Estimant que les deux messages supprimés ne contreviennent en rien à la charte de PB, qu'ils questionnent sur la sauvegarde des milieux, je publie à nouveau leurs contenus en sollicitant la bienveillance des administrateurs pour un maintien.
Un chêne - il n'est pas battu par le vent – qui se trouve dans un espace ouvert remarquable.
La pollution visuelle qu'engendrent différents éléments ajoutés est insupportable.
Libellés des trois panneaux cloués sur son tronc :
"Chasse gardée", "Tenir son chien en laisse" et "Attention pièges"
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Cet arbre se trouve sur une des rares pelouses à Dianthus superbus (Oeillet superbe : liste rouge nationale ) qui subsistent dans la région et qui ne peut être protégée pour cause de lobbying actif (*)
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Le tronc est creux.
On observa en bas à droite les bouteilles vides laissées en offrande.
Dans un rayon de 1km une demi-douzaine d'autres chênes isolés y déploient leurs branches et peuvent servir de modèle comme "arbre de plaine"
Tous sont affublés de mirador pour la chasse à l’affût.
En voici trois
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Un double tronc
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Un shari impressionnant sur celui au premier plan
(*) En Alsace et en Moselle la chasse est soumis au droit local : les communes sont tenues de mettre en adjudication (enchères à la bougie) les lots de 200 ha minimum. Elles ont l’obligation d’organiser la location pour 9 années, au besoin contre la volonté des propriétaires. De fait les locations de chasse se font généralement de gré à gré.
Certaines communes ont notamment invoqué des projets de classement des terrains en réserve naturelle ou zones protégées pour refuser de mettre les chasses en location.
A ce jour elles ont toujours été déboutées par les tribunaux