Préambule, vous allez dire c’est long, ben pour moi c’est court, synthétique, question de perception. La mienne n’est pas la votre, c’est comme ça, c’est ainsi.
Prenez le temps de lire ce qui suit pour vous, moi je m’en fou, moi je n’en ai pas besoin, c’est en moi pas en vous.
N’est pas Hemingway qui veut,il faut être soi car autrui est déjà pris comme l’a dit Oscar Wilde, c’est exact.
Soyez vous même !! Pensez !! Exprimez vous !! Be Yourself !!
L’auteur qui comme moi, comme bien d’autres est passé par cuba,il y est là en ce moment, un pignon qui s’affiche sur des pignons de rue ou non …on doit beaucoup à Arthur R.Ernest pignon Ernest, qui a du compléter son nom pour un histoire de nom d’homonyme à ces débuts.
Arthur incarne l’éthique, l’esthétique au yeux de certains, il a été ces deux choses là, c’est pour ça qu’il a fait, produit, ce qu’il a fait.Il a été l’esthétique et l’éthique réunit dans le cœur, l’âme d’un individu.C’est ça qui l’animait qui le faisait vivre, il vit encore.Sa raison d’être puis de se détruire.Pour les nippons elles sont essentielles.
Pour bien répondre comme il le faut, il se doit …
Ce que Daika explique c’est son intention, sa position, sa volonté, sa vision, c’est ça qu’il exprime, son rôle de Sensei. Sa finalité est de faire progresser l’être de l’autre par le biais d’un support ici en l’occurrence le bonsai qui est un art bien singulier, c’est la finalité de l’art en général, c’est pour cela qu’on parle d’émancipation, d’individualisation.
Le fait qu’il soit ainsi c’est lié à sa culture, son héritage, c’est un truc qui peut parfois être lourd, pesant sur le dos d’un individu mais ça fait parti des bagages qu’on trimballe partout sur son petit soi.
La culture japonaise repose sur la notion d’être, elle vénère la nature, croit à des choses auxquelles nous ne croyons plus depuis bien longtemps .Elle est progressiste, elle considère que pour faire progresser l’ensemble chaque être doit progresser.
Je suis d’accord sur ce principe là car il tient la route, c’est une théorie qui se démontre, se prouve. Elle l’a d’ailleurs déjà été démontrée à plusieurs reprises.
Vue que c’est une ile, au japon il est considéré que chaque famille descend de celle de l’empereur quelque part c’est a dire que c’est une seule et même famille,entité ou végétal soit un seul être que tout est lié.
Nous on a encore du mal à croire qu’on descend du singe, lui de son côté vu , ce que fait sa descendance, il doit avoir honte de celle-ci à n’en point douter.
Moi, je ne rentrerai pas dans les détails, car ce n’est pas nécessaire, je ne suis pas un universitaire, on ne commence pas par s’occuper du boulon de 8 mm.Moi j’ai du m’éduquer seul ainsi que ma fratrie car personne ne nous a aidé. A certains ça leur donnent la haine, d’autres comme moi ça les met en colère, chose qui peut prendre un certains temps avant de se calmer ou de muter en autre chose. On a eu une chance que d’autres n’ont pas ou non pas eu, on a dépassé nos souffrances, on en tiré profit malgré tout chose dont on se serait bien passée. C’est aussi lié au fait d’être né au pays des pb complexes et insolubles. Être né Pauvre aussi, fut une chance dans un pays riche, ça oblige à faire avec rien, à se satisfaire de rien ou de pas grand chose, de faire avec ce que l’on a soit sa carcasse qui se délabre avec le temps les intempéries de la vie quoi. Tout comme le fait d’être breton à cause de ma culture, de mes racines, de mes origines, de nos légendes et de nos contes.
J’ai découvert le « kaizen version avoir » c’est à dire l’amélioration continue grâce à mon prof de méthode en génie méca, 5S, Amdec, plans d’expérience, 5 ou 6 sigma, Smed , etc….
Ces méthodes, outils ont permis au japon de se remettre sur pied à l’issue de la seconde guerre mondiale.
C’est connu chez nous sous le nom Lean Manufacturing, ça a vu le jour chez Toyota, ils ont ça dans le sang, dans leur âme, ça fait parti d’eux de leur culture. Ils se sont appuyés sur leur culture, leur racine pour se relever, c’est ce que fait tout individu qui tombe sans tomber , on ne grandit pas soit dit en passant.
« Toyota et la genèse du Lean Manufacturing L’organisation du travail est repensée pour réduire les gaspillages de ressources, notamment les stocks inutiles et le temps de travail. La surproduction et les opérations de transport ou de maintenance inutiles sont supprimées. La performance industrielle est en ligne de mire. »
Ils seraient temps qu’on s’intéresse à la robustesse comme certains l’indiquent car la performance crée des systèmes, des êtres fragiles.Toute chose induite a des conséquences.
Certains vont d’est en ouest comme le soleil, moi j’ai fait l’inverse sous l’impulsion de mon prof de métallurgie, matière à laquelle il m’a donné gout et non le dégout. J’ai choisi de faire les choses à l’envers de l’endroit car c’est plus difficile ainsi que sans efforts on arrive à rien de bon ni viable sans se faire mal. Je me suis posé non comme une soucoupe mais par hasard au pays d’un certain Arthur R bien connus de certains pour ces quelques mots qu’il avait jeté et laissé aux regards passants qui voulait le lire pour l’entendre qu’ils soient ou non sur un bateau ivre.
Là j’ai intégré un truc ou j’ai débuté ma carrière pro comme gammiste sur le lancement du moteur hdi au sein d’une fonderie de la marque. Je travaillai pour un bureau d’étude dans lequel j’étais arrivé par hasard, il faisait parti du pôle spatial français, à l’époque se concevaient l’a380, l’iss entre autre.Ou enfin la p’tite boutique qui m’employait, participait à ceux ci.
Il faut bien se rendre compte que là c’est demain qui se fait, se conçoit, se prépare, avec tous les doutes,le stress ,les questions, les responsabilités que cela implique. On n’est pas dans un vue de l’esprit, c’est pas une expérience de pensée. A table le midi parfois au lieu de causer foot, séries tv, on causait isolation pas celle d’un futur pavillon non de celle de l’iss. Bidule que le grand public ne découvrira que dix ans plus tard.
Pour imager, c’est comme si vous étiez au bord d’un précipice ,à vous baladez, là vous allez devoir y aller marcher sur le vide qui est devant vous, là où personne n’est encore allé, il vous revient la charge non ultime d’ouvrir la voie, de poser le pied.
Ensuite je suis reviendu au pays, où toujours pour la marque j’ai participé au lancement industriel de la c5 break et berline sur les lignes de production de la bx, en parallèle sans être sur des barres ou dans des bars. J’ai préparé le concours d’entrée aux mines que suite à un mal entendu avec émile j’ai fini par non préparé sur l’ile de cuba car j’en avais envie.
Je me suis auto financé, en grande partie. Une fois admis, j’ai fait mon année à distance en bossant en vsd soit les wk, jours fériés et en étudiant la semaine. Je travaillai sur le premier lancement d’un véhicule peugeot en bretagne la 407.Un Lyon aura marché en Bretagne à sa façon pour la première fois.
Après je suis devenu mineur tout en étant majeur après avoir foulé les terres de Carmaux pays d’un certains jean qui avait donné son nom sans doute non sans mal à l’une des grandes artères de ma ville natale. Jean était un homme de progrès, le progrès de l’être était son moteur de vie, ce qui le poussait, le motiver à se lever tous les matins.Je me suis inscrit dans un annuaire, il faut bien être inscrit quelque part soi disant, moi je suis posé là.
Comme je l’ai déjà indiqué dans un autre post situé non loin de celui-ci.Ensuite j’ai travaillé sur le lancement de la c6 qui devait être la première grande berline pour en concurrencer d’autres produites sur des terres étrangères. Il ne faut pas rêver faire du haut de gamme en bricolant un truc à partir de models déjà lancés ça ne marche pas. Le toit ouvrant était nickel sur la 407, une cata sur la c6 par exemple.
Je suis chercheur en résolution de pb, c’est mon identité sociale, mon boulot, vu qu’on doit se présenter ainsi et avec ça. Je suis un nain gêneur des mines, ma spé c’est le génie industriel, la gestion de projet enfin c’était.
columbo by falfk
Y a un truc en France que peu voient, on voit le plus souvent ceux celles qui critiquent, râlent mais pas ceux celles qui font soit l’armée des ombres, les gens qui font, l’armée des ombres nom que Kessel a donné à celle-ci à raison.
Suite à ça, j’ai bossé dans pleins d’autres domaines.
Ensuite j’ai pris conscience du réchauffement climatique, découvert la collapsologie, j’ai pris conscience de ma part de responsabilité que j’ai décidé d’assumer.
Je me suis déconstruit, reconstruit autrement. J’ai étudié l’agriculture, la philosophie. J’ai passé des dit plômes tout comme je n’en ai pas passé. J’ai jamais cessé d’apprendre ni de rendre service, c’est dans ma nature. J’obéis à un truc celle-ci c’est déjà ça. Ce n’est pas demain la vielle qu’avec mon vrai cv mes véritables expériences , je trouverai du boulot.
Je me suis fait en m’inspirant d’exemples que l’histoire , la culture m’avaient donné à voir, à lire, à comprendre.
Je dois ce que je suis à un mec qui m’a écrit, un jour, un courrier, au bas duquel il avait écrit une petite citation manuscrite, une citation de Mr Marcel.D. Je l’ai intégrée, je l’ai complétée…c’est ça avoir de la culture c’est en faire bon usage ce n’est pas la jeter ou la cracher à la gueule de l’autre sans rien en faire comme de la confiture. C’est faire le coup, le pas d’après. Je dois énormément à ma mère dont la lecture de l’étranger.
L’intelligence ce n’est pas les connaissances, c’est ce que l’ont en fait soit le comportement.Un chat est intelligent, nousn moi j’en doute vu notre évolution, les crises associés, les problèmes créent.
Je dois ce que je suis à l’éducation à mes senseis, mes profs à tout ceux celles qui m’ont appris transmis quelquechose. ありがとうございます (Arigatou gozaimasu)
C’est pas pour me mettre en avant ceux qui me connaisse savent que ça n’a jamais été mon cas,mon but si ça l’avait été y a longtemps que j’aurais monté ma chaine plutôt que de m’en libérer.
Ça illustre que l’amélioration continue versus être est possible.Je l’ai fait.
Pour les japonais un bonsai est un être qu’on essaye d’améliorer en permanence tout comme eux cherche à le faire pour eux même, c’est une projection. Il recherche le progrès de l’être.C’est sa leur finalité intrinsèque, leur raison d’être en parti.
C’est un chemin vers soi.
Moi je suis comme ça, je ne sais pas pourquoi, je m’en fou, ça me suffit et ça me va ainsi avec ou sans contrepèteries. Y a des choses qui dépassent parfois un individu, son soi par ex, il arrive qu’on soi dépassé par son soi c’est ainsi, c’est comme ça tant pis c’est ainsi.
Le milieu du bonsai français est un écosystème, il y a de tout, il est très diversifié, c’est très bien comme ça. Tout est lié, réseau trophique, systémie, hollistique. La vie vient des flux et reflux sans ceux ci…… C’est la réduction d’un ensemble plus vaste, un model réduit de notre société, de notre humanité, un échantillon d’étude.
Un mineur jouant d’un art considéré comme mineur car non mature, non reconnu ici pour ce qu’il est dont ces capacités, ces qualités, ces vertus, ces inductions.
« Dans le Bonsaï, comme ailleurs, il y a des gens qui ne souhaitent pas d’aide, puisqu’ils ont la chance de savoir. »
C’est ça oui notamment les croyants philosophique qui souvent ne cherchent qu’à imposer leur religion aux autres par imposition comme tout croyant cherche à imposer sa foi à autrui. Puis y a ceux oui qui ont la chance de tout sachoir. On ne sait pas faire, collaborer ensemble.
Moi je ne veux rien imposer, je veux juste inciter l’autre à penser par lui-même, pour qu’il se trouve lui-même par lui-même, pour qu’il soit joyeux qu’il s’individualise. Je veux pour autrui ce que je souhaite pour moi.
Je pense que si les éléments d’un ensemble s’améliorent tout seul unitairement par eux même au final c’est tout l’ensemble qui s’améliore par le jeu des rétro actions positives, par le biais du progrès de l’être si on l’applique à un groupe, à une société.C’est à un côté jeu de domino.
Je n’ai pas le droit de faire à autrui ce que je ne veux pas qu’on me fasse à moi-même.La liberté des uns…le respect des uns des autres.
Je suis juste là pour interpeller, faire réfléchir comme pleins d’autres les interpellant non du spectacle qui sont ni vus ni entendus et encore moins compris.
Tout ça sans AI , pas besoin…ça sert à rien sinon se détruire un peu plus en déléguant à un système technique, une machine
Cf texte de Marc Twains :
+1 lisez ce qu’il a écrit ci dessous c’est important pour vous, moi c’est ma religion, je la pratique depuis un bon moment, c’est ma came.
« Mark Twain a dit un jour : « Chaque fois que vous vous trouvez du côté de la majorité, il est temps de faire une pause et de réfléchir. » Faire une pause et réfléchir lorsque vous êtes du côté de la majorité, c’est faire preuve d’humilité intellectuelle. C’est reconnaître que le fait qu’une chose soit largement acceptée ne la rend pas infaillible.
L’opinion populaire peut être influencée par divers facteurs : normes culturelles, pressions sociales ou même désinformation. Lorsque vous vous trouvez d’accord avec la majorité, il vaut la peine de vous demander : le faites-vous parce que vous avez vraiment réfléchi à la question ou parce qu’il est plus facile de suivre la foule ? Êtes-vous vraiment convaincu par la logique et les preuves, ou êtes-vous influencé par le confort du consensus ? » Ce moment de réflexion est une occasion de penser de manière critique.
C’est l’occasion d’évaluer plus en profondeur vos croyances et vos hypothèses. Y a-t-il des perspectives alternatives que vous n’avez pas envisagées ? Y a-t-il des voix minoritaires qui offrent des informations précieuses que vous pourriez manquer ? La véritable croissance vient souvent de l’engagement avec des idées qui remettent en question vos opinions existantes, plutôt que de simplement renforcer ce que vous croyez déjà.
En remettant en question l’opinion majoritaire, vous ne faites pas que vous opposer à elle : vous vous ouvrez à une compréhension plus large et potentiellement plus précise du monde. De plus, cette approche cultive un sens plus profond de l’intégrité personnelle. Il est facile de se ranger du côté des autres, mais il faut du courage pour se démarquer et dire : « Je ne suis pas sûr de cela. » Lorsque vous prenez le temps de réfléchir, vous affirmez votre indépendance en tant que penseur. Vous affirmez que vos croyances ne sont pas simplement le produit d’un conditionnement social, mais le résultat d’une réflexion minutieuse et délibérée.
Cette intégrité est ce qui mène à l’innovation et au progrès. Bon nombre des plus grandes avancées en science, en philosophie et en justice sociale sont venues d’individus qui ont osé penser différemment de la majorité. Mais réfléchir lorsque vous êtes du côté de la majorité ne consiste pas seulement à trouver des failles dans les opinions populaires. Il s’agit également de comprendre les raisons pour lesquelles quelque chose est largement accepté. Parfois, la majorité a raison. Mais comprendre pourquoi elle a raison est crucial.
L’acceptation aveugle ne contribue pas à votre croissance ni à la solidité de vos croyances. En prenant le temps d’examiner de manière critique le point de vue de la majorité, vous êtes en mesure d’articuler plus clairement les raisons de votre accord et de renforcer votre compréhension du problème. En revanche, si votre réflexion vous amène à être en désaccord avec la majorité, il est important d’aborder ce désaccord avec curiosité et respect. Il est facile de tomber dans le piège de rejeter d’emblée les opinions majoritaires, simplement parce qu’elles sont populaires.
Mais la véritable sagesse consiste à discerner quand la majorité a raison et quand elle ne l’a pas. Si vous vous trouvez en opposition avec la majorité, utilisez-le comme point de départ pour une enquête plus approfondie. Recherchez des preuves, engagez le dialogue et soyez prêt à ajuster vos points de vue au fur et à mesure que vous en apprenez davantage. Cette approche équilibrée garantit que votre réflexion est à la fois indépendante et éclairée. En substance, se retrouver du côté de la majorité devrait vous inciter à vous examiner vous-même. C’est le moment de vous demander si vous vous êtes pleinement engagé dans la question en question ou si vous avez simplement été emporté par la marée de l’opinion publique. En prenant le temps de réfléchir, vous affirmez votre engagement envers la vérité et la sagesse plutôt que le confort et la conformité.
Cette habitude d’introspection est ce qui sépare ceux qui se contentent de suivre ceux qui dirigent, ceux qui acceptent de ceux qui innovent. Dans un monde où il est trop facile de se laisser emporter par la pensée de groupe, cette pratique de pause et de réflexion est plus importante que jamais. C’est un rappel pour rester fidèle à vos valeurs, penser de manière critique et rechercher la compréhension plutôt que l’acceptation.
Que vous soyez finalement d’accord avec la majorité ou non, ce qui compte, c’est que vos croyances soient vraiment les vôtres, formées par la réflexion, l’enquête et un désir sincère de saisir les vérités plus profondes qui se cachent sous la surface. - Comment abordez-vous les conversations ou les débats avec des personnes qui ont des opinions majoritaires différentes des vôtres ? »
On va maintenant s’intéresser à la notion de talent vrai.
Qu’est ce que le talent ? Pour moi c’est un mot non défini, non contextualisé, dans lequel chacun peut y mettre ce qu’il veut comme c’est le cas pour d’autres mots. C’est une question de perception, celle de l’un n’étant pas celle de l’autre, elle est unique, propre à l’individu.
Pour l’un, l’autre peut avoir du talent. Tout comme pour l’autre, l’un peut ne pas en avoir, c’est très subjectif , le talent.
Attribuer la valeur vraie a la variable talent considérée, c’est avoir une certitude, un avis. C’est porté un jugement, soit une croyance. C’est être dans un repère normé avec une grille de lecture de jugement définie , connue, acceptée.
Moi je ne sais pas ce qu’est le talent, je sais encore moins ce qu’est le talent véritable, absolu.
Il peut être connu, comme reconnu par un groupe, une époque , une culture comme non… mais y a des éléments spatio temporels à considérer.
Pour ce qui est de l’omniscience, moi mon vécu, ma surtout conduit au doute , je n’en sais rien.
Comme d’autres j’estime que : il n’est pas bon d’incarner les choses ou les êtres , ni les dieux.
Le japon m’intéresse beaucoup à cause de son caractère animiste, sa(ses) religions sont des philosophies. Tout comme les indiens d’Amériques le sont, nous aussi malgré p’tit jean lan huzel.Il m’intéresse énormément car c’est une culture qui repose sur l’être.
Mes études, mes réflexions font que c’est la direction que j’estime que nous devons suivre .Nous autres , nous devons changer de cap faire une bascule passer de l’avoir à l’être pour la suite de notre évolution.
Je suis spinoziste
Spinoza …revu et reformulé, Allez on continue…combien de fois encore ?

Il faut vous le dire, vous l’écrire comment pour que vous compreniez un truc aussi basique que celui là ?
" Dieu est nature" , 3 mots juste 3 , c’est une phrase dite y a bien longtemps que l’homme est infoutu capable de comprendre, d’intégrer, on fait quoi ? Comment du coup ?
C’est vrai que quand on est camé, défoncé à l’avoir, il n’est pas simple d’avoir les idées claires. Se perdre en jouissant de petits plaisirs malsain et destructifs, il fallait pas y penser.
Conclusion :
Le progrès de l’être est important, c’est ça le progrès.
On doit considérer la nature, c’est elle qui nous permet de vivre.
On doit tendre vers ça pour ça on doit pratiquer l’amélioration continue, ça doit être notre finalité.C’est un processus a intégrer, à mettre en œuvre.
Mon vécu,Mes diverses expériences, Mes valeurs, Mes études, Mes réflexions, Mes pas font que c’est la direction que j’estime que nous devons suivre après de longues années de pratique de ce sujet là. Nous autres , nous devons changer de cap faire une bascule passer de l’avoir à l’être pour la suite de notre évolution.
Il faut être stupide pour continuer dans une direction qui ne marche pas, qui induit ce qu’elle induit, il faut être cons, bornés, nous le somme car nous sommes des croyants philogolphiques sans être dans un pays du golfe persique ou autre. On est une forme de barbu sans barbe.
Il faut être la solution que l’on propose, il faut l’avoir testé avant de la proposer, ce serait ce que pour l’avoir validé au paravant.Une idée, un concept, se valide, il faut faire preuve de méthode scientifique ou non mais il faut être méthodique.Moi j’ai testé, validé,ma théorie, ma thèse.
Un art authentiquement pratiqué peut vous mener bien plus loin …ça peut même vous surprendre.
V.Hugo l’a écrit, bien d’autres aussi avant après lui, il l’a pensé du coup.Si ce qui est dit n’est pas compris, intégré, mis en application à quoi cela sert-il ? que fait -on ?comment ? Ils n’ont pas été entendu malgré leur charisme, leur stature.
En science, quand ça converge…
Si ma thèse est fausse.Démontrez le moi, prouvez le moi avec une argumentation solide, étayée, un truc qui tient la route en étant ou étant pas à Beyrouth et non à biroute.
Ma devise à moi , celle que je me suis choisi , est celle-ci : « Avant tout il faut être moderne » .
Pour répondre à la question poséee, le but c’est ça, this is the goal, the target.
Chacun peut être , apporter un petit quelque chose à l’ensemble, à la société, l’humanité que nous formons tous ensemble réunis, à la petite communauté du bonsai français.
Pour être libre, il faut penser par soi même.
Pour moi c’est le cap, la stratégie à suivre…
Bisous chez vous .Take care !!
Bonne soirée.
@+
dédié : à ma mère, à mon épouse, à ma famille.
à Ronan, à Mme Michelle
à mon chat Khali, à Nala et à Wanda qui vient d’arrivée…
aux arbres, à la nature et à la mer.
à l’art.à la culture et aux valeurs
ps : un truc que j’ai écris suite à la prise d’une photo des nigelles non de Damas mais de mon jardin.Mon speudo d’écrivain est Mauxd’M,je me suis construit sur mes maux, mes handicaps en partie par les mots, les caractères, mon caractère et ma nature.
"A nos fleurs fanées,
A nos floraisons corticales défuntes et posthumes sans costumes ni coutumes.
Idées, pensées, petites fleurs furtives et fugaces de l’esprit qui nous font vivre voire survivre, se colorer nos jardins intérieurs dont celui de l’âme, petit parcellaire perdu au milieu du reste et de nos restes.
Tout comme les éclairs électriques fleurissent au bout de nos synapses tortueuses ,nos paysages organiques intérieurs, petit océan cortical intérieur sait savoir se faire fi des saisons , du temps et parfois sait se couvrir de couleurs et d’oraisons avec ou sans raison voire déraison.
Élément élémentaire,autre dualité onde/corpuscule qui éclaire ou noircit le lieu habité.
Élément indispensable à la construction de l’être.Et sans qui nous ne pouvons être.