What's the goal?

Dixit Daike Abe dont c’est l’anniversaire ce jour,

Quelques mots extrait d’un échange que j’ai eu avec Daiki Abe :

« The goal is to have fun, to share, also to help these friends
To progress. »

C’est ça

Extrait de ce post là pour le mettre en exergue : Quelle est la valeur d'un bonsaika amateur? - #77 par corto35

"“When we see the beauty of the snow, when we see the beauty of the full moon, when we see the beauty of the cherries in bloom, when in short we brush against and are awakened by the beauty of the four seasons, it is then that we think most of those close to us, and want them to share the pleasure. The excitement of beauty calls forth strong fellow feelings, yearnings for companionship, and the word ‘comrade’ can be taken to mean ‘human being’.”

Yasunari Kawabata was awarded the 1968 Nobel Prize in Literature « for his narrative mastery, which with great sensibility expresses the essence of the Japanese mind ».

Who will be the 2024 literature laureate(s)? Find out on 10 October.

Learn more: https://bit.ly"/2WdUbUV

Yasunari Kawabata at work in his house in Kamakura, Japan, 1940s.

Yes it’s true

Ouais… Mais pour aider, il faut le pouvoir et que la personne en face souhaite être aider…

Un de mes premiers boulots a été de bosser en prison, formateur…
Ensuite, j’ai bossé comme encadrant dans le social…
(…)
Dans le Bonsaï, comme ailleurs, il y a des gens qui ne souhaitent pas d’aide, puisqu’ils ont la chance de savoir.
L’omniscience est une réalité. Des talents, des vrais.

1 « J'aime »

Préambule, vous allez dire c’est long, ben pour moi c’est court, synthétique, question de perception. La mienne n’est pas la votre, c’est comme ça, c’est ainsi.

Prenez le temps de lire ce qui suit pour vous, moi je m’en fou, moi je n’en ai pas besoin, c’est en moi pas en vous.

N’est pas Hemingway qui veut,il faut être soi car autrui est déjà pris comme l’a dit Oscar Wilde, c’est exact.

Soyez vous même !! Pensez !! Exprimez vous !! Be Yourself !!

L’auteur qui comme moi, comme bien d’autres est passé par cuba,il y est là en ce moment, un pignon qui s’affiche sur des pignons de rue ou non …on doit beaucoup à Arthur R.Ernest pignon Ernest, qui a du compléter son nom pour un histoire de nom d’homonyme à ces débuts.

Arthur incarne l’éthique, l’esthétique au yeux de certains, il a été ces deux choses là, c’est pour ça qu’il a fait, produit, ce qu’il a fait.Il a été l’esthétique et l’éthique réunit dans le cœur, l’âme d’un individu.C’est ça qui l’animait qui le faisait vivre, il vit encore.Sa raison d’être puis de se détruire.Pour les nippons elles sont essentielles.

Pour bien répondre comme il le faut, il se doit …

Ce que Daika explique c’est son intention, sa position, sa volonté, sa vision, c’est ça qu’il exprime, son rôle de Sensei. Sa finalité est de faire progresser l’être de l’autre par le biais d’un support ici en l’occurrence le bonsai qui est un art bien singulier, c’est la finalité de l’art en général, c’est pour cela qu’on parle d’émancipation, d’individualisation.

Le fait qu’il soit ainsi c’est lié à sa culture, son héritage, c’est un truc qui peut parfois être lourd, pesant sur le dos d’un individu mais ça fait parti des bagages qu’on trimballe partout sur son petit soi.

La culture japonaise repose sur la notion d’être, elle vénère la nature, croit à des choses auxquelles nous ne croyons plus depuis bien longtemps .Elle est progressiste, elle considère que pour faire progresser l’ensemble chaque être doit progresser.

Je suis d’accord sur ce principe là car il tient la route, c’est une théorie qui se démontre, se prouve. Elle l’a d’ailleurs déjà été démontrée à plusieurs reprises.

Vue que c’est une ile, au japon il est considéré que chaque famille descend de celle de l’empereur quelque part c’est a dire que c’est une seule et même famille,entité ou végétal soit un seul être que tout est lié.

Nous on a encore du mal à croire qu’on descend du singe, lui de son côté vu , ce que fait sa descendance, il doit avoir honte de celle-ci à n’en point douter.

Moi, je ne rentrerai pas dans les détails, car ce n’est pas nécessaire, je ne suis pas un universitaire, on ne commence pas par s’occuper du boulon de 8 mm.Moi j’ai du m’éduquer seul ainsi que ma fratrie car personne ne nous a aidé. A certains ça leur donnent la haine, d’autres comme moi ça les met en colère, chose qui peut prendre un certains temps avant de se calmer ou de muter en autre chose. On a eu une chance que d’autres n’ont pas ou non pas eu, on a dépassé nos souffrances, on en tiré profit malgré tout chose dont on se serait bien passée. C’est aussi lié au fait d’être né au pays des pb complexes et insolubles. Être né Pauvre aussi, fut une chance dans un pays riche, ça oblige à faire avec rien, à se satisfaire de rien ou de pas grand chose, de faire avec ce que l’on a soit sa carcasse qui se délabre avec le temps les intempéries de la vie quoi. Tout comme le fait d’être breton à cause de ma culture, de mes racines, de mes origines, de nos légendes et de nos contes.

J’ai découvert le « kaizen version avoir » c’est à dire l’amélioration continue grâce à mon prof de méthode en génie méca, 5S, Amdec, plans d’expérience, 5 ou 6 sigma, Smed , etc….

Ces méthodes, outils ont permis au japon de se remettre sur pied à l’issue de la seconde guerre mondiale.

C’est connu chez nous sous le nom Lean Manufacturing, ça a vu le jour chez Toyota, ils ont ça dans le sang, dans leur âme, ça fait parti d’eux de leur culture. Ils se sont appuyés sur leur culture, leur racine pour se relever, c’est ce que fait tout individu qui tombe sans tomber , on ne grandit pas soit dit en passant.

« Toyota et la genèse du Lean Manufacturing L’organisation du travail est repensée pour réduire les gaspillages de ressources, notamment les stocks inutiles et le temps de travail. La surproduction et les opérations de transport ou de maintenance inutiles sont supprimées. La performance industrielle est en ligne de mire. »

Ils seraient temps qu’on s’intéresse à la robustesse comme certains l’indiquent car la performance crée des systèmes, des êtres fragiles.Toute chose induite a des conséquences.

Certains vont d’est en ouest comme le soleil, moi j’ai fait l’inverse sous l’impulsion de mon prof de métallurgie, matière à laquelle il m’a donné gout et non le dégout. J’ai choisi de faire les choses à l’envers de l’endroit car c’est plus difficile ainsi que sans efforts on arrive à rien de bon ni viable sans se faire mal. Je me suis posé non comme une soucoupe mais par hasard au pays d’un certain Arthur R bien connus de certains pour ces quelques mots qu’il avait jeté et laissé aux regards passants qui voulait le lire pour l’entendre qu’ils soient ou non sur un bateau ivre.

Là j’ai intégré un truc ou j’ai débuté ma carrière pro comme gammiste sur le lancement du moteur hdi au sein d’une fonderie de la marque. Je travaillai pour un bureau d’étude dans lequel j’étais arrivé par hasard, il faisait parti du pôle spatial français, à l’époque se concevaient l’a380, l’iss entre autre.Ou enfin la p’tite boutique qui m’employait, participait à ceux ci.

Il faut bien se rendre compte que là c’est demain qui se fait, se conçoit, se prépare, avec tous les doutes,le stress ,les questions, les responsabilités que cela implique. On n’est pas dans un vue de l’esprit, c’est pas une expérience de pensée. A table le midi parfois au lieu de causer foot, séries tv, on causait isolation pas celle d’un futur pavillon non de celle de l’iss. Bidule que le grand public ne découvrira que dix ans plus tard.

Pour imager, c’est comme si vous étiez au bord d’un précipice ,à vous baladez, là vous allez devoir y aller marcher sur le vide qui est devant vous, là où personne n’est encore allé, il vous revient la charge non ultime d’ouvrir la voie, de poser le pied.

Ensuite je suis reviendu au pays, où toujours pour la marque j’ai participé au lancement industriel de la c5 break et berline sur les lignes de production de la bx, en parallèle sans être sur des barres ou dans des bars. J’ai préparé le concours d’entrée aux mines que suite à un mal entendu avec émile j’ai fini par non préparé sur l’ile de cuba car j’en avais envie.

Je me suis auto financé, en grande partie. Une fois admis, j’ai fait mon année à distance en bossant en vsd soit les wk, jours fériés et en étudiant la semaine. Je travaillai sur le premier lancement d’un véhicule peugeot en bretagne la 407.Un Lyon aura marché en Bretagne à sa façon pour la première fois.

Après je suis devenu mineur tout en étant majeur après avoir foulé les terres de Carmaux pays d’un certains jean qui avait donné son nom sans doute non sans mal à l’une des grandes artères de ma ville natale. Jean était un homme de progrès, le progrès de l’être était son moteur de vie, ce qui le poussait, le motiver à se lever tous les matins.Je me suis inscrit dans un annuaire, il faut bien être inscrit quelque part soi disant, moi je suis posé là.

Comme je l’ai déjà indiqué dans un autre post situé non loin de celui-ci.Ensuite j’ai travaillé sur le lancement de la c6 qui devait être la première grande berline pour en concurrencer d’autres produites sur des terres étrangères. Il ne faut pas rêver faire du haut de gamme en bricolant un truc à partir de models déjà lancés ça ne marche pas. Le toit ouvrant était nickel sur la 407, une cata sur la c6 par exemple.

Je suis chercheur en résolution de pb, c’est mon identité sociale, mon boulot, vu qu’on doit se présenter ainsi et avec ça. Je suis un nain gêneur des mines, ma spé c’est le génie industriel, la gestion de projet enfin c’était.

columbo by falfk

Y a un truc en France que peu voient, on voit le plus souvent ceux celles qui critiquent, râlent mais pas ceux celles qui font soit l’armée des ombres, les gens qui font, l’armée des ombres nom que Kessel a donné à celle-ci à raison.

Suite à ça, j’ai bossé dans pleins d’autres domaines.

Ensuite j’ai pris conscience du réchauffement climatique, découvert la collapsologie, j’ai pris conscience de ma part de responsabilité que j’ai décidé d’assumer.

Je me suis déconstruit, reconstruit autrement. J’ai étudié l’agriculture, la philosophie. J’ai passé des dit plômes tout comme je n’en ai pas passé. J’ai jamais cessé d’apprendre ni de rendre service, c’est dans ma nature. J’obéis à un truc celle-ci c’est déjà ça. Ce n’est pas demain la vielle qu’avec mon vrai cv mes véritables expériences , je trouverai du boulot.

Je me suis fait en m’inspirant d’exemples que l’histoire , la culture m’avaient donné à voir, à lire, à comprendre.

Je dois ce que je suis à un mec qui m’a écrit, un jour, un courrier, au bas duquel il avait écrit une petite citation manuscrite, une citation de Mr Marcel.D. Je l’ai intégrée, je l’ai complétée…c’est ça avoir de la culture c’est en faire bon usage ce n’est pas la jeter ou la cracher à la gueule de l’autre sans rien en faire comme de la confiture. C’est faire le coup, le pas d’après. Je dois énormément à ma mère dont la lecture de l’étranger.

L’intelligence ce n’est pas les connaissances, c’est ce que l’ont en fait soit le comportement.Un chat est intelligent, nousn moi j’en doute vu notre évolution, les crises associés, les problèmes créent.

Je dois ce que je suis à l’éducation à mes senseis, mes profs à tout ceux celles qui m’ont appris transmis quelquechose. ありがとうございます (Arigatou gozaimasu)

C’est pas pour me mettre en avant ceux qui me connaisse savent que ça n’a jamais été mon cas,mon but si ça l’avait été y a longtemps que j’aurais monté ma chaine plutôt que de m’en libérer.

Ça illustre que l’amélioration continue versus être est possible.Je l’ai fait.

Pour les japonais un bonsai est un être qu’on essaye d’améliorer en permanence tout comme eux cherche à le faire pour eux même, c’est une projection. Il recherche le progrès de l’être.C’est sa leur finalité intrinsèque, leur raison d’être en parti.

C’est un chemin vers soi.

Moi je suis comme ça, je ne sais pas pourquoi, je m’en fou, ça me suffit et ça me va ainsi avec ou sans contrepèteries. Y a des choses qui dépassent parfois un individu, son soi par ex, il arrive qu’on soi dépassé par son soi c’est ainsi, c’est comme ça tant pis c’est ainsi.

Le milieu du bonsai français est un écosystème, il y a de tout, il est très diversifié, c’est très bien comme ça. Tout est lié, réseau trophique, systémie, hollistique. La vie vient des flux et reflux sans ceux ci…… C’est la réduction d’un ensemble plus vaste, un model réduit de notre société, de notre humanité, un échantillon d’étude.

Un mineur jouant d’un art considéré comme mineur car non mature, non reconnu ici pour ce qu’il est dont ces capacités, ces qualités, ces vertus, ces inductions.

« Dans le Bonsaï, comme ailleurs, il y a des gens qui ne souhaitent pas d’aide, puisqu’ils ont la chance de savoir. »

C’est ça oui notamment les croyants philosophique qui souvent ne cherchent qu’à imposer leur religion aux autres par imposition comme tout croyant cherche à imposer sa foi à autrui. Puis y a ceux oui qui ont la chance de tout sachoir. On ne sait pas faire, collaborer ensemble.

Moi je ne veux rien imposer, je veux juste inciter l’autre à penser par lui-même, pour qu’il se trouve lui-même par lui-même, pour qu’il soit joyeux qu’il s’individualise. Je veux pour autrui ce que je souhaite pour moi.

Je pense que si les éléments d’un ensemble s’améliorent tout seul unitairement par eux même au final c’est tout l’ensemble qui s’améliore par le jeu des rétro actions positives, par le biais du progrès de l’être si on l’applique à un groupe, à une société.C’est à un côté jeu de domino.

Je n’ai pas le droit de faire à autrui ce que je ne veux pas qu’on me fasse à moi-même.La liberté des uns…le respect des uns des autres.

Je suis juste là pour interpeller, faire réfléchir comme pleins d’autres les interpellant non du spectacle qui sont ni vus ni entendus et encore moins compris.

Tout ça sans AI , pas besoin…ça sert à rien sinon se détruire un peu plus en déléguant à un système technique, une machine

Cf texte de Marc Twains :

+1 lisez ce qu’il a écrit ci dessous c’est important pour vous, moi c’est ma religion, je la pratique depuis un bon moment, c’est ma came.

« Mark Twain a dit un jour : « Chaque fois que vous vous trouvez du côté de la majorité, il est temps de faire une pause et de réfléchir. » Faire une pause et réfléchir lorsque vous êtes du côté de la majorité, c’est faire preuve d’humilité intellectuelle. C’est reconnaître que le fait qu’une chose soit largement acceptée ne la rend pas infaillible.

L’opinion populaire peut être influencée par divers facteurs : normes culturelles, pressions sociales ou même désinformation. Lorsque vous vous trouvez d’accord avec la majorité, il vaut la peine de vous demander : le faites-vous parce que vous avez vraiment réfléchi à la question ou parce qu’il est plus facile de suivre la foule ? Êtes-vous vraiment convaincu par la logique et les preuves, ou êtes-vous influencé par le confort du consensus ? » Ce moment de réflexion est une occasion de penser de manière critique.

C’est l’occasion d’évaluer plus en profondeur vos croyances et vos hypothèses. Y a-t-il des perspectives alternatives que vous n’avez pas envisagées ? Y a-t-il des voix minoritaires qui offrent des informations précieuses que vous pourriez manquer ? La véritable croissance vient souvent de l’engagement avec des idées qui remettent en question vos opinions existantes, plutôt que de simplement renforcer ce que vous croyez déjà.

En remettant en question l’opinion majoritaire, vous ne faites pas que vous opposer à elle : vous vous ouvrez à une compréhension plus large et potentiellement plus précise du monde. De plus, cette approche cultive un sens plus profond de l’intégrité personnelle. Il est facile de se ranger du côté des autres, mais il faut du courage pour se démarquer et dire : « Je ne suis pas sûr de cela. » Lorsque vous prenez le temps de réfléchir, vous affirmez votre indépendance en tant que penseur. Vous affirmez que vos croyances ne sont pas simplement le produit d’un conditionnement social, mais le résultat d’une réflexion minutieuse et délibérée.

Cette intégrité est ce qui mène à l’innovation et au progrès. Bon nombre des plus grandes avancées en science, en philosophie et en justice sociale sont venues d’individus qui ont osé penser différemment de la majorité. Mais réfléchir lorsque vous êtes du côté de la majorité ne consiste pas seulement à trouver des failles dans les opinions populaires. Il s’agit également de comprendre les raisons pour lesquelles quelque chose est largement accepté. Parfois, la majorité a raison. Mais comprendre pourquoi elle a raison est crucial.

L’acceptation aveugle ne contribue pas à votre croissance ni à la solidité de vos croyances. En prenant le temps d’examiner de manière critique le point de vue de la majorité, vous êtes en mesure d’articuler plus clairement les raisons de votre accord et de renforcer votre compréhension du problème. En revanche, si votre réflexion vous amène à être en désaccord avec la majorité, il est important d’aborder ce désaccord avec curiosité et respect. Il est facile de tomber dans le piège de rejeter d’emblée les opinions majoritaires, simplement parce qu’elles sont populaires.

Mais la véritable sagesse consiste à discerner quand la majorité a raison et quand elle ne l’a pas. Si vous vous trouvez en opposition avec la majorité, utilisez-le comme point de départ pour une enquête plus approfondie. Recherchez des preuves, engagez le dialogue et soyez prêt à ajuster vos points de vue au fur et à mesure que vous en apprenez davantage. Cette approche équilibrée garantit que votre réflexion est à la fois indépendante et éclairée. En substance, se retrouver du côté de la majorité devrait vous inciter à vous examiner vous-même. C’est le moment de vous demander si vous vous êtes pleinement engagé dans la question en question ou si vous avez simplement été emporté par la marée de l’opinion publique. En prenant le temps de réfléchir, vous affirmez votre engagement envers la vérité et la sagesse plutôt que le confort et la conformité.

Cette habitude d’introspection est ce qui sépare ceux qui se contentent de suivre ceux qui dirigent, ceux qui acceptent de ceux qui innovent. Dans un monde où il est trop facile de se laisser emporter par la pensée de groupe, cette pratique de pause et de réflexion est plus importante que jamais. C’est un rappel pour rester fidèle à vos valeurs, penser de manière critique et rechercher la compréhension plutôt que l’acceptation.

Que vous soyez finalement d’accord avec la majorité ou non, ce qui compte, c’est que vos croyances soient vraiment les vôtres, formées par la réflexion, l’enquête et un désir sincère de saisir les vérités plus profondes qui se cachent sous la surface. - Comment abordez-vous les conversations ou les débats avec des personnes qui ont des opinions majoritaires différentes des vôtres ? »

On va maintenant s’intéresser à la notion de talent vrai.

Qu’est ce que le talent ? Pour moi c’est un mot non défini, non contextualisé, dans lequel chacun peut y mettre ce qu’il veut comme c’est le cas pour d’autres mots. C’est une question de perception, celle de l’un n’étant pas celle de l’autre, elle est unique, propre à l’individu.

Pour l’un, l’autre peut avoir du talent. Tout comme pour l’autre, l’un peut ne pas en avoir, c’est très subjectif , le talent.

Attribuer la valeur vraie a la variable talent considérée, c’est avoir une certitude, un avis. C’est porté un jugement, soit une croyance. C’est être dans un repère normé avec une grille de lecture de jugement définie , connue, acceptée.

Moi je ne sais pas ce qu’est le talent, je sais encore moins ce qu’est le talent véritable, absolu.

Il peut être connu, comme reconnu par un groupe, une époque , une culture comme non… mais y a des éléments spatio temporels à considérer.

Pour ce qui est de l’omniscience, moi mon vécu, ma surtout conduit au doute , je n’en sais rien.

Comme d’autres j’estime que : il n’est pas bon d’incarner les choses ou les êtres , ni les dieux.

Le japon m’intéresse beaucoup à cause de son caractère animiste, sa(ses) religions sont des philosophies. Tout comme les indiens d’Amériques le sont, nous aussi malgré p’tit jean lan huzel.Il m’intéresse énormément car c’est une culture qui repose sur l’être.

Mes études, mes réflexions font que c’est la direction que j’estime que nous devons suivre .Nous autres , nous devons changer de cap faire une bascule passer de l’avoir à l’être pour la suite de notre évolution.

Je suis spinoziste

Spinoza …revu et reformulé, Allez on continue…combien de fois encore ?

Sans titre

Il faut vous le dire, vous l’écrire comment pour que vous compreniez un truc aussi basique que celui là ?

" Dieu est nature" , 3 mots juste 3 , c’est une phrase dite y a bien longtemps que l’homme est infoutu capable de comprendre, d’intégrer, on fait quoi ? Comment du coup ?

C’est vrai que quand on est camé, défoncé à l’avoir, il n’est pas simple d’avoir les idées claires. Se perdre en jouissant de petits plaisirs malsain et destructifs, il fallait pas y penser.

Conclusion :

Le progrès de l’être est important, c’est ça le progrès.

On doit considérer la nature, c’est elle qui nous permet de vivre.

On doit tendre vers ça pour ça on doit pratiquer l’amélioration continue, ça doit être notre finalité.C’est un processus a intégrer, à mettre en œuvre.

Mon vécu,Mes diverses expériences, Mes valeurs, Mes études, Mes réflexions, Mes pas font que c’est la direction que j’estime que nous devons suivre après de longues années de pratique de ce sujet là. Nous autres , nous devons changer de cap faire une bascule passer de l’avoir à l’être pour la suite de notre évolution.

Il faut être stupide pour continuer dans une direction qui ne marche pas, qui induit ce qu’elle induit, il faut être cons, bornés, nous le somme car nous sommes des croyants philogolphiques sans être dans un pays du golfe persique ou autre. On est une forme de barbu sans barbe.

Il faut être la solution que l’on propose, il faut l’avoir testé avant de la proposer, ce serait ce que pour l’avoir validé au paravant.Une idée, un concept, se valide, il faut faire preuve de méthode scientifique ou non mais il faut être méthodique.Moi j’ai testé, validé,ma théorie, ma thèse.

Un art authentiquement pratiqué peut vous mener bien plus loin …ça peut même vous surprendre.

V.Hugo l’a écrit, bien d’autres aussi avant après lui, il l’a pensé du coup.Si ce qui est dit n’est pas compris, intégré, mis en application à quoi cela sert-il ? que fait -on ?comment ? Ils n’ont pas été entendu malgré leur charisme, leur stature.

En science, quand ça converge…

Si ma thèse est fausse.Démontrez le moi, prouvez le moi avec une argumentation solide, étayée, un truc qui tient la route en étant ou étant pas à Beyrouth et non à biroute.

Ma devise à moi , celle que je me suis choisi , est celle-ci : « Avant tout il faut être moderne » .

Pour répondre à la question poséee, le but c’est ça, this is the goal, the target.

Chacun peut être , apporter un petit quelque chose à l’ensemble, à la société, l’humanité que nous formons tous ensemble réunis, à la petite communauté du bonsai français.

Pour être libre, il faut penser par soi même.

Pour moi c’est le cap, la stratégie à suivre…

Bisous chez vous .Take care !!

Bonne soirée.

@+

dédié : à ma mère, à mon épouse, à ma famille.
à Ronan, à Mme Michelle
à mon chat Khali, à Nala et à Wanda qui vient d’arrivée…
aux arbres, à la nature et à la mer.
à l’art.à la culture et aux valeurs

ps : un truc que j’ai écris suite à la prise d’une photo des nigelles non de Damas mais de mon jardin.Mon speudo d’écrivain est Mauxd’M,je me suis construit sur mes maux, mes handicaps en partie par les mots, les caractères, mon caractère et ma nature.

"A nos fleurs fanées,
A nos floraisons corticales défuntes et posthumes sans costumes ni coutumes.

Idées, pensées, petites fleurs furtives et fugaces de l’esprit qui nous font vivre voire survivre, se colorer nos jardins intérieurs dont celui de l’âme, petit parcellaire perdu au milieu du reste et de nos restes.

Tout comme les éclairs électriques fleurissent au bout de nos synapses tortueuses ,nos paysages organiques intérieurs, petit océan cortical intérieur sait savoir se faire fi des saisons , du temps et parfois sait se couvrir de couleurs et d’oraisons avec ou sans raison voire déraison.

Élément élémentaire,autre dualité onde/corpuscule qui éclaire ou noircit le lieu habité.

Élément indispensable à la construction de l’être.Et sans qui nous ne pouvons être.

Oui, pourquoi pas.

Mais est il possible que ta vérité ou la vérité soit perdu dans le flux ?
Je n’ai pas ton instruction, ni tes connaissances, merci de ne pas tenir compte de ma bêtise.

Nous vivons dans une société où la parole est plus importante que les faits, et que les actes.

Penser, écrire, ça perd les gens. (?) Peut être parce que c’est long, que ça prend du temps.

Tu écris sur ta modernité , l’écriture ? Le pamphlet ou ton discours est il dans la modernité ? ça dépend du type d’écriture ou de pensées ?

Un exemple : Les créateurs et créatrices de contenus (lol) n’aident pas les gens. Au mieux, ils les amusent ; dans la majorité des cas, ils les spolient.

Si on est « la solution que l’on propose », à qui pose t on la question ?
Si on est « yourself » , on ne se questionne pas ?

Est ce le goal ? Là encore, je n’ai pas de réponses.
« Faire progresser l’autre », faut il qu’il le souhaite « l’autre »?
Qu’il est conscience qu’il peut progresser ?
Comment notre société « parfaite », remplie de gens " parfaits" peut vouloir changer ?

:face_with_monocle:

Oui, pourquoi pas.

Mais est il possible que ta vérité ou la vérité soit perdu dans le flux ?

Ce n’est pas une vérité, y a pas de vérité en science.La science n’est pas une croyance.

La science, c’est un état des connaissances à un instant « t » considéré, un arrêt sur image en quelque sorte une photo.

c’est pas quelque chose de fini, le savoir, la connaissance est en construction, en devenir…

Oui pour la perte. De toute façon un individu ne perçoit pas ce qu’il ne connait pas car c’est hors de sa perception. On ignore ce que l’on perçoit pas, on ne comprend pas .

C’est une thèse de type scientifique, une réflexion.

Je suis en partie scientifique de formation. Esprit scientifique, méthode, c’est mon lot quotidien, ma construction, mon formatage.

Par ex : https://www.youtube.com/live/JqwSIAyYPWk?si=JvaYdcEBFd3IrCFm

Je n’ai pas ton instruction, ni tes connaissances, merci de ne pas tenir compte de ma bêtise.

Tu n’es pas bête, c’est celui qui pose pas de question qui l’est.Tu poses des questions, c’est un signe d’intelligence, tu as le bon comportement.

J’ignore plus de choses que j’en sais.Je suis aussi un ignorant, c’est très bien ainsi sinon on s’ennuierait.

Nous vivons dans une société où la parole est plus importante que les faits, et que les actes.

c’est la société de l’immédiateté du tout tout de suite.Là certains passent leur temps à s’excuser auprès d’autres qui sont conditionnés à vouloir tout tout de suite par le rythme de vie imposé, c’est d’une tristesse.Les gens ne vivent, leur vie leur passe sous le nez, ils s’en rendent même pas compte, la vie est dans l’instant.

C’est ça oui, où les postures et les impostures ainsi que les croyances dominent.c’est la norme.on s’occupe de choses insignifiantes et on se fout des trucs importants.y a même plus de valeurs à ce jour hormis l’avoir.

Un truc dont on ne parle pas non plus tient :

norme : Norme (mathématiques) — Wikipédia

du standard, du conformisme, de l’uniformité

On parle jamais de cette dictature là.

Notre évolution repose sur la notion d’avoir…et tout ce qu’elle a induit capitalisme, domination, individualisme, compétition, le matérialisme, égoisme, égo centrage

On a cultivé, chéri nos plus bas instincts et négligé tous les autres qu’on ne considèrent plus, ceux qui nous font grandir, qui nous élèvent.

Penser, écrire, ça perd les gens. (?) Peut être parce que c’est long, que ça prend du temps.

Oui il n’en n’ont plus l’habitude.

Le like est devenu un langage , une discussion à lui tout seul.

Ecrire, penser, c’est un boulot, un sport,une activité à part entière.

Ils ne sont pas éduqués à penser mais à croire de façon globale.

L’individu n’aime pas faire ce dont il n’a pas l’habitude.il aime le minimum d’efforts, les certitudes, le calme.

Ils n’ont pas appris, ils n’aiment pas ça

On favorise le développement de l’avis, de l’opinion, ce sont des formes de croyances, un idéologie aussi.Un croyant voit ce qu’il croit, c’est pas le cas de celui qui pense par lui-même.

L’un vit au pays tranquille de la certitude, l’autre en incertitude permanente.

C’est plus facile de dépendre d’autrui que de dépendre de soi, ça engage beaucoup moins.On peut toujours mettre la faute sur le dos d’autrui, rejeter tout sur lui, ben oui on a décidé de rien, pris aucune responsabilité, rien assumé.L’un se laisse porter par l’autre ça lui convient ainsi.

On m’a déjà dit que penser, écrire, c’était mal.ça nous sépare quand même de l’animal que nous sommes aussi ne l’oublions pas non plus.

Tu écris sur ta modernité , l’écriture ? Le pamphlet ou ton discours est il dans la modernité ? ça dépend du type d’écriture ou de pensées ?

Non je vise ça, je sais pas ce qu’est la modernité , mais je préfère être tiré par un truc qu’en trainer un .

On peut pas savoir ce qui est un moderne, la modernité n’est pas crée , c’est l’avenir, quand tu crées un truc qui était moderne, il devient présent il n’est donc plus dans la modernité, il est devenu contemporain.C’est ma chimère, ma sirène pour d’autres c’est l’argent, la perfection.

C’est un but,une tendance inatteignable , un guide genre fil d’Ariane auquel tu t’attaches elle te tire vers elle.

c’est ma carotte, c’est un concept.

Un exemple : Les créateurs et créatrices de contenus (lol) n’aident pas les gens. Au mieux, ils les amusent ; dans la majorité des cas, ils les spolient.

Les gens aiment pas ceux qui peuvent leur faire de l’ombre ou nuire à leurs finalités oui.

C’est ça oui

Si on est « la solution que l’on propose », à qui pose t on la question ?

J’en sais rien.une solution ne peut être admise que si elle fait consensus scientifique pour ça d’autres doivent avoir la même idée.

Cf la notion de consensus scientifique.

par ex les voix se multiplient, se font entendre, certains les écoute d’autres pas

  • le giec,
  • toute la communauté scientifique
  • Arthur Keller
  • La chaine sysmique de julien
  • Aurélien Barrault
  • Jancovici
  • hubert reeves
  • …d’autres et aussi des plus anonymes

j m’en veux de ne pas avoir cité, osons causer, le précepteur, le réveilleur, le éveilleur de livres, Heu?reka pour l’économie, science étonnante l’un des médaillé d’or du cnrs, et tant d’autres…

Toutes ces individualités s’engagent pour autrui , pour demain, ils agissent de leur mieux avec leurs petits moyens.

c’est ça pour illustré

Toutes ces voix là indiquent un sens , une direction qui est commune.On va dans tous le même sens

Elle doit être connue et validé par des paires , des gens qui savent, qui sont n mesure de décider, d’analyser ça car ils sont formés, ont les connaissances etc…ça doit être cadré méthodique…

par des hommes sages, responsables, matures et réfléchis

On n’est pas la solution,

, en perma , y a un truc qui dit le pb et la sol.

Nous sommes le pb et la sol du réchauffement climatique par ex la cause c’est nous.On est tous individuellement la sol et le pb que nous avons tous crée ensemble.

Cf principe de causalité

Cf principe de réfutabilité

Cf principe d’incertitude

On pose pas la question, on agit individuellement pour plus être le problème mais que la solution.On agit pour avoir un effet inductif.

En théorie nous on cherche, on trouve, on propose

Après en théorie c’est au politique d’agir, d’avoir cette volonté là.

Le hic c’est l’état de notre système,totalement effondré, archaique .Il est inefficace, il est pas conçu pour ça.L’avoir, les croyances phi sont dans la tête du système po en majorité ainsi que dans les têtes qui le compose.
Il ne peut pas comprendre une solution qui ne rentre pas dans sa perception, il ne la voit pas.

Puis le contexte va très bien aux idéologies qui sont des croyances.On en voit d’ailleurs certaines se porter à merveille, croitre d’année en année, de décennie en décennies.Comme de bien entendu ce sont pas les meilleurs, celles du progrès, celles qui veulent notre bien à tous.

Il faut sortir des idéologies,des croyances, apprendre à penser, à faire, à agir ensemble et non plus les uns contre les autres, on doit faire les uns avec les autres, y a une nuance non négligeable.

Si on est « yourself » , on ne se questionne pas ?

Si on n’arrête pas justement, on n’a pas de certitude pour rester juste ça en équilibre.C’est la voie du milieu.

Un être n’est pas fini, il est en construction, en devenir. Aujourd’hui je ne suis pas l’être que je serai demain.

Est ce le goal ? Là encore, je n’ai pas de réponses.
« Faire progresser l’autre », faut il qu’il le souhaite « l’autre »?
Qu’il est conscience qu’il peut progresser ?
Comment notre société « parfaite », remplie de gens " parfaits" peut vouloir changer ?

Elle ne l’est pas, elle ne le souhaite pas, cette volonté là n’existe pas.Elle n’a pas le niveau de conscience pour ça.

On saccage tout, on s’en fou royalement, là on va le pied au plancher dans le mur en riant.

Le tableau de bord de la voiture terre est le suivant.Tous les indicateurs ont des tendances exponentielles.Vous avez votre permis de conduire, vous comprenez ce que cela signifie en terme de vitesse, de cinétique.

Merci infiniment pour l’échange, tes questions

On appelle ça la maïeutique, le fait de s’interroger, tu pratiques , je t’encourage à continuer , c’est bien, c’est un vieux truc que Socrate pratiquait qui n’est plus au gout du jour comme bcp de vieux truc.

Pour en revenir au thème.
Il faut passer du bonsai versus « avoir » ou bonsai versus « être »

car l’un améliore l’avoir, c’est le progrès de l’avoir qu’on connait aujourd’hui majoritairement dans nos sociétés.On s’est développé là dessus.

l’autre favorise l’être, il induit le progrès de l’être pour les raisons explicitées.On a délaissé celui là alors qu’il est fondamental.

C’est ça que dit Ando dans l’article que Michel Otto a partagé sur l’état d’esprit que j’ai posté ici sur ce forum

Il faut tendre vers ça

Pourquoi pcq, on a besoin d’espoir, de nourrir notre imaginaire, l’imagination est un vecteur de progrès, d’évolution.

lui méconnu de plus d’un, pourtant lui…

Si tu as des questions hésite pas.Bonne soirée.

N’empêche…
N’empêche que la communauté cherche et trouve, écris tu, et qu’elle propose.

Tu écris que le politique fait (ou doit ou devrait faire) après…

De part mon statut, je suis confronté aux politiques.
De part notre vie, on est confronté aux politiques.

On voit bien que les décisions qui sont prises ne sont pas en corrélations avec les bases de travail des scientifiques.

La « base de travail » d’un politique Lambda c’est sa côte de popularité, navigation au doigt levé, au doigt mouillé.

J’aimais bien la vision « à court terme » de Richelieu qui a fait planter des forêts entière pour que, 50 ou 100 ans plus tard, ces forêts puissent être exploitées pour faire de la charpente de marine…

Certains élu(e)s locaux voient sur un mandat (5 ans), l’avenir (lointain) n’est pas leur priorité…

Pour revenir un instant sur le bonsaï, certains d’entre nous font la même chose, nous ne pensons pas la branche à l’avenir lointain, nous pensons à sa beauté de l’instant… Pas de semis, pas de boutures… « seras t on là demain ? »

Notre société manquerait t elles de perspectives ?
Tu l’as écris, on semble foncer dans le mur, les scientifiques alertent depuis 1980, rien (ou si peu) ne bouge.
La simple chose qu’on dit à nos enfants c’est « profite »…

Je ne pense pas que ça favorise l’investissement ? L’investissement dans notre civilisation j’entends : Si on profite, on est absent, on voyage, on découvre… C’est au mieux de l’enrichissement personnel, de la découverte d’autrui, mais rien n’est réellement créé pour faire machine arrière ?

Civilisation de l’individualisme ? De la consommation à outrance.
Le bonsaï, à contrario, à une certaine phylosophie que l’on oublie souvent, faire beaucoup avec rien. Donner l’impression qu’avec trois branches on a un arbre en vrai…

Bonne journée.

Oui car ils font de la politique politicienne de la petite politique pas la vraie

C’est ça oui,suivant l’opinion, l’avis, d’où la culture de cette religion de ce vent.On se laisse aller,on fait en fonction de …

La plupart des programmes proposés aux élections sont irréalisables concrètement.Les économistes démontrent ça…ils vendent du rêve, de l’illusion.

Certains votants pour alors que d’autres croient en opposition systématique, c’est devenu un automatisme .Y a pas de nuances.c’est blanc ou noir, l’entre deux n’existe pas.

La petite drogue « avoir » a contaminé,pris place dans plus d’un esprit, c’est elle qui gouverne plus d’un étant sous le charme de cette petite sirène.Il ne faut pas écouter les sirènes non hurlantes.

L’abstentionnisme augmente, c’est la faute à l’électeur.Alors qu’ils en sont la cause mais ne font rien pour changer la donne, pas de réformes, d’innovations, de propositions, non rien on continue à jouer la partition.Le système pendant ce temps là explose, s’effondre…

Tout démontre que le système ne fonctionne pas , ils ne le réforme pas .pourtant certains ont des idées.

J’ai eu connaissance par le biais d’une relation qu’un grand homme d’idée est décédé y a pas longtemps…Les idées des uns …

Son travail vaut la peine d’être suivi :

comprendre et agir :…

Julien fait un travail colossal , sa chaine…

On décide pas, on agit pas sur…

Résoudre les pb, ça ne les intéressent pas.Ils sont comme tout l monde, ils gèrent leurs intérêts pas les intérêts commun ce que plus d’un fait aussi sauf exceptions.

Ils font de la gestion de conséquences pas de problèmes.

et du coup tout se dégrade, s’effondre…

oui pour le manque de perspectives, elles sont pas définies, pas de finalités, de projets.

L’envie, la volonté de changer l’existant n’est pas là, en vie…on continue comme si d ien n’était.Or il faut une rupture de continuité

l’art essaye de mettre avant cette nécessité , Création, continuités et ruptures - Tle - Cours Humanités, littérature et philosophie - Kartable

L’une des premières fois où j’ai vu yashushi il tenait à la main une barquette de semis de pin, il continuait à semer malgé son âge avancé …il pensait à demain, il faisait demain…

Il est décédé quelques temps plus tard.Tout donné au présent comme Camus l’a écrit dans l’instant, dans la vie.

On dit qu’un homme qui plante des arbres…

En fait y a beaucoup de similitudes entre eux et nous sauf que ce qu’eux font ça n’a plus cours chez nous, car nous on s’est orienté vers l’avoir , c’est le chant de la sirène qu’on poursuit.

un bonsai est un arbre

Bonne journée, à toi également. Merci de nourrir l’échange, de permettre de démontrer qu’on peut partager, discuter via ce support même si c’est beaucoup plus difficile que concrètement, que réllement que physiquement in irl.

Bonne journée, à tous.Portez vous bien.

rq : c’est important de comprendre que la perception de l’un n’est pas celle de l’autre.ça a d’ailleurs été mis en évidence ici, ça apparait dans l’échange, Mésologiques: Chaînes sémiologiques et production de la réalité / A. Berque

pas oublier notre milieu, Fûdo, le milieu humain - CNRS Editions

Crédibilté, notre système notre évolution ne l’est pas…

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" Le mot « crédibilité » vient du latin « credibilitas », dérivé de « credibilis », qui signifie « digne de foi » ou « qu’on peut croire ».

Il est lié au verbe « credere », qui signifie « croire ».

La crédibilité désigne ainsi la qualité ou la capacité d’être perçu comme digne de confiance ou fiable.

Quelques penseurs et leurs perspectives sur la crédibilité

  1. Aristote et les modes de persuasion

Aristote est l’un des premiers philosophes à avoir étudié l’importance de la crédibilité dans la communication.

Dans La Rhétorique, il identifie trois éléments clés de la persuasion : l’ethos (la crédibilité de l’orateur), le logos (la logique de l’argument), et le pathos (l’émotion).

Selon lui, l’ethos est fondamental car, pour persuader, l’orateur doit être perçu comme quelqu’un de moral, de compétent et de bienveillant.

Pour la crédibilité est donc essentielle pour influencer autrui.

  1. Saint Augustin et la foi

Dans la pensée chrétienne, Saint Augustin a exploré la notion de « credere » dans un contexte religieux, parlant de la confiance nécessaire pour accepter les vérités de la foi. Pour lui, la crédibilité d’une croyance dépend de la source et de la qualité de celle-ci.

Il met l’accent sur la fiabilité des témoins et des textes sacrés. Sa vision influence la pensée chrétienne sur la crédibilité et la confiance envers les autorités religieuses.

  1. Max Weber et l’autorité légitime

Le sociologue Max Weber a analysé les formes d’autorité dans les sociétés humaines et a identifié l’importance de la crédibilité dans le pouvoir charismatique.

Pour lui, l’autorité légitime repose, entre autres, sur la capacité d’un leader à inspirer confiance et à paraître authentique.

La crédibilité est donc un pilier de l’autorité charismatique, car elle crée un lien de confiance entre le leader et ses partisans.

  1. Jürgen Habermas et la communication authentique

Jürgen Habermas, philosophe allemand, aborde la crédibilité dans le cadre de sa théorie de l’agir communicationnel. Pour lui, la communication authentique repose sur la sincérité et la transparence.

Dans une interaction, la crédibilité de l’interlocuteur est essentielle pour que le dialogue soit constructif et que la vérité soit atteinte.

Habermas défend une communication basée sur la confiance mutuelle et la cohérence des discours et des actes.

  1. Carl Rogers et la psychologie humaniste

Le psychologue Carl Rogers a souligné l’importance de l’authenticité et de la transparence dans les relations humaines.

Pour lui, être crédible signifie être soi-même et montrer une cohérence entre ses paroles et ses actions.

Dans le cadre thérapeutique, la crédibilité du thérapeute est cruciale pour instaurer une relation de confiance avec le patient, permettant un dialogue honnête et une guérison efficace.

Idées maîtresses sur la crédibilité

  • La crédibilité repose sur la cohérence et l’éthique : Pour Aristote, Weber, et Habermas, être crédible implique de respecter des valeurs éthiques et de maintenir une cohérence entre ce que l’on dit et ce que l’on fait.

  • L’authenticité comme clé de la crédibilité : Rogers et Weber montrent que la crédibilité ne peut être feinte.

L’authenticité être fidèle à soi-même et à ses valeurs est fondamentale pour que les autres perçoivent une personne comme digne de confiance.

  • La crédibilité dans le dialogue : Habermas souligne que la crédibilité est cruciale dans la communication sincère et honnête.

Pour qu’un dialogue soit productif, chaque participant doit être perçu comme crédible et agir avec transparence.

Ainsi, la crédibilité est une qualité multidimensionnelle, reliant l’éthique, l’authenticité, la cohérence, et la transparence.

C’est une vertu qui permet aux personnes et aux institutions de bâtir des relations de confiance, essentielles pour la communication, le leadership, et la confiance sociale"

On y est.

« Craignez le temps où l’humanité refusera de souffrir, de mourir pour une idée, car cette seule qualité est le fondement de l’homme même, et cette qualité seule est l’homme, distinct dans tout l’univers. »

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(Les Raisins de la colère /

John Steinbeck)

Pour être libre , il faut penser.

La liberté selon Kant :

" LE CONCEPT DE LIBERTÉ CHEZ KANT ✍️

Le liberté est fondamentale dans la philosophie d’Emmanuel Kant Kant. Elle est étroitement liée à sa vision de la morale, de l’autonomie de la volonté et de la loi morale. Pour Kant, la liberté est l’idée centrale qui permet d’affirmer la dignité humaine et la capacité de l’individu à agir de manière autonome. Il distingue deux types principaux de liberté : la liberté transcendantale et la liberté pratique.

➡️ Liberté transcendantale

La liberté transcendantale est une notion métaphysique. Elle désigne la capacité d’un être rationnel à être la cause première de ses actions, indépendamment de la chaîne causale du monde sensible. Pour Kant, le monde phénoménal (ce que nous percevons) est régi par le déterminisme, c’est-à-dire que chaque événement a une cause. Cependant, en tant qu’êtres rationnels, nous avons aussi une existence au-delà du monde des phénomènes : dans le monde des choses en soi ou monde intelligible, où le déterminisme ne s’applique pas.

La liberté transcendantale permet donc à un être rationnel d’agir indépendamment des contraintes de la nature, car elle appartient au domaine intelligible. C’est cette liberté qui rend possible l’autonomie morale, car sans la liberté transcendantale, l’homme serait entièrement soumis aux lois naturelles et ne pourrait pas choisir ses actions en fonction de principes moraux. En d’autres termes, elle est la condition qui rend la liberté morale possible.

➡️ Liberté pratique

La liberté pratique, quant à elle, se rapporte à l’action morale concrète de l’individu dans le monde phénoménal. Elle concerne la capacité de suivre la loi morale par devoir, indépendamment des désirs ou des inclinations personnelles. Pour Kant, cette liberté consiste à être guidé par la raison, en choisissant d’agir en conformité avec des principes universalisables, comme l’impératif catégorique, et non par des déterminations empiriques ou des impulsions.

En ce sens, la liberté pratique est l’exercice de l’autonomie : elle signifie obéir à une loi que l’on se donne soi-même, en tant qu’être rationnel. Ainsi, pour Kant, agir librement signifie agir par respect pour la loi morale, sans être déterminé par les inclinations. Cette liberté pratique fonde donc la dignité humaine et l’idée de responsabilité morale.

Liberté transcendantale : Condition métaphysique, c’est la liberté de l’être rationnel dans le monde intelligible, hors du déterminisme du monde phénoménal. Elle est nécessaire pour que l’homme soit capable de morale.

Liberté pratique : Liberté d’agir selon la raison et la loi morale, sans être déterminé par les désirs. C’est l’exercice de l’autonomie dans la vie quotidienne, fondement de la moralité concrète.

Kant voit ainsi la liberté comme une forme d’indépendance vis-à-vis des déterminismes de la nature, mais aussi comme une responsabilité morale de suivre la loi morale par respect pour l’humanité en nous. Ces deux formes de liberté sont inséparables dans sa pensée, car la liberté transcendantale rend possible la liberté pratique.

UN AUTRE JOUR POUR UNE EXPLICATION APPROFONDIE DE LA LIBERTÉ TRANSCENDANTALE ET LA LIBERTÉ PRATIQUE 🧑‍🎓."

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L’intervention de Mr Gori Roland sur la fabrique de l’imposteur est improbable.

Je pense que si ces paroles étaient transposé aux bonsaïs, des dents grinceraient… :sweat_smile:

ça existe dans bien des domaines, voir partout , c’est l’une des résultantes des inductions, de notre évolution, de nos choix.

Sérieux les gars

Je suis impressionné par votre prose
Beaucoup trop longue, le bonsaï c’est la détente, l’échappatoire… pas le cours de philo

Revenons au principal … synthétique

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