il avait un beau sourire pour un gendarme. Moi qui déteste l’autorité et l’ordre, choppé par la patrouille…eh merde…Le truc important c’était ça , le truc important c’est souvent le détail, l’insignifiant qui passe là qui a l’air de rien alors qu’il l’est t qu’il ne faut pas rater au passage.

Un bonsai , c’est une somme de détails dont il faut prendre soin et sur lesquels il faut travailler sans en négliger aucun car c’est eux qui feront le tout avec le reste, c’est l’art du détail, du tout bien fait comme dans d’autres disciplines, ordonné, une forme d’orfèvrerie végétale, un artisanat, un bijoux naturel, tout doit être juste et bien réglé comme une horloge, pour que l’on puisse entendre l’harmonie, son chant silencieux, c’est un travail d’horloger,d’artisan, précision, rigueur,….L’art du geste, du bon fait bien fait et exécuté au bon moment,l’art de l’instant du temps qui passe.

En fait il m’a mis en relation avec un certain Mr D, un mec qui savait des trucs qui en a maitrisé certains dont la notion du demi tour, l’art du demi tour du coup de pied retourné quand on estime que l’on s’est trompé, il faut avoir le courage de faire un autre choix , de faire autrement et il est possible que cet autrement soit de faire demi tour.C’est l’art du changement de sens pour pas perde le sens et faire de contresens, l’art de l’adaptation du sens.

L’erreur est humaine, il ne faut pas persister, persévérer dans celle-ci, dans ces erreurs de choix par ex, quand on s’est trompé il faut être capable de changer, d’évoluer. Il faut savoir, piloter, naviguer, aviser ,décider, faire des choix, , il faut être capable d’être son propre capitaine,d’être le capitaine de son vaisseau « soi », c’est un poste, un costume qu’il faut savoir être et porté, il faut s’assumer, être responsable de ces actes comme de ces paroles qu’elles soient écrites ou non, il faut savoir s’enfiler, porter son costume corporel.Changer, savoir changer, c’est un signe d’intelligence car c’est comportementale, ça grandit aussi l’homme, les expériences, les vécus font grandir l’individu, ça l’aide à gagner en maturité en sagesse .Car on a analysé , décidé et agit, on a corrigé, y a eu une prise en compte, une régulation, une adaptation.C’est l’art d’être du savoir être et non du par être.

Marcel avec ou sans son orchestre m’a beaucoup apporté, il a contribué en grande partie à mon existence par son exemple, ces pas ,ont guidé les miens, sa trace, sa pistes, ces réflexions et ces citations m’ont aidé à me trouver, à me surprendre et à me dépasser, il m’a tiré vers l’avant vers le haut. https://youtu.be/L6gYRGDkugY?si=Fgt7uTd8UVyX0azm

Tout est symbole, Il n’est pas dénué de sens d’apprendre à lire la langue symbolique , y a bien d’autres langues que nous ne savons pas lire, tellement d’autres langues que nous ne percevons pas,car elles nous sont étrangère comme la langue et la culture de l’autre pet l’être pour certains ,il est idiot de ne pas s’éduquer à celle-ci, à la beauté de celle-ci à cette langue symbolique qui a une très belle tonalité.Une langue est essentielle pour une culture, on a fait bcp de mal à ma langue, on l’a bcp meurtrie, elle en a souffert et en souffre encore, on en a les stigmates, les cicatrices et les blessures associés.

Toutes les cathédrales ne sont pas à Conques, savez vous que Pierre S avait conçu tout d’abord les verres, avec les quel il allait faire les vitraux de celle-ci pour faire danser la lumière avant de peindre ceux ci.

Une bien belle cathédrale que celle-ci avec une belle lumière, de belles couleurs et nuances, de belles dimensions également qui rappelle Vincent, pablo,dali, claude et bien d’autres.C’est important les dimensions, c’est l’art de la dimension.

Qui n’est pas sans évoquer une autre cathédrale, c’est une représentation symbolique , à savoir de la nature, notre nature.toutes les natures, la nature dans son unité son ensemble non carcéral, un ensemble ouvert non fermé et replié sur lui même .

Un ex de vitrail ici bas :

jeu de touches sur un clavier, la petites musique des lettres jeter, c’est l’art de l’encre, l’art de jeter l’encre, l’art de s’ancrer quelque part mais où ?, https://youtu.be/JQ4mFaI17pk?si=Lq49hivhhuyKXo_n

Résister toujours au mal, rien céder au mal, rien que dal, nada, que chi, jamais, se battre pied à pied , main contre main,rien lâcher, c’est l’art de la lutte et de l’engagement, https://youtu.be/9RYy_8u4blk?si=orPzdYptDPpPrfGd

Un autre ex de symbole, l’architecture, le patrimoine, par ex un bâtiment qui se nomme « la grande passerelle » ici , un truc qui nous relie tous les uns les autres et nos cultures que nous soyons à l’est ou à l’ouest , vivant ou mort. Un sorte de cathédrale du symbole, des mots, des lettres, des jeux de mots et des jeux de maux.
Une cathédrale culturelle, un navire ouvert à tous et pour tous sans distinctions aucunes, un navire dont la coque est faite de lettres, de mots de nom, autant d’exemples visible et symbolique. Une cathédrale, un ensemble de visions, de points de vue, réunit ensemble quelque part en un point , une localité, sans être absurde à la fois lourde sans être à lourde et légère comme une plume sans prendre bcp de place, c’est l’une des forces de la culture.

Je n’oublie pas les fleurs non plus dont marguerite et bien d’autres qui nous auront bcp donné et apporter.

C’est beau une route, c’est encore plus jolie quand elle est bleu comme la mer et le ciel.

Pour être un ego véritable,lego vrai, l’authentique, l’absolu pas le relatif cad pour qu’il existe soit vu, reconnu un jour, à sa juste valeur, mesure,grandeur, il ne faut pas chercher à en avoir , à être vu, a être apparent.Il faut faire ,produire des œuvres , être transparent, faire sans avoir l’air de faire, avoir l’air de rien.C’est l’art de la désinvolture par ex qu’on peut croiser dans les taxis, dans le regard d’un mec qui tracte sa valise au milieu de la foule, qui vous fait un sourire, un coucou car vous avez durant un instant accroché son regard alors qu’il se rend à pied au milieu de tous là où il doit être à l’affiche ce soir là et s’exprimer, quelle belle émotion sur l’instant là par surprise et hop un souvenir à mettre dans l’album à souvenir.

C’est le regard de l’autre, qui un jour ou l’autre s’il estime, s’il vous estime qui fera naitre votre ego y compris après que vous ayez marché ou vécu.Pour avoir un ego vrai il faut œuvrer.

Nous ce que l’on doit faire ici bas, c’est marcher, fructifier, vivre et être, juste ça, c’est déjà assez difficile, complexe, pour charger la mule de plus et qui l’est déjà bien assez comme ça.

Merci à mon Gabin, mon pote archi ,à mes potes anar dont lui, sans lui, sans Michel je serai jamais allez aussi loin, il m’a porté, aidé et soutenu mon double, mon pote breton marin marrant épicurien qu’il est. Merci Michel si tu savais… y a des gens que j’aime toi tu fais partie intégrante de cet ensemble.

Un bonsai c’est le son du silence,sa petite musique, il incarne ça , c’est l’une de ces incarnations, : https://youtu.be/gAX7AKaUCgU?si=YQHME55orJMvRB_H

Preuve en est que les symboles sont important on a envoyé ceci se balader dans l’espace en mode on ne sait pas mais c’est ton jamais….

Etre vrai authentique, droit, élégant, sobre, humble, modeste et pauvre à de son importance, on est riche de son soi c’est bien suffisant et nécessaire, c’est ça les conditions nécessaires et suffisantes pourquoi s’emmerder avec plus encore, pourquoi se détruire, s’alourdir. Le zèbre est un drôle d’oiseau .L’ennemi,c’est soi c pas l’autre c contre soi son soi à soi qu’il faut se battre si on veut faire grandir, évoluer son soi et personne d’autre.Il faut savoir se faire face et arrêter de rejeter sur autrui. C’est une affaire qui peut être d’honneur entre soi et soi. Ne pas négliger l’inconscient qui bien souvent tente de nous gouverner, de nous emmêler les pinceaux, les crayons et nous trompe en nous menant par le bout du nez.C’est l’art de la face, de se faire face.

Un individu est une forme de concaténation cad un enchainement de tout et de riens, tout et lié et relié.Un segment de doite, une temporalité, un intevalle avec une origine et une fin.

Nous pouvons être d’étonnants voyageurs, faire notre festival, embarqué que nous sommes sur de drôle de vaisseaux qu’ils soient corporel,terre, autres ou dans les trains de nos existences réciproque où on peut regarder ou pas les instants de notre existence qui défilent les uns derrière les autres soit en les voyant soit en ce les remémorant.

Un train qui me manque notamment à cause de son l’ambiance, des odeurs, des gens croisés ou aperçu parfois comme à bordeaux par ex qd à une certaine époque je ne naviguai bcp à terre entre chez moi, mon boulot de missionnaire mal payé de l’époque ou la mine où j’avais choisi d’aller, histoire de me creuser et de me miner un peu plus.C’est le train de nuit, c’est l’art de prendre le train, soit l’art de partir en espérant mieux revenir un autre jour mais quand ?

Y a un gus, un mec qui m’a enseigné un truc fondamental comme d’autre l’ont fait. L’art de ligature cad l’art du geste qui consiste à poser du fil sur un arbre. Il me regardait faire, il me laissait faire puis il se pointait en jetant un coup d’œil de temps à autre , il disait ça va pas, recommence une fois, deux, trois…C’est l’art d’avoir de la pédagogie, il est pas donné à tous d’être un bon prof, les choses sont rarement donné en fait , l’art d’apprendre à faire, à défaire, à refaire jusqu’à… par le biais de l’art de prendre une leçon , l’art d’écouter celui qui sait alos que vous vous ne savez pas. Merci à mon pote Alain à qui comme à d’autres dont le frère Sans Fran, le cisco je dois bcp.C’est l’art de recevoir de l’autre,d’autrui, celui d’être réceptif à l’écoute de l’autre et non de soi

Les musiciens, la musique aura été pour moi une langue fondamentale.

tout comme celle de la mer, merci éric, merci à la navale, à l’école , à l’éducation,

Mon pote le blaireau par sa maitrise de l’art de la pédale m’aura bien aidé aussi tout comme Yann, Denez, Alan et les autres par la maitrise de leurs arts individuel, par leur voie, leur chemin.Heureux, je suis d’avoir pu en remercier certains en personne lorsque le hasard m’en a donné l’occasion , il faut bien qu’il donne un peu il peut pas passer son temps à faire que pendre, ça doit être équilibré comme tout.

Je me suis construit par et grâce à des symboles, c’est-à-dire que je suis une construction symbolique comme chacun, chacune d’entre nous, une œuvre d’art humaine vivante qui respire pisse et chie.

La mort comme la vie sait peut danser

Rame…l’art de savoir ramer même à terre face aux aléas et aux adversités en tout genre et de toute nature.

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savoir ouvrir les portes,trouver ces clés qui ne sont pas de que de voitures.

Alors possible ou non ?

En bref , en résumé, en conclusion :Faire Dé Faire Re Faire avec du Faire et sans s’en Faire , Faire
"

Nouvel opus ou chapitre au choix celui du jour

Je n’ai jamais souhaité ramener , jeter mon batave en pleine lumière que ce soi ici ou ailleurs sans être à, ou, de voir dans le port d’Amsterdam. C’est ainsi, ce n’est pas forcément un souhait, une volonté, c’est ainsi, c’est comme ça et je dois faire avec ça.

L’art de la démonstration a de son importance, tous les arts ont de leur importance, il implique l’art de penser, de construire un raisonnement, une argumentation car pour conclure il faut avoir fait le job, avoir travaillé. Il ne faut pas suivre un berger, il ne faut pas être un mouton de l’avis, de l’opinion, du pré jugé, de l’idée reçue, de la certitude, de la croyance. Non , c’est l’art de savoir dire faire non et de faire autrement tracer son sillon dans ces champs, ces espaces et ces temporalités propres en soi.

https://www.youtube.com/live/3mguumNXD_s?si=xjGqCcHkww4katgm

Du bon usage du monde, de nos mondes, du bon usage de nous, de notre soi.

comme de celui des mots,
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Savoir dire au revoir, à des trucs qui ont croisé votre route, l’art de savoir dire au revoir, comme on dit bonjour et merci.L’art du savoir vivre, https://youtu.be/aCraQMOTrA8?si=9D-z1uKs8vJ2cnUI

L’art de vivre de marcher,de penser avec une pensée en mode arborescente ou non.
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Il est important car pour vraiment comprendre, il faut faire. Une fois qu’on a fait on n’a pas a s’emmerder avec le truc car si on en a pas besoin on sait de soi même le retrouver. C’est un acquis à soi. C’est l’art de faire des acquisitions non mobilières ou foncières mais de savoirs, de connaissances, de compétences, d’images, de belles choses,de beaux et de bons souvenirs.

C’est vrai, ça, on n’a jamais su, https://youtu.be/icTX9ywGQw8?si=az0ryBZBN7Woh_ga

Mais il est important de s’en préoccuper, d’essayer par ex le biais de finalités recherchées comme celle d’être par ex, d’être heureux et épanoui. Après on peut mettre des moyens en œuvre pour tendre vers celles-ci, il faudra les redéfinir si nécessaire car comme l’horizon il faut s’en approcher mais il ne faut pas les atteindre, y a un ex fameux qui s’est bien cramé les plumes en s’approchant trop près de son but.

Il faut prendre des notes notamment pour pas se perdre dans les conjectures, la confiture, pour garder en tête ou c’est qu’on va où.

Albator, un bel albatros tout comme l’était celui de Charles , ce petit bol d’air qui fait si svt du bien qu’on on sort de la salle des machines.

A mon ami la rose

Il meurt lentement celui…ce texte ne serait pas de lui mais ça on s’en fou , c’est pas ça l’important, il est ailleurs, l’important c’est le texte, son contenu, les idées qu’il transporte et véhicule, c’est un moyen de transport d’idée, un véhicule de transport de troupe , pour les petits soldats « idée ».

Si l’un d’entre nous tombe ce n’est pas grave, un autre passera par là ou pas mais il passera à un moment donné quelque part à cause de la loi des séries quelle soit arithmétiques ou géométrique.C’est l’art de la raison sans vouloir ou avoir raison.

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Comment être pas sage sous le regard de ceux qui vous contemplent qui ne l’ont pas été eux non plus, ce n’est pas simple d’être,toisé, observé par autruis, y a le poids du regard à porter, à supporter, mais bon on peut s’y faire, il ne faut pas s’en faire et faire avec. Ils sont là réunis ensembles ,rassemblé, assemblée non élective sur une étagère et te susurres à l’oreille du regard , eh nous, moi , eh nous comment penses q tu que nous avons fait , hein vas s’y , c’est ton tour agit, fait comme nous , comment vas-tu faire toi ?, interroge toi , trouve ta réponse à toi comme nous avons trouvé les nôtres , courage l’ami, marche, avance, tire de toi de là, bouge ?…

L’art du lâcher prise, de laisser son soi ou ces mains agir ,prendre la parole en les regardant faire avec un certain regard amusé et non désabusé, celui de ne pas tout contrôler et de vivre le film en cours.La vie est un voyage au long cours, une aventure en soi.

L’art de conserver des breloques ou des trucs qui sont importants pour soi, ces amulettes qu’on met dans un cabinet de curiosités ou non , qu’on garde à porter de mains, de regards, de toucher et de présence.Son petit trésor ce qui nous retient aux gens qui nous ont été cher à notre vie., ce qui nous lient nous relient.

On ne peut pas aller contre les lois qui nous régissent , hein régis !?

A l’heure où les banquises sont en danger il serait temps de s’intéresser à leur secret, ça urge y a des trucs de première urgence, ça c’est l’art de prioriser.L’art de choisir des priorités.

Oui c’est de la littérature mais la littérature est importante pour nous, pour nous tous, pour notre évolution, elle conditionne en partie ce que nous sommes et ce que nous allons devenir. C’est ça la finalité de la culture, nous conditionner hors du capital et de façon non capitalistique. Ce n’est pas du PQ, penser n’est pas quelque chose de sale ou de grotesque.

Une autre brique, un autre lego, faire de soi , un mur, en ayant pris soin des fondations au départ, en terme de fondation, les valeurs c’est bien, c’est fondateur. Intégrer, sommer, additionner ne pas soustraire ni diviser.

L’importance des symboles ou non. L’importance du symbole « lettre », je peux pour des raisons diverses, non à varier et avarié remercier messieurs mademoiselles , « A », « B », « C », « D », quasiment tout l’alphabet en faite.La lettre « C » une lettre que j’aime, à bien des niveaux, de plusieurs manières,à plusieurs C non cédille , dont un à qui je dois bcp bcp bcp même quand il me souffle parfois dans les bronches, me colle son petit pied sur le cul du haut de sa faible hauteur de taille non mannequin.

Avoir, un regard, une vision comme par ex les photographes qui savent prendre des photos non pas pcq ils ont un gros ou le gros matos mais car ils ont l’œil,qu’ils savent,qu’ils ont l’âme nécessaire et suffisante car c’est l’âme qui fait la beauté du regard, on le doit à notre lumière intérieure à cette petite lueur parfois d’espoir qui nous éclaire, qui sait nous porter par l’espérance qu’elle fait vivre et cultive dans nos paysages intérieurs. Son petit chez soi, le chez soi du dedans a de son importance, il faut en prendre grand soin et le soigner si besoin .Savoir le poser, voir et non croire voir c’est bien différent, voir vraiment. C’est l’art de voir sans être vu.

Comme celui d’Arthur par ex de Baruch, mes amis, les artisans, les partisans de la joie , des autres, de tous les autres non rassemblés et cités.

Des photographes poétiques qui faisaient ou font des photos avec des mots, leurs maux comme d’autres font du numérique ou faisaient de l’argentique, de l’encodage qu’on donne à voir et à comprendre, des bouquets de fleurs offert aux regards des passants.





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Je pense à toi Jean , je suis avec toi par la pensée, en ces moments difficiles que tu traverses depuis peu.

Tout comme je pense à mes autres ami(e)s que je sais être en souffrance, dans des situations difficiles voir ubuesque pour certains

J’ai souffert, Denez aussi je le sais,

exceptera avec ou sans capoeira, ils ont tous porté un regard , leur regard sur notre monde et sur leur monde notamment de comme moi leur maux respectif, nous sommes des malades, de grands malades qui jouons avec des mots , des lettres, on se sert de nos maux plus qu’on les combats, on les utilisent pour pas qu’ils ne nous détruisent trop tôt.pour survivre , vivre en étant car c’est une question de survie, de survie de l’être, de l’être du dedans avec ou sans dents.

L’art de considérer, de regarder, le beau, la beauté, l’esthétique comme étant une force d’évolution,une femme, un truc qui vous tire vers le bien, non vers le mal et ces maux associés vers l’avant vers la modernité. Faire le choix de ce soleil là, celui qui éclaire partout tout le temps qu’il fasse nuit ou jour constamment sans effort et sans autre énergie que la sienne. Une énergie qui a du sens, qui fait sens et indique un sens .

Faire le choix de la religion du doute, du beau associé et réunis sur le même hôtel, dans le même soi puis qu’il faut en choisir une pourquoi pas celle-ci, hein dites moi ?

Le savoir, les connaissances, la culture sont des armes, des très beaux damas sans être à ,ni, de damas que l’on peut apprendre à manier. C’est l’art du combat, l’art de prendre les armes, l’art de faire la guerre comme d’autres font l’amour de façon intellectuel, c’est un concept, un objet philosophique, un objet invisible de la pensée, de son chez soi intérieure que l’on peut projeter, tirer, rendre visible et perceptible du plus grand nombre. Savoir faire le choix des armes, savoir choisir son corps d’armée est s’engager, engager son être tout entier. Être un être engagé et vivant. Il suffit d’un coup , un one shot.C’est l’art d’être engagé, entier et authentique, l’art d’être vrai, de ne pas être un contre façon, une usurpation.

Quand on a la chance d’avoir eu un des sensei , Sensei — Wikipédia

Dans sa vie, à un moment venu, l’âge venu, on se doit de devenir sensei, à son tour c’est ainsi, c’est l’art du sensi, le code du sensei. On se doit à son tour, de prendre l’habit, d’être, de devenir un sensei pour transmettre aux suivants comme on l’a fait pour nous.C’est l’art d’être sensei et non l’art d’être un maitre occidental c’est différent ce n’est pas la même notion, le même concept.

Dans l’art du bonsai on peut arriver à bien des choses selon la manière dont on le pratique, selon la voie que l’on a défini et construit pas à pas et pas après pas.

Un exemple d’exposition qui a eu lieu en Italie il y a peu, expo mis en scène et pensée par un japonais avec ou sans katana.On peut constater que c’est différent de ce que l’on a l’habitude de voir.Ils savent évoluer, ils ne restent pas figé, cet art est vivant ne l’oublions pas.C’est la culture de l’être, nous sommes la culture de l’avoir, des avoirs ça n’induit pas les mêmes choses les mêmes conséquences notamment au niveau de l’individu ainsi que de sa conscience.

Un pb, un soucis qu’on rencontre souvent au pays du point de vue, est le suivant, il a tendance à rester figé là où il s’est posé bien souvent.On a défini la notion de camping de point de vue pour caractériser ça, cet état, c’est à dire l’art de rester , assis immobile, statique.

Quand on veut être entendu il ne sert à rien d’aboyer, de brailler ou de gueuler à tue tête comme un chien, on n’écoute pas, on n’entend plus le bruit à force car il devient une normalité, un truc qui vous agasse, vous énerve. On ne discute pas, on n’échange pas avec un bruit, y a pas de discussion de dialogue possible, celui qui gueule est tellement occupé à gueuler qu’il est sourd, aveugle comme le sont les croyants à tout le reste il est au pays de l’émotion et non du rationnel .C’est toute la problématique de l’égo centrisme, d’être auto centré , de l’anthropocentrisme , des croyances philosophiques avec leurs dénis ou leurs peurs associés sans oublier les ignorances. Il faut être rationnel savoir pratiquer l’art du rationalisme, l’art de la raison.

Fut un temps j’étais plutôt rouge est au lieu de passer au vert, je suis passé au bleu.

Ne pas avoir peur de crever pas que sa roue, de toute façon c’est l’échéance, il en sera ainsi quoi qu’il en soit. Une des forces de la joie, c’est qu’un instant de joie à lui seul peut être une éternité donc une vie. Il faut se débarrasser de ces habits de peurs, d’ignorances, de croyances pour vivre, on ne peut pas vivre ainsi vêtu c’est trop lourd, ça étouffe, ça écrase un individu qui au contraire doit se tenir debout, pour marcher d’un bon pas alerte.

La notion d’espace, d’affect triste est importante. Le climat, la notion d’ambiance sont importantes, elles doivent être bonnes pour bien faire.

sans oublier celles-ci , https://youtu.be/d3P8rhMhpUc?si=9Vduird71ibRJadi

L’art de la matrice, transposée ou non , de l’encodage.

N’est pas un bonsai qui veut, il suffit de pas de décréter je suis pour être, comme il ne suffit pas d’avoir une crête pour être un punk à chien,ou à chat c’est un peu et bien plus complexe que cela. N’est pas Goshin qui veut ou qui prétend l’être.

Après ma majorité, je suis devenu mineur par choix.C’est l’art de la mine, du graphite, du fusain ou du charcoal, L’art du dessin, de savoir miner, de savoir se miner mais pas le moral sans être à bal moral.

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Voir loin, viser loin, être en mouvement, ne pas être statique à cause de l’art du dynamisme et de tout ce qu’il porte en lui.

Il n’est pas toujours simple d’avoir l’esprit de mission, la position du missionnaire n’est pas une prestation si simple ni facile que cela à accomplir, à prendre , être au service des autres et d’autruis, est un choix volontaire .non une servitude, à votre service messieurs et mesdames. https://youtu.be/mPsElH1Y_NQ?si=Ov3aENUBVLciri0g

Vu que tout est vanité, absurde comme Sisyphe, autant faire l’odyssée, le voyage d’Ulysse le temps de notre infime existence de poussière d’étoile.

Un texte en forme de lettre à qui sait, un jeune qui se trouve dans l’audience et qui sait soit, il en faut juste un et un seul, c’est suffisant, c’est la condition nécessaire et suffisante , https://youtu.be/7yCMwqjJReM?si=hIbHuvEZjlfu1ij-

soit la voie du Tao, faire le choix de l’équilibre de la voie du milieu : Tao (culture) — Wikipédia

Si vous considérez P’tit jean lan huzel comme on dit par chez moi, le gus qui est ou était plus précisément accroché partout fut un temps, une époque dans chaque pièce, au dessus des lits, des portes, qui se trouvait sur le bord des chemins et des routes non pas pour exprimer son calvaire mais pour se montrer.Un symbole cadre, encadre.

Eh bien vous pouvez remarquer que c’est un gus qui fait la balance, il fait l’équilibre, c’est un gus qui à chaque instant qui passe ,marche sur un fil , non à couper le beurre, c’est pcq c’est svt l’histoire d’un mec qui fait l’équilibre sur une voie, sa voie, sa propre voie qui n’était pas une voie de garage, c’est ça la voie du milieu.

Nous avons posé sur ces épaules fragile, la charge immense d’être notre symbole comme quoi les symboles et leur force non symbolique ne sont pas asymptotique. On peut aussi comprendre qu’on ne tient pas assez compte de notre milieu preuve en est la situation de notre propre milieu, notre environnement qui se cesse de se dégrader notamment par nos actions sur celui-ci suite au fait que nous avons préféré l’avoir à l’être, ce qui n’est pas forcément le meilleur et le choix le plus sage que nous ayons fait collectivement et majoritairement. Il faut bien l’avouer .Avouer c’est important. C’est l’art de la confesse sans aller à la messe.

Et en tenir compte, l’intégrer, moi ça me semble pas dénuer de sens, ça pourra avoir des conséquences qui elles seraient positives pas négatives pour une fois. Traiter les problèmes, les causes, non les conséquences, bien poser les problématiques, les problèmes vu que la soluce est généralement dans l’énoncé lui même dans l’intitulé. C’est l’art de la résolution non des droits de l’homme, de l’ONU ou je ne sais quel conseil .C’est celui de la résolution des problèmes, c’est l’art de la méthode, l’art de la résolution , celui de solutionner , de prendre des décisions soit l’art des choix sans être en Ardèche mais parfois dans la dèche.

Une solution est une création. C’est une œuvre d’art comme une autre.

L’art de savoir dire je t’M.

Bisous.

Signé Mauxd’M

© Mauxd’M production – tout droit réservé. Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur

ps : il faut être que dal tout soit rien et tout réuni.Yin et Yang

Tiens regarde, tu vois ça, c’est à toi je te la donne c’est à toi car c’est grâce à toi moi je n’en veux pas, je n’ai que faire des prix et des médailles sauf si elles sont en chocolat là …merci, respect sensei. Merci de m’avoir donner cette chance infinitésimale de vivre ça et la vie.

Le punk à chats existe pi être, aller donc savoir ….

Me souviens encore de ma première K7 comme du reste, ma mémoire est toujours là ,elle est intacte malgré le temps qui passe,les outrages subies, le rouge c’est la couleur du sang, de la peau, d’une de mes mémoires qui ne sont pas d’outre tombe, c’est tout, c’est rien de plus.

Selon quelqu’un de connu dont je tairai le nom, il y aurait plus de triskèle au japon qu’en Bretagne , un symbole, une croix, il faut mettre autre chose que des X dans des cases, qu’en Bretagne, curieux marrant non … Tomoe — Wikipédia , Triskèle — Wikipédia

En fait il y a un lien entre l’est et l’ouest, la mer, l’horizon par ex, on peut se retrouver là soi dans le sens horaire ou anti horaire.Tout le monde est uni , réuni, on a trop tendance à l’oublier.

Tout est lié…

il n’y a pas que des gars sur le chemins, "

Ce rythme sans but, ce pas, cet effort régulier des muscles chassent le vœu obsédant de l’origine (et je ne sais pas son lieu natal, et j’ai oublié le tragique dérisoire du mien). Dans la marche il n’y a plus origine ni but, et la vie n’est que cela, ce passage.

Et toute l’angoisse de l’origine et de la fin disparaissent comme une fumée. Il n’y a plus a présent que cette marche, que ce passage."

Fille du chemin, de [Jean Pierre Vidal , paru tout récemment dans la collection Les singuliers aux éditions Le silence qui roule est un livre bijou (et caillou !) qui tient dans la main, dans lequel le texte s’épanouit et se déroule au gré de la marche, dans une interrogation subtile, un récit à l’intensité tenue, aux accents rilkeens.

On va, dans la simplicité de la marche commune à travers un paysage de montagne, du rapport charnel au monde, en passant par le corps, au désir, au langage, au visage, à l’autre dans son mystère toujours entier. C’est d’une très belle justesse, délicate et persistante dans la mémoire."

Merci Gilles, https://youtu.be/HMp-gP8X-zY?si=JlKyyXwcCi0EW-2y

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pourquoi certain certains sont si proche de leur être , de leur nature ? pourquoi nous en sommes nous aussi loin ? quelles sont les différences ?

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L’ovni du jour , l’annexe.

C’est un truc attaché au cul d’un navire,un peu comme une crotte au cul, d’une histoire, d’un récit.

L’embryon du jour , il est 11h20 à St Malo.Le repas préparé, il faut bien occuper un peu son temps en dans l’attente du futur contrat , de la future mission à venir.
La petite vie de prestataire surtout lorsqu’il est libre comme une lance n’est pas toujours évidente du point charge et revenu sans être recuit ou normalisé.


Vous voyez , si j’avais encadré ça , moi j’aurais fait chic c’est pas mal, vous vous n’auriez rien vu ni compris car votre perception ne vous permet pas de voir d’imaginer ce qu’il va en sortir, le fruit de ça,de ces mots là posés ici et la sur un coin de nappe non napolitaine, non à Napple , votre cerveau n’est pas habitué à ça, à faire, il est pas éduqué pour ça.C’est une langue que vous ne savez pas lire ni écrire. Il faut cultiver sa plasticité, sa créativité.

Quand j’étais petit ,pas bien grand, je pensai que tout le monde pensait comme moi, voyez les choses comme moi vu que nous semblions être semblable,qu’il n’était pas nécessaire de m’exprimer ; j’ai vite compris que tel n’était pas le cas,que j’étais peut être un cas, j’en ai jamais été certains mais c’était une possibilité parmi d’autres.

En aparté,j’ai oublié ça pour la notion de Révolution, en mathématique une révolution est un tour, comme la terre, comment voulez vous que le fait de faire un tour soi même change quelque chose ?

La notion d’équilibre :

Pour qu’un truc soit équilibré, il doit avoir trouvé sa complémentarité, son complémentaire a1 , a2 algébrique sans être à Alger.

Yin doit avoir trouvé son Yang tout comme Yang doit trouver son Yin.

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Un exemple imagé, imaginé, l’amour est une forme d’équilibre sur le fil du temps, le fil de l’espace, sur les fils de ces deux espaces qui s’écoulent vers le néant, ils retournent tout deux de là où ils viennent,ils s’en retournent, c’est leur choix.

Des sortes de yokai, des exemples, visibles pouvant être suivis par tous là parmi nous qu’ils soient vivants ou morts.

Y a des arts dont on ne parle pas, étrange quand même alors qu’ils sont essentiels, l’art de savoir penser, l’art de savoir se comporter, l’art de savoir vivre et du savoir vivre , ce n’est pas pareil dans l’un , il est question de savoir et dans l’autre de vivre tout comme l’art de savoir lire.

Avec vous remarqué ces rayures, ces p’tit pull marine, qui sont portés par ces marins terrestre comme des pyjamas rayés, des tenues de bagnard alors qu’ils se trouvent enfermés, condamnés à perpète au bagne non de Cayenne mais de l’absurde car ils sont les êtres rayés du pays de l’absurde, ils ont voulu se barrer ,se tirer de celui-ci dont la condamnation.
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Ce petit pull marine qui se trouve bien loin du front,des extrêmes en tout genre, c’est le pull du bleu, de l’eau qu’on soit sur la mer ou dans le placenta de notre mère, c’est le pull qui nous ramène à notre origine, le truc qui nous aide à naviguer par l’état d’esprit induit, c’est un inducteur. La force de l’esprit, la force de l’état, les deux réunis sans être à Tunis ou ailleurs

Quelqu’un disait il faut être soi personne d’autre, car les autres ont déjà pris leur place à eux, il faut être soi , se faire sa place, il faut s’insérer dans le flux des navires du soi, des sois qui naviguent ici bas dans notre réalité non fictive. .

L’art de se rayer, l’art de porter la rayure, peu importe la couleur, Rembrandt avait compris l’importance des rayures, de l’ombre, de la lumière, de leur jeux, de porter l’état d’esprit de cette narine non marchande.L’art d’être rayé, l’art de prendre les rayures. L’art d’être un zèbre.

Je salue, bien bas les pieds de ces pyjamas rayés pour les exemples qu’ils ont su me montrer, me donner, pour le courage qu’ils ont eu d’être et de marché. Honneur et respect, aux pieds.Force et longue vie aux pieds nickelés.

Tomber du ciel qu’ils elles étaient, sont, ou seront . https://youtu.be/f5bFIHLScWY?si=tKdPYR7Fdn6IwSaT

Avez-vous vu cet avant /après, si cet arbre n’est pas une œuvre d’art faite par la main de l’homme , je vous demande qu’est ce donc que l’art ? expliquez le moi ?

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hop tout nu, il est fait de et par la main d’homme, c’est une collaboration entre un homme, sa nature, et la nature, deux trucs qui dansent ensemble et qui s’aiment d’un amour profond tout comme il se respecte.

Son auteur voit des histoires, des récits, dans ces branches, dans leurs détails, normal, il est illustrateur, il s’est aussi être compteur.il écrit ,dessine dans les arbres grâce aux arbres des histoires, il les illustre à sa façon et sans contre façon.

Comme il n’est pas simple d’être en avance sur l’horloge, sur son temps ou sur son époque.

Il a la gentillesse de quasiment toujours répondre aux questions que je lui pose. C’est l’art de répondre, de savoir donner, de ne pas faire que prendre et d’être gentil.L’art du partage, celui de ne pas être égoïste.

Il n’est pas fermé, obtus. C’est l’art de l’ouverture.

D’autre comme une certaine pierre qui savait soulager les âmes voyait des poèmes dans ces tableaux noir et lumineux.

Pour Thierry Font les arbres, les bonsais, c’était des poèmes.

L’auteur de cette œuvre a souffert tout comme moi, des golibets, des poubelles qu’il s’est pris sur la tête , lancées par d’autres pendant longtemps. L’art de se prendre les ordures en pleine tronche.L’art du déchet jeté.

C’est l’un des plus beau bonsai que notre sol est porté , par récurrence c’est l’un des plus beaux bonsaika, grand bonsaika que notre sol est porté.Il y en a d’autres qu’ils soient de factures, de fractures plus classiques ou non.Il mérite le respect, la considération car il a certains mérite.C’est l’art de mériter.

Quand j’ai fait le choix de prendre mon indépendance non géographique, dans ce petit milieu,parfois fermé,pas très ouvert ,c’est quasiment le seul qui m’est soutenu et encouragé à le faire, il y en avait un c’était assez et suffisant pour moi c’était important et ça en avait.Il m’a dit c’est bien vas’y, va.

Y a aussi l’art d’ouvrir sa gueule, l’art de gueuler.L’art de jouer avec sa gueule.

J’ai un pote qui écrit à ces heures perdus, il aime ça tout comme le piano comme moi. Quand il ne les perd pas, il développe, contribue au futur réseau électrique français non pas celui d’aujourd’hui mais celui qui sera de demain, celui qu’on a pas encore vu et qu’on connait pas tout à fait encore , on cherche, on imagine enfin lui moi je fais autre chose. Il crée demain, en quelques sortes. Certains de ces contemporains d’aujourd’hui le qualifient comme nous avons été qualifié par une injure, une insulte,un manque de respect, il se fait traiter de plouc. C’est l’art de manquer de respect, l’art d’être mal éduqué, l’art d’être non bienveillant et de manquer de savoir vivre.

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Une injure, une insulte, c’est un boomerang comme le mépris, c’est un truc qui revient car elle a l’art et la manière de savoir revenir au bercail.

En fait le bleu ça doit être la couleur des coups, des hématomes, qui ont fleuri sur les paysages de mon corps à force de prendre des coups, de me cogner dans des murs ou des portes, aux limites. Tout comme les cicatrices que je porte en ou sur moi et que j’ai du savoir soigner et guérir.

Pour comprendre les choses, il faut les avoir vécu réellement dans sa chair et dans son esprit.

Comme cette devise là part exemple
devise yashushi

J’entends, enfin j’entends plus grand chose, ça fait 10,20, 30, 40 ans que sous entendu je sais faire.L’argument de durée pour valider la bonne réalisation d’une pratique est faux car si on a commencé par mal faire , qu’on a continué bien …

Il faut savoir dessiner non pas que des moutons, des explications par exemple pour permettre de comprendre, c’est l’art de l’explication, l’art de montrer, l’art de donner une leçon.L’art de la leçon.

Mon pote 17 qui m’a montré cette citation a raison.

« Il est plus difficile de croire au Diable que de l’aimer ». Charles Baudelaire.

Je n’aime pas les donneurs de leçon enfin tout dépend la manière dont elle est donnée car il y a l’art et la manière de la donner.

Je suis d’accord avec mon ami marc « J ai une aversion invincible pour les donneurs de conseil. Ceux ci s imaginent déjà être sur l autre rive . Ils savent, ils savent et nous accablent de leur fausse sagesse, de leurs conseils de vie fastidieux et redondants

Ils ne sont pas même conscients du mépris abyssal des autres que cela suppose.

Ce qu ils disent est faux, leur supériorité est fictive et pleine de vide.

Ils prolifèrent comme du chiendent et sont incapables de se taire. Ils publient à tour de bras se croyant nécessaires a notre bonheur.

OR NOUS SERONS ÉPROUVÉS JUSQU A NOTRE DERNIER JOUR. La vie nous enseigne l humilité et nous mesurons chaque jour notre faiblesse. Nous ne savons rien et nous tremblons pour nos proches.

S il y a joie elle est gagnée sur l angoisse et elle ne vaut que pour nous.

Que chacun témoigne de sa vie, de ses épreuves, de ses bonheurs mais qu il évite de se croire un docteur universel qui aurait trouvé le secret de l existence.

On ne peut se rendre maître de l infini qui traverse nos vies. On peut seulement dire : délivre nous du mal car il nous menacera toujours…

MG

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L’art de se laisser faire, l’art de se laisser être libre de soi.

L’importance des livres, des récits, des petites ou des grandes histoires comme les légendes ou les mythes par ex :

Merci à toi et à mémé, pépé, vous qui avez su malgré les épreuves que vous avez subies dont la guerre dépasser vos souffrances , aller plus loin que celles-ci .Merci à toi Gabrielle, Pierre sans oublier les défunts non pas d’hier mais d’avant-hier , Joseph , Augustine.C’est l’art d’aller plus loin.C’est l’art de la rame non de papier.

Toi pierre qui a marché toute ta vie, avec ta cane comme un bâton de pèlerin après un gros conflit non intérieur malgré ce corps tout troué que la guerre t’avait donné merci à mon père, à Janine, à Guy de m’avoir donné la clé de ses livres amassés en guise de clé des champs , comme un moyen de se casser, de se tirer , de s’évader non pas vers en bas mais vers là haut vers le bleu vers l’azur sans être sur la côte d’azur. Merci à mon arbre généalogique, ma lignée encore le symbole de l’arbre et de la ligne, un objet mathématique.

Il n’est pas tout d’être Rebel ou révolté, il faut maitriser l’art de la révolte. Si vous voulez rêver, évoluer, il faut faire le choix de la rébellion, Le choix du « non » de savoir dire « stop », on fait autrement, on reprend l’ouvrage, l’œuvre, on recommence t on refait.C’est l’art de faire autrement.

Il faut dire je t’aime aux gens, c’est important l’art de dire « je t’aime ».

Un autre ex d’art complet, le bonsaï est un art complet.

Le tao enseigne la nécessité d’être dans l’ombre pou faire, pour se faire, pour aider autrui.

L’éloge de l’ombre nous enseigne l’esthétique pas que japonaise : https://www.youtube.com/watch?v=TXCYRno8Nuo&t=544s

L’art de savoir être dans l’ombre, J est un ex, il participe, fait des sculptures, qui trouvent leur place dans une certaine vallée , il participe à des projets qui aboutiront on pas sans se montrer et se faire voir, il œuvre, il fait.

Il y aura toujours des moulins pour s’élever contre l’important, à savoir le mal et ces maux associés, tous ces disciplines peut importe leur déclinaisons, les masques qu’elles portent , les cachettes ou les subterfuges employés comme on dit il ne faut pas prendre les vessies pour des lanternes.

moulin

Comme toujours deux conceptions se font fasse et sont l’équilibre.

S’écouter, savoir s’écouter, https://youtu.be/todAdyaWNLc?si=SsTGYwZUauTnwR_N

Pour faire une œuvre, il faut soi même en être une. C’est l’art de l’œuvre , de la mise en œuvre.

Le contre pied, le pas, l’art de danser, l’art de passer, de surpasser.C’est l’art du pas.

Les mots ont une couleur tout comme nous, https://youtu.be/szSPMLtLHOc?si=RSrrPda0gmp0y8SM

Un autre ex de marcheur : " De 1875 à 1880, RIMBAUD marche, avance, il ne reste pas en place. Il a des jambes immenses. Il visite le monde, apprend toutes les langues.

Il cherche quoi ?

On le rencontre à Stuttgart, Charleville, Milan, Livourne, Vienne, en Hollande, Batavia, Irlande, Londres, Charleville, Europe du Nord, Marseille, Alexandrie, Charleville, Hambourg, Charleville, l’Italie, Alexandrie, Chypre, Charleville…

Charleville et Alexandrie, il hésite?

Il hésite avant de tout quitter. Avant de rompre ? D’opter pour Alexandrie?

Alexandrie, point triple entre l’Europe, l’Asie et l’Afrique.

Le lieu de tous les possibles?

Il va descendre le long de la Mer Rouge, comme on grimpe une montagne. Jusqu’à ADEN où il trouve du travail, puis Harar…

Gardant en rêve ZANZIBAR…

La Mer Rouge comme s’il remontait le fleuve? Il est le capitaine Willard d’« Apocalypse Now »!!

Le Colonel Kurtz (Marlon Brando), celui qui est passé de l’autre coté, qui est redevenu sauvage à la recherche de l’origine ? Du paradis sur Terre?

Sur les traces de Marlow, marin anglais ayant voulu « tâter de l’aventure africaine » dans le roman de Joseph Conrad, au Cœur des Ténèbres ?

Le lieu et de la formule !! Remonter le fleuve du désir!!

Mais pourquoi ne tient-il pas en place? Pourquoi cette insatisfaction permanente, cette façon de changer de forme d’expression, de rompre ?

Montaigne peut-être nous l’explique.

Comme Cicéron, Montaigne pense que l’homme n’est pas vraiment lui-même dans la vie publique, le monde et le métier, mais dans la solitude, la méditation et la lecture.

Mais dans la solitude, au lieu de trouver la sérénité, Montaigne a rencontré l’angoisse et l’inquiétude.

Alors, dit-il, il s’est mis à écrire. L’écriture comme un remède, une façon de calmer l’angoisse, d’apprivoiser les démons.

Mais Rimbaud, au contraire, arrête d’écrire!

Et ne pouvant rester au repos, Rimbaud bouge, marche, court le monde, ne peut s’arrêter. Et il écrit ses lettres, rédige des rapports… explore les confins des continents, inlassablement, jusqu’à épuisement !!

Il n’y aurait pas de repos, pas d’oisiveté possible, pas de lieu, pas de formule, pas de paradis sur Terre…"

L’art de la poursuite, c’est l’art de savoir continuer un chemin qu’un autre a eu le courage d’entreprendre avant, d’ouvrir ou pas, de prendre la relève, le témoin, de faire le pas suivant à son dernier pas à lui.L’art de tracer sa route.L’art du pas d’après

Merci , mec , « bonsai », pas « bonzai », bordel de merde !! manche à couille,de tonnerre de Brest, https://youtu.be/GtLSKWB2ChM?si=UYvYhuJUCP8NJuow

Si on veut que les choses changent, il faut être le changement que l’on souhaite soi même .Il faut être une proposition,un exemple, une force de proposition pas un cracha, un râle non il faut faire, agir, construire , être.

L’art de savoir s’armer .https://youtu.be/todAdyaWNLc?si=UJjOBdSCj-H_0CTN

Merci, pays, mon terroir, mes racines, mon sol , son eau et ses chemins, ses horizons associés,que j’aime tant et par tout temps, https://youtu.be/Dpwu6xKTgx4?si=kZFZseLbxeWZgcMz

L’art du cœur, car ça part ça vient du cœur

On est dans le bleu

Aimons nous vivant et non mort.

La peur, pas avoir peur de ces peurs.

Un feu comme un autre ( moi c la mère) dans l’être et non l’âtre.

Protéger les plus faibles d’entre nous,dont les enfants, tout le monde des faibles, les plus faibles que soi…

Mademoiselle est partout, en tout et en chacun.

Il est 16h13 à St Malo

Il faut bien , c’est l’art de faire le con, l’andouille.

Une langue comme une autre, https://youtu.be/GrLz2-Rd-bs?si=YvOIGasn9Kr8aNFJ

Bonne soirée, portez vous bien , plus, prenez soin de vous et faite en sorte d’être un peu plus à chaque instant qui trépasse .
@+ ou pas je ne sais pas encore
Mauxd’M.

ps : reste encore bcp de choses à corriger, à peaufiner mais bon attendre que tout soi nickel chrome, puis si c’était trop bien la fraicheur, la spontanéité…C’est un brouillon , jeté sur le trottoir, un premier jet, j’aurais tout le temps de peaufiner ça si j’en ai envie et si j’en ai le temps, Il me suffira d’y revenir comme on revient au port.

induction: https://youtu.be/xFwCNgDbqnU?si=agKZxfJrj7ESd4u2

Ce que j’ai écrit ci dessus, peut s’apparenter à ce qu’on appelle une publication, une publication se fait avec méthode pas n’importe comment.

Une sorte de tribune ouverte , en forme de droit de réponse.

C’est l’art de la méthode.

Si vous avez des questions, des commentaires, des contradictions n’hésitez pas à condition qu’ils soient argumentés, constructif.Que ceux ci permettent un échange,une véritable discussion,un débat d’idées.Qu’il nous permettent d’avancer grâce aux apports de chacun ensemble .

Merci d’avance.Bonne Apès midi

Salut Corto
Je ne veux pas te blesser, mais si tu demande des avis.
Je te donne le mien.
Ton post est un monologue,délire psychédélique a mes yeux, bien trop long et on s’éloigne du bonsaï.
Et bien sur je n’ai pas tout lu…
Sincèrement a mes yeux je ne vois pas ce que ça fait ici.
Cela n’engage que moi.
Bonne soirée
Xav

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Merci pour ton commentaire, bien sur que ce post est un monologue, c’est son type, sa construction et sa nature.

Je prend du recul, en me basant sur l’ex de cet art.Il me sert juste de support, de prétexte .Je suis allé bcp bcp plus loin de ce que l’on a l’habitude de voir ou de lire couramment , de ce qui est admis comme étant une norme d’expression on peut dire, y compris dans sa forme, sa formulation c’est volontaire, ça peut être déroutant.

Là je suis plus sur des aspects théoriques, philosophiques et fondamentaux items que personne n’évoque ou presque.

Cet art s’est développé sur ,dans, des cultures, à certains endroits du monde avec leur propres éléments, histoire , …qui peuvent être fort différent des nôtres.

Je l’ai conçu d’une façon atypique.

C’est juste un exemple ni plus ni moins dans le cadre de ce type de post un peu particulier j’en conviens qui peut surprendre, voir désarçonner.

ça ne me blesse pas du tout ,c’est un point de vue que je comprend,que je respecte, je l’entend.

Tu ne connais pas sans doute après je peux pas savoir , ça, mon historique je pense je peux me tromper sur ce forum, mes précédents posts ou ce que j’ai pu faire ici ou ailleurs pendant de nombreuses années , mon parcours , mon évolution, mes rencontres comme bien d’autres qui ne s’expriment plus quand à eux,tout l’historique entre «  », ce post est dans la continuité , c’est un enchainement , y a une logique ,et ce sera sans doute l’un des deniers par ici et ici.

Je m’exprime très peu,bcp moins sauf sur ce coup là depuis déjà un bon p’tit moment car en fait ça ne sert quasiment à rien en fait pas tout à fait, à moi par ex c’est utile rien que pour ça.

y a quasiment plus personne qui s’exprime globalement par rapport à avant, plus d’échanges, de discussions , les individus sauf exception ne lisent pas…

C’est pas un hasard non plus , il y a des enseignements à en tirer c’est comme pour tout. Si on analyse cela c’est l’art de l’analyse y a pas que l’algèbre

Moi mis à part y a très peu de temps,de part tes réponses , tes interventions mais sinon je ne te connais pas, je ne t’ai pas lu ,vu, je n’ai pas eu cette occasion.

Y a des gens qui ne font que lire ne s’expriment jamais , mais ils lisent et ils ne sont pas forcément de ton avis pour leur part.C’est une majorité sur ce type de format depuis bien longtemps y a bcp plus de lecteurs que de gens qui s’expriment

J’aborde ça ici d’un point de vu axé philo,th et fondamentaux comme indique, le post est dense, très dense on va dire, c’est un truc qui n’est jamais fait quasiment que je n’ai pas vu depuis longtemps jamais dans ce cadre si.

Pourtant c’est l’une des conceptions , des façons dont certains voit cet art,l’ont défini dont ceux qui en sont à l’origine pour celle qui est asiatique .C’est la conception que l’on m’a apprise que je montre, que je transmet ici.

C’est pas celle qui plait le plus,au plus grand nombre mais elle existe et elle a le droit que les autres d’exister, de vivre et de s’exprimer comme les autres.Elle existe, vit et elle est comme l’atteste plusieurs écrits.

De plus en plus de grands bonsaikas évoque cette dimension, la philosophie depuis peu, c’est quelque chose que l’on voit apparaitre ,c’est assez nouveau, que l’on peut lire de ci de là.

Je signale, tu ne m’en voudras pas mais s’exprimer sur quelque chose qu’on admet soi même ne pas avoir lu, en parlant de la forme et non du fond…

Tu dis que cet échange n’a rien à faire ici selon ta conception à toi,en fin ton avis sans l’avoir définie,précisé ou caractérisé.Je n’ai pas ta conception à toi j’ai la mienne que j’ai développé ici tout comme d’autre ont la leur.Les conceptions sont multiples, diverses et variés. Un avis est un avis, une opinion, c’est un argument de type jugement, tu as porté un jugement sur mon post.

j’ai évoqué le fond, le thème du post c’est le fond de cet art pas la forme.ici ce n’est pas le cas.

Généralement on se limite à l’objet physique, au matériel on va dire à la forme, ici ce n’est pas le cas c’est différent et c’est aussi ce que certains ne font pas dans leur pratique.

ça doit être l’un des posts l’un plus dense que j’ai vu ici, qui rappelle certains type d’échange du passé qui n’existe plus depuis bien bien longtemps.

Je fais partie d’une époque qui n’existe plus notamment ici.C’est ainsi.

La modération n’est pas intervenue y a des raisons à ça et des liberté de créer tout comme de s’exprimer.

Merci pour l’échange.

Bonne soirée et merci encore.

@+

Je ne juge ni tes compétences, ton ancienneté sur ce forum et ce que tu a apporté a ce dernier.
Je répond a ta demande d’avis sur ce post.
Et je maintiens mon avis.
En tout cas je ne répondrai plus sur ce sujet sinon ça va durer 6 mois et 200 pages.
Mais tu peux continuer a alimenter ce dernier a ton désir.
A+
Xav

Moi j’ai fini, c’est pour ça que j’ai donné la parole à l’auditoire…

il est fini…une histoire à un début, une fin , des chapitres , un cours de type magistral sans être en amphi puis vivant ,animé, c plus sympa, etc regarde la structure du post, il est construit, bâti, conçu.Une sorte de topo, un résumé, une synthèse.L’art du topo, l’art de la synthèse…

il traite d’une thématique, d’un sujet, il est contextualisé.

Non tu juges le post lis ma réponse.tu émets un avis sur le post, ça forme c’est le sens, la direction de ton commentaire principal le premier.J’ai compris que ça te déplaisait c’est ton droit.

je suis…mais c’est important de comprendre ce genre de truc…notamment par le biais d’un truc qui se nomme la rhétorique.

il faut savoir que certains échanges se déroulent quasiment tous de la même façon selon la manière dont les choses sont dites formulées, y a une mécanique de l’échange qu’on retrouve svt.Là on s’intéresse à la forme de l’échange pas au fond dans ce cadre là.

Non et tu peux, pouvais pas savoir sans savoir et sans me connaitre ou m’avoir suivi :wink:

Pour moi c’est une sorte de synthèse de bcp bcp de choses, une demi vie dont de tps et c’est une chose que certains comprennent.d’où y a une question , y a toujours des questions pourquoi certains ne comprennent pas ce que d’autres comprennent tout comme pourquoi ça plait à certains et pas à d’autres?

@+ merci encore

Par contre corriger, modifier et ajouter a tes messages c’est pas forcément correct dans un dialogue.
Ce sera le mot de la fin pour moi.

Oui tu as raison mais tu peux répondre si besoin.Ce point mérite réflexion, peut déstabiliser dans un sens il est intéressant par certains aspects et pas par d’autres nc effectivement Déontologiquement parlant, du point de vu dynamique.

L’outil a la base a été développé pour des informaticiens , avoir des échanges dynamiques notamment pour faire du développement ,on va dire que pour un forum ce n’est pas… même si l’outil est très intéressant sur bien des points,c’est ce type de cadre d’échanges que je suis, ce qui n’est pas le cas de tous.

On pouvait le faire dans l’ancienne version bcp moins il est vrai mais c’était également possible, je dis pas c’était après pouvoir reprendre si besoin moi j’ai des lacunes je suis obligé de bcp m’y reprendre , je ne me victimise pas c’est ainsi c’est juste pour l’indiquer.Je fais avec et là su je devais tout corriger et reprendre…

C’est à dire que pour moi tout un chacun peut modifier sa partie, vu qu’il en a la possibilité et que la fonction existe.

Je m’excuse et je te demande de bien vouloir me pardonner pour ça.

Tu vois tu m’auras donné qqch, en me donnant à réfléchir j’ai appris un truc grâce à toi j’ai fais un pas grâce à toi à ton intervention, tu as eu raison d’intervenir , de dire ce que tu as dis.Là y a échange/partage, chacun est reparti avec un truc grâce à la discussion.

Admettre ces tords que l’on sait trompé s’est important pour progresser, et il faut intégrer ces erreurs ont apprends bcp par celles-ci.

moi je vois ces échanges comme une correspondance pas forcément comme une discussion les temps sont différents mais oui sans contextualisation et si on est dans choses différentes, ça avoir des incidences.

Bonne fin de soirée et merci encore.

Aucun soucis Corto
Je reconnais etre un peu susceptible mais pas rancunier.
Bonne fin de soirée.
Xav

Epilogue, c’est l’art d’épiloguer

J’espère que tu as que vous avez passé une bonne nuit.

Vu passé sur l’un de mes fils de liaison hier soir et ce matin, c’est bien de faire de la veille qui peut être que pas documentaire.

ça dit ce que j’écrivais hier, avant hier ici même ce que j’ai trouvé au fin fond de ma poubelle corporel ou non en fouillant les déchets qui s’y trouvent en faisant du ménage en quelque sorte et des sommes.

ça confirme, ça infirme , ça valide, je peux donc poursuivre ce choix, y a convergence, je me suis pas trompé, ma conclusion est partagé par d’autres que moi qui sont arrivés à la même conclusion par leur propre réflexion, pensée à eux.

C’est avec ce genre de chose que le savoir se construit en science par ex par le biais du consensus scientifique y a donc aussi le consensus culturel vu que tout est lié, c’est ce que l’on peut en déduire.On est d’accord.

soit de l’émerveillement ce que d’autres ont aussi dit et démontré à plusieurs reprises .La joie en somme en tout et pour tout.Ne pas négliger l’art de l’imagination ni celui de l’éducation de l’être, la construction de l’individu…

cqfd.

C’est par là …le cap est par là…vers l’horizon toujours vers des horizons nouveaux.J’ai un peu réfléchi à la question comme l’atteste les écrits ci derrière celui ci, je me suis posé dessus.

Avouez que parler, art du bonsai sur un Forum qui s’intitule : Parlons Bonsai cad Parlons de l’ART DU BONSAI ça fait sens , ça a du sens que ce n’est pas un contre sens.

https://youtu.be/e1-Td67m6tY?si=l6uqwt8wnEu3bynZ

J’ai fait le choix de laisser certains texte, en l’état suite à l’échange de hier soir.Leur état est du à moi, à la vitesse de frappe, à mon matos qui …peine un peu parfois mon p’tit cheval de pc va pas aussi vite que je le voudrai.

Moi pour que mes textes soient lisible, je dois énormément les travailler, les retravailler.Ici on est sur un truc de type manuscrit, une œuvre brute qui n’a pas été finalisé relue par les relecteurs ou trices comme c’est le cas pour des œuvres qui elles sont éditées, j’ai sauté des intermédiaires entre moi et le lecteur, du moins pour l’instant.C’est du brut de fonderie, j’aime la métallurgie , c’est grâce à celle-ci que je suis passé par Charleville, sa fonderie, je lui dois bcp ainsi qu’à mon mes profs qui m’ont enseigné et fais découvrir celle ci avec notamment les diagrammes de phases, les traitements thermique superficiel ou non.

y a la marche vers l’avoir et la marche vers l’être, à un moment il faut faire un choix tout en sachant que l’on peut toujours revenir sur un choix qui est une sorte d’état.C’est l’art de l’état de l’être.

Une médaille a toujours deux revers, le choses et le tout aussi, c’est un ensemble de revers.


pour changer, il faut essayer, se transformer, c’est l’art de l’essai qu’il soit littéraire ou pas, l’art de la métamorphose, de la transformation on n’a pas tous la chance de pouvoir écrire à un père.L’écrit, la parole enfin l’expression est quelque de chose de capitale en lettres peu importe la langue là façon dont on s’exprime ça doit sortir, le flot doit s’écouler c’est l’une des énergies de la marche, des pas.

En terme de méthodo, j’ai suivi celle-ci.

Si on considère l’ensemble des arts, on peut faire une réduction sur l’un d’entre eux ici le bonsai , une focalisation ici le bonsai sur l’un d’entre eux , pour démontrer , mettre en évidence qqchose pour en conclure , ensuite on peut extrapoler aux autres afin que l’on puisse généraliser à l’ensemble des arts car il y a des similitudes, des synergies.

Il faut être je, non tu ou vous, le nous est un ensemble de je.

On laisse pas je causer svt car il est pas comme soi et que l’on ne souhaite voir que des comme soi.Ben non , la différence pemert au je, au soi de se construire, de grandir, pas tous les éléments que autrui peut donner au soi si on sait les recevoir et les ajouter à soi, ainsi son soi n’est pas uniquement son sien mais il est aussi les autres car on est aussi constitué des autres de parts leur apport respectif à notre soi.

Réduction : Alloprof aide aux devoirs | Alloprof

Similitudes : Similitude (géométrie) — Wikipédia

Extrapolation : Extrapolation (mathématiques) — Wikipédia

Intégrer, c’est additionner, c’est une somme , Intégration (mathématiques) — Wikipédia

Quand on crée un truc, y a un truc à savoir, à apprendre ça fait parti des trucs à apprendre, à comprends c’est s’arrêter l’art de savoir arrêter , dire là je considère que c’est fini que je passerai ou pas à la suite un jour peut être ou pas, on n’en sait rien c’est ici, c’est comme ça

Pour la petite histoire, l’Histoire avec un grd « H » est svt faite de petites histoires, d’anecdote.C’est l’art de l’anecdote , de l’histoire, du récit, l’art de savoir raconter.

La première lampe non de chevet que j’ai faite, qd on a grandi sous le regard d’un phare qui se trouve non lui d’un four, il a été pour moi une éférence.Il est important d’avoir des réféences, des points de repère si on se se perd et on peut se détruire voir s’auto détruire.

Enfin bref j’ai fait ça, que des rectangles sur les 4 faces, que des angles à 90°.En céramique un angle à 90 ° c’est une amorce de fissure , de rupture possible donc il y avait x sources possibles de …

Selon la personne qui a eu en charge ses deux cuisson, ben oui 2 cuissons donc deux situations possibles de…d’après la pièce ne pouvait qu’exploser vu la configuration de celle-ci.Eh be non, elle est toujours là et m’éclaire toujours ma petite lanterne en raku sans être à la lanterne.

Comme quoi c’est possible, comme quoi il est bon d’avoir des failles, c’est l’art de la faiblesse que tout un chacun a et porte avec lui, il faut considérer les faiblesses de l’autres comme les siennes tout autant que les siennes, ces persiennes à soi sans être à Sienne

L’art d’écrire sous le regard des passants, qui peuvent vous voir, interagir, merci à celui qui a pris le tps de s’arrêter de discuter un peu, l’échange fut positif, constructif et fructueux.

Il serait intéressant que cet art jeune chez nous, mineur qu’il est grandisse et atteigne sa majorité comme il l’a fait ailleurs par ailleurs et comme d’autres l’ont fait partout ailleurs

La finalité de cet art pour les cultures, les civilisations de l’être non pas de l’avoir s’est l’élévation soit le fait de grandir, c’est mathématique.ils sont dans l’abstrait pour eux c’est un art abstrait nous on est encore pour l’instant à l’art concret, l’ascenseur n’est pas encore arrivé à l’étage supérieur c’est work in progress comme on dit.

Les différents imaginaires car il existe plusieurs types d’imagination, l’une d’elle étant l’imagination symbolique.https://youtu.be/Zzslt6ovejE?si=NS0w2FZ9JCARnCxi

Bonne journée à toi, à tous .Porte toi bien et take care of you.
Bon courage
Bisous
Mauxd’M

chacun son tour au suivant,j’estime avoir fait ma part, bon courage à lui, elle à eux,

Salut Corto
Comme tu le dis-toi même cet ensemble de texte est une somme inédite et pas du tout calibrée.
Je te dis un franc merci pour ce partage complètement digressif, pantagruélique, indigeste, illisible, inutile et pourtant tellement sincère, rempli de documents foutraques, qui me redonnent goût à la complexité des choses et de la pensée humaine.
Sincérement, respect pour cette livraison de taille.
Comme tu es attaché à l’échange, j’y vais de ma contribution, ça me paraît la moindre des choses.
Utiliser CQFD dans une discussion quotidienne me paraît un triste raccourci, un signal en terme de point final au moment juste où pourrait avoir lieu l’échange. Mon père, brillant esprit, avait ce tic de langage au moment de conclure ses monologues en fin de repas, aviné. Enfant, j’ai mis plus d’années à découvrir la signification du sigle qu’à déchiffrer les signaux que la conversation était terminée, unilatéralement. Ça c’était instantané.
La bise à toi, merci encore.

Et dire que le déclencheur de ça , ce fut le manque de respect d’un individu envers quelqu’un d’autre qu’il n’a pas trouvé digne d’intérêt,pour converser avec lui, moi je ne voulais pas intervenir ça a été plus fort que moi.Le manque de respect induit une blessure, c’est un coup que l’on porte à l’autre y a une intentionnalité, il ne faut pas blesser autrui.La notion intentionnalité est importante, elle relève de l’induction.C’est un signe de manque d’éducation ainsi que de savoir vivre et de savoir être.

Si certains code sont important pour d’autres ce n’est pas par hasard ni un hasard.

Il y a eu une induction, une causalité, un élément déclencheur, il y en a toujours, c’est ça qu’il faut trouver, le patient « 0 ».

Il m’a fallut des décennies pour comprendre certaines phrases de Yashushi Onouma, la compréhension n’est pas loin s’en faut instantanée, mon sensei japonais, dans cet discipline artistique, j’en ai eu d’autres mais lui m’a aussi beaucoup apporté comme les autres.puis un jours, des jours par hasard comme ça au détour d’une réflexion…
Il m’a surtout éduqué à un autre type de pensée que le mien, à un autre formalisme, une autre façon de voir, à avoir un autre regard.Il m’a donné une paire de lunette, avec une grande générosité.

Pour les comprendre un jour, il faut les avoir lu,entendu ou vu…c’est une graine, une forme de plante.

S’intéresser à la façon dont Henri Pointcarré grand mathématicien français connu , reconnu pour 2/3 trucs à trouver sa conjecture est intéressant, un jour comme ça.

y a encore des trucs dont on n’a pas encore fait le tour aujourd’hui comme les écrits de Spinoza par ex qui a eu une vie difficile, qui fut maltraité par ces contemporains tout étant opticien , au petit soin en quelque sorte pour eux , il faisait des lunettes non pas de wc mais de vus pour les autres.Il nous aura énormément apporté,donné, il a été l’un de ceux qui ont été fondateur pour la pensée humaine notamment par l’éthique, il faut avoir une éthique, si tenir, c’est l’art de l’éthique et non de l’étiquette, art que l’on pratique de nos jour, au lieu de l’autre.

Cette expression , moi je l’a dois à ma prof de math de 1ère S, la mère Michelle qui avait perdu son chat , elle et son mari étaient deux terreurs de la ville de Brest au niveau de la mathématique.Elle aimait le théâtre qu’elle pratiquait, elle voulait le mieux pour nous,qu’on réussisse, c’est pour cela qu’elle était dure, très exigeante pour que l’on se cherche pour que l’on se sorte les doigts du derge.Vive l’enseignement public et laic.

Pour les non initiés ou pratiquants , elle signifie Ce Qu’il Fallait Démontrer.

C’est grâce à elle qu’un beau jour de janvier, j’ai eu accès à l’ensemble des mines, je n’avais qu’à faire mon choix.Je ne regrette pas mes choix, il faut jamais rien regretter les choses se passent comme elles doivent se passer , c’est un proverbe indien pas les rouges, les tout doux , les hindoux par contraction non musculaire.

Grâce à elle j’ai eu mon bacho avec mention sans avoir eu besoin d’en faire.Tout surpris que je fus d’être accroché à celui là ne voyant pas mon nom ailleurs,je pensai pas être vu nombre d’impasses, on m’a dit he viens voir là par ici.Carton plein du moins en math, pleine cible.

Une autre fois dans un autre contexte, têtu qu’est le breton, j’ai pris une bulle gros coeff par choix, bilan avant dernier de la promo, …

Bien des années après quand je me suis pointé la gueule non enfariné après avoir passé une semaine non sur ile pas que paradisiaque à rien foutre, alors que la semaine d’après…j’ai eu le droit à un exercice de la mère Michelle, j’ai du retrouver le truc en moi même, qu’il était enfoui loin.J’avais bien bossé le concours pdt 6 mois au paravent on m’avait dit que oui mais en fait ce fut non donc je suis revenu plus tard.

La notion de graphe, de réseau.

Je dois bcp, ma vie quasiment aux enseignants, à l’éducation, à mon envie d’apprendre ,de grandir que j’ai depuis toujours eu sans savoir pourquoi sans envie ni volonté …et sans efforts ni sacrifices tout a un prix , il est parfois très très élève mine de rien avec ou sans crayons.

La complexité, la pensée humaine , c’est bo esthétique c’est de l’art, de bien beaux océans.

Je ferme jamais de portes…il ne faut pas s’enfermer, jamais.

Merci pour l’intervention, je suis content de te lire et d’avoir de tes nouvelles.

Heureux de t’avoir revu, lu, merci pierre pour cette intervention,les autres, bonne fin de journée.La bise y too

Quelques mots de celui qui fut mon sensei, dans l’art industriel

L’homme et la machine ne font qu’un.Tout comme un homme et un bonsai ne peuvent que faire un.Tout deux sont sorti de son esprit, le créateur, l’inventeur connait les moindres détails de son œuvre car il en est le père, l’œuvre est son enfant et on enfante souvent dans la douleur, c’est pas un acte facile en soi.

Marcel Dassault a été mon sensei dans l’art industriel.J’ai fait le choix de pratiquer autrement à cause du Réchauffement Climatique dont nous portons la responsabilité, vu qu’une responsabilité s’assume comme il faut assumer ces choix.

Il a été démontré que depuis la révolution industrielle, nous avons impacté le climat par nos actions et nos, si on considère une autre échelle, c’est très court et rapide.On a été assez stupide pour faire ça.

nous sommes un animal comme un autre.

C’est aussi quelqu’un qui a souffert, les gens qui ont souffert ont des points communs, des intersections, des similitudes.

J’ai vécu une enfance très très difficile, pleine de souffrances, de violence ça a induit que …il faut veille et prendre soin des mômes en souffrance et dans des situations, il ne faut pas les laisser dans leur merde, les traumas subient sont des inducteurs de vie, c’est à dire qu’ils conditionne l’existence de ceux qui les ont subi, la guerre est un très bon ex.

Nous autres avons développé favorisé une société dans laquelle il est difficile de vivre, d’être et de s’épanouir en tant qu’individu car nous avons fait le choix de l’auxiliaire « avoir » et non " être", ce n’est pas sans conséquences ni induction.

Pour s’en rendre il suffit de regarder, d’analyse, de voir les crises en cours, celles qui sont en train de naitre.On traite pas les pb, on courre après les conséquences.on fait mal de la gestion d’urgences et ça ça ne peut pas marcher, aboutir à des solutions s’entend on ne fait que créer d’autres problèmes , on crée une accumulation de pb par effet rebond, encore appelé le paradoxe de Jevon,Paradoxe de Jevons — Wikipédia


J’ai participé avec d’autres à certains projets qui ont impacté , eu une incidence le climat accentué le réchauffement climatique,j’ai ma part de culpabilité , c’est une culpabilité, une responsabilité que j’assume.J’ai donc un jour décider d’agir en conséquence, cad de faire mon mieux pour contre balancer mes erreurs de choix.
Je porte ma croix comme y en a qui dise.

On doit bcp à ses origines dont sa ville d’origine par tout ce qu’elle porte , a porté et a induit en vous, c’est une ville dont les Brestois sont amoureux sans doute comme tout un chacun l’ait de sa ville de naissance.

parfois faut savoir être,avec ou sans liquidité,

cette question se pose aussi , la science c’est le fait de se poser des questions, c’est le doute, ne pas savoir, il n’y a pas de vérité, ce n’est pas une croyance.Tout ce qu’on sait ce sont des choses à un instant « t » qui si ça se trouvent auront changer d’états à l’instant « t+1 ». C’est une photo d’un instant donné avec des connaissances données.

C’est marrant de voir de constater jusqu’où cette simple pratique artistique qui en reliant la nature de deux êtres à savoir nous et la terre peut amené l’individu car ils s’aiment, pcq qu’ils sont tout deux de magnifiques créations de belles œuvres d’art, ça tout deux sont beaux, esthétique et réunis dans un tout bien plus grand qu’eux deux réunis.

il est plaisant de voir qu’un simple loisir…c’est important les loisirs sont importants.

La musique est une forme de culture comme une autre, j’ai lu il n’y a pas si longtemps que ce truc comme d’autres pouvait soigner sans doute les âmes meurtries, cabossées, accidentées.

Un truc a connaitre l’art de la résilience qui n’est pas que l’une des caractéristiques, des propriétés des métaux.Boris a très bien étudié cela , ces écrits l’attestent, Boris Cyrulnik Traumatisme et résilience

par anologie, l’analogie est la base de la pensée systémique, l’esprit humain ça peut être ça…une jolie machine qui détruit pas forcément et ne se détruit pas forcément, un jolie vélo c’est juste la cinétique, la chaine cinématique qui diffèrent .Une autre forme de pédalage, l’art de pédaler dans la semoule .

Pirouettes cacahouètes poet poet !! à l’endroit , à l’envers de l’endroit.

La technique est le chemin et le chemin est la technique.L’art de savoir marcher et l’art de la technique.D’ou l’importance de la voie , du faire …

On peut même écrire la Bo du livre, faire un livre animé, vivant, évolutif

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La beauté souffre [Partie 1 - Le mathématicien] Ce n’est pas son parcours spécifique qui est crucial, c’est ce que représente son parcours. Que nous écoutions un morceau de musique, utilisions un élément technologique ou regardions un tableau, nous sommes, à ces moments précis, en contact avec une sorte d’expérience humaine autre que la nôtre. Dans de nombreuses cultures à travers le monde, il existe une tendance à idolâtrer les grandes réalisations sans prêter attention à la lutte humaine très réelle qui a lieu pour que nos propres sens reçoivent une nouvelle sagesse. Les véritables points culminants de ces types de plaisir se révèlent dans ce que l’on peut mieux décrire comme une crainte transcendante. Même si de nombreuses effusions de l’âme humaine ne proviennent pas de souffrances et de sacrifices, la majorité d’entre elles le sont, aussi subtiles soient-elles. Bon nombre de nos plus grandes découvertes artistiques, sociales et scientifiques sont nées du fait qu’un ou plusieurs êtres humains les ont payées dans une monnaie ou une autre. Le paradoxe est le suivant : si une grande partie de votre culture dont vous appréciez est liée à la souffrance et que vous aviez le pouvoir de supprimer la souffrance de l’histoire humaine, le feriez-vous ? Cette série est dédiée aux héros vivants et morts, chantés et méconnus, qui continuent de lutter ou de lutter de quelque manière que ce soit pour que je puisse, de temps en temps, vivre ce moment transcendant de véritable connexion avec mon humanité et mon existence. C’est pour ces moments que je vis. Vidéo : BBC Horizon - Le dernier théorème de Fermat. Musique : James Horner - D’un seul cœur, d’un seul esprit."