J’aimerais marcotter de beaux mélèzes du Valais fin août/début septembre afin de les reunir en forêt de 5.
J’hésite encore à tenter un pluri-essences en ajoutant deux hêtres, j’ai vu quils se côtoyaient fort volontiers dans la nature mais je sais qu’en bonsaï c’est une autre affaire…
J’ai trouvé une jolie bûche qui m’inspire assez pour créer mon paysage : j’aimerais la travailler un peu pour l’esthétique et bien entendu la pratique.
Percer la bûche pour que l’eau s’écoule, mais éventuellement creuser une sillon (en bleu sur la photo) afin de conserver un peu d’humidité et faire une petite rivière.
Trouer l’un des deux endroits en rouge ou les deux, afin d’y glisser du schiste affûté et faire des montagnes.
Traiter le bois en Shu sugi ban (technique japonaise du bois brûlé).
Ce sera déjà un bon début que d’avoir une jolie terre d’accueil pour cette future forêt !
Toute idée ou avis sont les bienvenus
Eh bien en fait elle est deja assez stable grâce à sa courbure et au petits bouts de branche a droite… mais je compte soit raboter soit rajouter une plaquette bien plane pour être sûre quelle ne bouge pas du tout
Faire une forêt nécessite du temps avant de pouvoir faire un assemblage. Il faut des arbres de différentes statures, avec des diamètres de troncs bien différent et donc parfois passer par des années de culture (parfois pleine terre) avant de pouvoir composer.
Concernant le « pot ».
Techniquement, c’est possible. La durée de vie de ce contenant sera (à mon avis) très courte, entre nos arrosages quotidiens, l’éventuel stagnation sur un point que tu n’aurais pas prévu et un substrat humide…
Il serait possible de créer un moule au forme de ton rondin pour en faire un exemplaire plus résistant (type béton) … ou bien cultiver dans cet exemplaire de pot en béton (?) et n’utiliser le rondin que pour les grandes occasions…
Ensuite pour une forêt, on essaye de faire un peu de profondeur, pour de la perspective. Ton rondin semble vraiment trop peu large pour ce type d’exercice. A la limite, il n’y aurait que deux arbres, ça me semblerait plus judicieux.
Les pots sont « ouverts » pour que le regard puisse rentrer. Ici, la jolie lèvre semble faire barrage.
Je pense que s’en inspirer pour faire (ou faire faire) un pot serait plus adéquat.