Dans sa description très complète de l'environnement de son Cornouiller, Na explique tout comme moi que c'est une espèce qui pousse sous couvert
Et si on lit bien ( et pas seulement ce qu'on veut bien lire et citer ) , le post de boots juste après
J'en ai vu beaucoup sur les hauteurs de saint Antonin noble-val (gorges de l Aveyron).Et au printemps a l'ouverture de la truite ce sont les seuls arbustes fleuris sur les coteaux. donc quand je dis beaucoup, c'est BEAUCOUP!
Juste incroyable l’arbre. C’est le genre d’arbres ou je me gratte la tête je retourne vers mes arbres et je me dis j’ai encore bcp de chemin à parcourir.
Cet article vient plaider en la faveur de la réflexion de Waoo sur le fait de travailler mon arbre avec une partie en bois mort.
Lorsque je ne savais pas encore si l’arbre allait bourgeonner de partout ou pas, une de mes options était de considérer que certaines parties pourraient être travaillée ainsi afin de justifier une absence de branches.
Je ne sais pas si je l’avais déjà dit ou pas sur ce post mais j’ai vu comment Harry Harrington travaille les grosses racines en les creusant et ça pourrait être une piste pour faire monter le bois mort par la grosse racine de droite.
Peut-être l'as-tu dejà fait, mais sinon, ce serait pas mal que tu dessines un projet pour ton arbre, pour y voir clair ? Tu trouves la face avant et à parti de cette face avant, tu dessines ton projet : où se trouve la branche principale, où se trouve la cime ? où se trouvera le shari etc etc
Créer du bois mort ex nihilo est délicat car le risque d'un aspect artificiel guette. C'est beaucoup plus difficile à réaliser que d'exploiter le bois mort existant et les exemples de ratages ne manquent pas.
Pour ma part , une fois que les charpentières de ton arbre se dessineront, je me contenterais du traitement des moignons. Et cela peut se faire avec interet selon la technique Tony Tickle par exemple (Perçage + Arrachage des fibres + Brossage + Chalumeau)