Oui, un vrai régal pour les yeux, admiratif d’une telle collection, quel travail accompli, merci pour le partage @Toche
Merci, c’est gentil, oui j’ai une collection assez importante, mais j’ai “malheureusement” quelques années d’avance sur la plupart d’entre vous. J’ai commencé le bonsaï à 18 ans, aujourd’hui, j’en ai 70.
J’espère que ces photos sont assez nettes.
C’est ici que je descends.
que dire ! chapeau bas monsieur pour cette magnifique collection et encore merci pour le partage
Bonjour Toche,
Tout d’abord félicitations pour ce travail, quelle fabuleuse collection . Je suis admiratif face à tant de beauté.
J’ai néanmoins une question. Quel est le nom exact de cette azalée avec ce rouge profond ? Je n’arrive pas à en trouver dans les jardineries…
Un rêve
Impressionnant j’aurais aimé commencer jeune à 18ans comme vous ! C’est une passion qu’il faut à tout prix enseigner aux plus jeunes ! Je commence cette année avec mon neveu qui a 11 ans, je lui ai acheté un olivier à rempoter et travailler au printemps et il est très intéressé c’est un début c’est cool ! J’essaye avec mes proches de toujours leur montrer l’émotion que peut dégager un arbre et souvent ca marche ! Félicitations !
Au vu de la qualité des arbres, on se doute bien d’une expérimentation poussée, sérieuse et responsable
Que des chef-d’œuvre dégageant beaucoup d’émotions et de finesse.
Le mochikomi est de la partie, l’art du temps comme ont dit, ce sujet de tes arbres reflète totalement ça.
Un grand respect à toi Michel, tu pourrais faire un salon du bonsaï rien que chez toi. Chapeau bas l’artiste
tu as réussi à conserver en vie des arbres pendant 40 ou 50 ans ?
Bonjour P-B
Merci pour vos commentaires, ça me touche.
C’est une azalée Kinsaï,
Celle de la photo était exposée, il a quelques années, à Paris à la tour Eiffel
Les Kinsaï ont la particularité d’avoir deux sortes de fleurs…
… et même trois en fin de vie.
Elle n’est pas compliquée à garder en forme si tu as une bonne eau et que tu n’habites pas dans le midi, là c’est plus difficile.
Les azalées ne vivent qu’une bonne centaine d’années. Parfois un peu plus, c’est comme les hommes.
Clément,
Oui, il m’en reste, mais pas beaucoup, ce qui est normal, au début, je n’avais que quelques arbres que j’appelais pompeusement “mes bonsaï”.
Ceux qui me restent, les plus vieux sont les plus laids, mais ce sont ceux que j’aime le plus, ce sont mes professeurs.
C’est grâce à eux que j’ai appris et pu évoluer.
Il y a une raison pour laquelle je vous ai montré toutes ces photos, ce n’est pas pour me mettre en avant, c’est pour faire taire les critiques.
C’est fatigant d’y répondre, c’est une perte d’énergie et de temps. C’est sans fin et je n’ai pas envie de me disputer.
Je pense que montrer les photos était la meilleure réponse que je pouvais apporter.
Un seul homme peut s’occuper de cette collection sans problème, à la condition, de n’avoir rien d’autre à faire.
Aujourd’hui, j’essaye d’écrire un livre sur ce que j’ai pu apprendre sur notre passion. Ça me prend énormément de temps.
En plus, je termine des travaux que j’avais entamés il y a bien longtemps. Ça devient donc plus compliqué.
J’avais un vieux rêve, celui d’organiser une expo chez moi pour ma retraite. Je ne l’ai pas abandonné, mais…
Bonne culture à toutes et tous.
Michel
Merci beaucoup pour la réponse et les conseils.
Je pense avoir à peu près le même climat que chez vous étant de la région lilloise.
Je m’en vais de ce pas me renseigner sur cette variété !
Et pour votre projet d’exposition, ce serait un honneur de pouvoir venir admirer votre collection