chêne pédonculé

Merci Pierre pour ces précisions sur l’oïdium. :+1:
La mort de cet arbre est une erreur de ma part car j’ai sous-estimé l’impact de ce champignon. Pas sûr qu’il soit totalement responsable de la mort de ce chêne mais ce qui est certain, c’est qu’il l’a affaibli.
Je serai plus vigilant à l’avenir avec mon autre chêne en formation.

La première fois que j’ai lu qu’il t’arrivait de déplacer tes arbres sur l’herbe, J’ai été étonné…
Mais maintenant qu’on en reparle, je dirais que je n’encouragerais pas à cette pratique.
Je trouve que c’est exposer les arbres à toutes sortes de danger.
Tu les mets à portée des insectes rampants, les limaces et escargots, les fourmis.
L’humidité, ensuite, qui y est constamment présente : cela facilite les attaques fongiques.
Historiquement, les japonais ont toujours placé leurs bonsaïs ou kusamonos sur des étagères. Je ne pense pas que ce soit pour de seules raisons d’esthétique ou d’accessibilité.
Plus d’arbres sur l’herbe : c’est la première leçon que je tirerais de cette mésaventure

Ta remarque est très judicieuse bonsaiphil.
Après coup, c’est également mon ressenti.
Je ne me suis pas (encore) fait de coin bonsaï avec étagères, etc…
Cette année, je vais prévoir de les mettre sur de petites tables basses de jardin, ainsi, l’air devrait mieux circuler dans le feuillage.

Tréteaux + 2 ou 3 planches : C’est économique, efficace et pas moche
Parpain + planches ; Solilde mais pas très beau