Il fleurit magnifiquement, mais jusqu’au bout du bout des branches et je nai que très peu de bourgeons à feuilles en amont de la floraison.
Je perds donc régulièrement des branches après floraison.
Jusqu’à présent (ça fait quand même un bonne vingtaine d’année que je l’ai…)j’ai bricolé et lui et moi avons trouvé le moyen de faire illusion, mais quand même, j’aimerais bien connaître une méthode pour garder une sortie de feuilles qui garantisse la pérénité des branches…
Vous avez une idée ?
Intéressant !
D’autant plus que la problématique dépasse Prunus serrulata.
La même question se pose avec Prunus mahaleb.
Là où il ya des bourgeons à fleurs, il n’y aura pas de bourgeons à feuilles.
Je suis aussi intéressé par une réponse
Le Prunus spinosa (prunellier) échappe à ce travers
C’est la problématique des arbres a noyaux. Il faut lors de la taille trouver des rameaux mixtes. Et revenir en arrière régulièrement pour favoriser les yeux à bois. Plus facile a dire qu’à faire… j’ai perdu un péché qui ne faisait que très peu de bois. Je pense que cette taille est à faire au début du printemps pour essayer de favoriser le percement en arrière. C’est comme ça queje fonctionne sur mes fruitiers. Tu peux aussi tenter la greffe en écusson.
J’ai deja tué une azalée de la même facon.
Sur les.arbres a fleurs ont doit supprimer les bourgeons avant la floraison. Cela leur demande trop d’énergie. Le fait de nourrir en engris et en eau a cette période évitera l florison.
Prends la floraison comme un cadeau d’adieu, je concentre mes dernière firce pour me démultiplier.
Plus la floraison est importante, plus l’arbre est en perte de vitalité
c’est le problème de la majorité des prunus, il faut supprimer les premières feuilles de la base des branches pour favoriser les bourgeons à feuilles, mais cela ne marche pas à tous les coups
Tu veux dire un effeuillage partiel, à la base des branches, qui relancerait la production de pousses à bois ? Oui, ça me parle ça et je n’y avait pas pensé.
Je vais essayer cette année. À quelle époque préconises-tu de faire ça, Noiretna ? Fin de printemps, disons mi juin ou bien plus tard, afin qu’il n’ait pas le temps de faire un bourgeon à fleur ?
Au printemps prochain, je vais aussi tenter de sacrifier une floraison et revinir au plus court, en ne laissant que deux bourgeons.
Je vais essayer fin juin, en coupant les pétioles des 2 feuilles de la base des rameaux et ne laissant que 1 ou 2 boutons à fleurs.
J’y crois à cette technique.
l’explication c’est que les bourgeons à fleurs sortent à la base des premières feuilles ?
je vais essayer de le faire sur le mien, dès maintenant (je ne vois pas l’interet d’attendre) ça ne mange pas de pain, moins risqué qu’une défoliation totale
Cette technique semble satisfaisante à l’esprit.
Mais cher @Noiretna ; il serait bon de savoir si tu l’as pratiquée personnellement, sur quelle(s) espèce(s) et avec quel taux de réussite (genre réussite garantie, parfois, une fois sur deux, rarement etc…)
L’intérêt que j’y vois de ne pas le faire maintenant, c’est de ne pas risquer que ces nouveaux bourgeons obtenus après éffeuillage partiel, aient le temps de ”tourner” à nouveau à fleurs.
Mais si tu le fais maintenant Clem, c’est parfait, on pourra de cette façon, comparer les résultats.
je le pratique sur prunus cerassifera , tomentosa, et mume, le taux de réussite n’est pas garanti, je ne fais pas de statistique mais je dirais une fois sur deux
Voici une technique qui vaut la peine d’être essayée.;
Vers la fin de juin; lorsque les,pousses de l’année commencent à durcir;elles sont « pincées » à 3 feuilles. « Pincer » au sens littéral ;c’est-à-dire ne sont pas coupées, juste pliées vers le bas.
Obtenir des bourgeons à bois est une question de dosage d’énergie. Ici les 3 bourgeons de la base deviennent plus forts que si la pousse n’est pas pincée; mais moins fort que si elle est taillée.
Merci pour cette vidéo dont le contenu est pour le moins original. Elle est bourrée d’idées qu’il est possible d’extrapoler.
Ceci dit, après l’avoir visionnée intégralement, je suis descendu dans mon jardin pour caresser les feuilles de mes Prunus mahaleb dans le but de découvrir la différence de texture dont il est fait allusion dans la séquence et qui permettrait de localiser les futurs bourgeons à fleurs et/ou à feuilles.
J’ai palpé, caressé, tripoté par en dessous, par au-dessus, j’ai paluché les premières feuilles, j’ai attouché les plus récentes sans y sentir la moindre différence de rugosité.