Je ne connais rien non plus a ces variétés aiguilles mais il semble en pleine forme. Je te copie ici des conseils de culture que Alexandre Escudero a publié sur son Facebook :
Aujourd’hui nous parlons du juniperus rigida « tosho » une espèce gratifiante mais généralement méconnue en terme de culture et de technique.
Les rigidas ne sont pas réellement comparable au genevrier à écailles ( itoigawa / sargenti ect….)
Leurs mode de fonctionnement diffèrent un peut, nous allons quelques aspects généraux pour entretenir cette variété.
Le rigida aime l’humidité ( l’eau ) et des apports d’engrais régulier et copieux, un sol bien drainé retenteur et profond.
Il est généralement le dernier arbre que l’on rempote, seulement après qu’il est vraiment pousser car le rigida tire l’énergie des racines via sont feuillage ( particularité de l’espèce )
Une situation ensoleillée lui convient parfaitement mais les petits sujets devrons être placer à mi ombres lors des grosses chaleur.
La taille d’entretien ( 1er de l’année ) s’effectue après que l’arbre est commencer à pousser, il est possible de rabattre les pousses en vert sans se préoccuper de la présence de bourgeon, par contre si l’on souhaite tailler sur une partie lignifiées il faut ABSOLUMENT tailler au niveau d’un bourgeon faute de quoi la ramification aura du mal à repousser et séchera.
La taille d’éclaircissage et des aiguillages est l’une des action la plus importante, elle s’effectue généralement en juillet, celle permet le passage de la lumière, la préservation de nombreux bourgeons et l’émission de nouveaux très important pour garder un arbre compact ( quelques photos représente parfaitement l’action à mener )
A la suite de cette étape il est possible également de ligaturer l’arbre ( plus facile d’accès ) et d’en faire la mise en forme, en effet les vieux rigida n’aime pas trop avoir les branche plier en hiver ( ralentissement de la circulation de sève ) et de ce fait peuvent perdre quelques branches ou ramifications à la suite d’un ligaturage en saison hivernale.
Le rigida est un arbre « energivore » car les travaux qu’il demande prennent du temps afin d’être bien réaliser, malgré cela c’est une espèce gratifiante qui donne de bons résultats à court terme.
Cultiver la bonne variété est également essentielle, la plupart des rigida sont des Yamadori qui pour la plus part d’entre eux on un feuillage qui ne permet pas de bonne densification et maturité des volumes a l’exception des yatsubusa ( feuillage naturellement court ) et ou les variétés greffer « isé « tosho.
En espérant que ses quelques mots vous donnerons envie de prêter attention à cette fabuleuse espèce au bois mort incroyablement naturel et sauvage qui dégage puissance et venerabilité.
Bonne culture!
Source : le Facebook d’Alexandre Escudero.
En espérant que cela pourra t’aider !
je n’y connais rien, mais j’aurai tendance à dire que la culture ne doit pas trop ce différencier … j’ai un juniperus chinensis « Blue alps » chez moi, cela doit être de même non ?
mais, franchement j’aimerai apprendre à faire mes propres poteries. 
