Cosmic Bonsaï - Laurent Darrieux - Ryan Neil - Walter Pall

y a des trucs universels que l’on retrouve partout, y a des trucs qui n’ont pas de nations,pas de papiers ou de nationalités.

le nombre d’or par ex, la règle des tiers…

Les causes sont connues depuis longtemps, être/avoir, art /artisanat.

Certains veulent s’émanciper d’autres pas c’est ainsi, pour s’émanciper il faut faire, travailler, marcher, ne pas avoir de certitudes.ça requiert aussi du temps, c’est difficile, un chemin pleins d’embuches, ça demande des efforts, des sacrifices,de pendre des risques, c’est incertains.Il faut oser, être audacieux, persévérant ,tenace…Un choix peut correspondre à l’autre pas à l’un et inversement.

On rejette bien trop souvent la différence.Il faut comprendre celle ci et tout ce qu’elle sous tend.

Pour bcp de noms cités, y a un élément commun une grosse connaissance, une culture importante.L’apprentissage,l’éducation.La maitrise du sujet.Beaucoup de travail,une volonté, une envie, l’art de vivre.Le faire.

Comme indiqué également bcp suivent leur propre voie, ont trouvé leur propre expression car ils ont commencé par la chercher, pour trouver… ça se voit, leurs arbres sont reconnaissables.On croise pas grand monde sur les routes qui mènent à ithaque.

Pour moi : Un bonsai enfin le kazari puisque c’est la finalité, c’est une représentation symbolique de la nature,visant à la sublimer, ce n’est pas la nature.Pour moi c’est un art pour d’autres c’est du jardinage.comme indiqué y a toute une multitudes de nuances c’est aussi ça qui en fait sa richesse, toute cette diversité.Un bonsai c’est un arbre en pot.Cette représentation peut être faite de bien des façons avec ou sans manières.

pour se développer un écosystème …

Il ne faut pas exclure, il faut intégrer.

Cette représentation peut être faite de façon différente comme on le voit en peinture, dans le cadre du dessin par ex aussi , il existe une multitude de façons de faire un trait, d’outils pour le faire, pourtant c’est un trait.

La technique, les moyens servent des finalités comme dans tout art.

Puis se pose aussi la question des finalités, pourquoi fait on cela,elles peuvent être bien différentes de l’un à l’autre et en passant par autrui avec ou sans court circuit.

En dépit des apparences certains sont bien plus proche de la source… que l’on pourrait le penser en première approximation.

Proposez, conceptualisez, faite comme d’autres l’ont fait.Plus il y aura de diversité…la monotomie, le conformisme, l’uniformisme, c’est ennuyeux.

Il faut toujours contextualiser, se méfier des généralisations qui sont souvent abusives , etc…sinon on sait même pas de quoi on parle.

Bien des trucs reposent sur une interprétation, ça veut pas forcément dire qu’il en est ainsi.Par ex des règles attribuées à l’autre par l’un ne sont en faites pas les règles de l’autre, l’autre ne considère même pas celles ci comme en étant d’ailleurs.La vision de lui par l’autre pose aussi question…

C’est juste que pour l’un c’est un cadre normatif, rassurant, comme le sont les certitudes, les croyances au sens philosophique.

Intéressez vous aussi à la façon dont certaines œuvres tableaux,dessins, photos sont composés et vous comprendrez que …

Intéressez vous au parcours des uns, des autres, à leurs évolutions, leur progression, leurs réflexions.

Être libre ça induit aussi le respect de la liberté des uns et des autres tout comme ça induit de ne pas avoir de certitudes, de croyances en tout genre, …La liberté est une maitresse exigeante. La liberté des uns …,ne pas confondre liberté et choix comme on le voit trop souvent.

Nous avons une vision orientée objet, est ce l’objet ou le fait de faire l’objet qui est important ? peut-il être secondaire ? Qu’est ce qui est important ? qui est vraiment significatif pour celui qui réalise ?

Ceux qui vont au delà , oui ils ne sont pas nombreux, pourquoi ? et si la norme était que tous soient au delà que faudrait il chercher ?

y a une notion qui préoccupe certains et pas d’autres, l’individuation, pourquoi ?

histoire d’illustrer un peu, un arbre de Sandro Segneri

ps : un des arbres présenté au début est un arbre de Benoit Fabrega.Essayez, rien que cela vous donnera une idée du travail nécessaire à sa réalisation.Sans oublier le fait qu’avant même d’avoir l’arbre il faut avoir l’idée, c’est aussi un de nos soucis ça.Comme la critique, le jugement, les avis, les croyances phi , les préjugés, les idées reçues le sont.Les visions de laurent, d’hervé, de benoit sont différentes, bien que proches ce sont des univers différents chacun ayant le sien.

Qu’est ce qui est intéressant faire ce que l’on a vu ou faire ce que l’on n’a pas encore vu ?

Merci pour le partage des docs, on peut aussi citer les livres de F.Jeker

On peut aussi remercier tout ceux qui ont contribué d’une façon ou d’une autre,qui nous ont permis d’arriver là où nous en sommes rendu pour l’instant.On leur doit un petit quelque chose.On doit plus à ceux qui font qu’à ceux qui font rien.

Un truc tout bête rien que notre sens de lecture différent fait qu’on ne voit pas le monde de la même façon sans parler de tout le reste.

Un truc tout bête dont on ne parle jamais qui pourtant à lui seul conditionne tout et qui devrait s’écrire en lettres capitale tellement il est fondamental : l’état d’esprit.

Considérer l’important et non…c’est ça qu’on doit faire quand on fait une réduction en algèbre par ex, quand on résoud un pb etc…

Toute démarche visant à imposer une vision normative …

Combien parmi les pratiquants fait des arbres de façon totalement différentes ? qui crée ? qui pense ces arbres ?

La perception d’un individu …

La progression se fera par ceux qui feront, par le petit jeu des exemples, des propositions, des réalisations et des œuvres.

Un interlocuteur parle de là ou il se trouve, comme on dit il faut savoir d’où il parle.

La frontière de l’interlocuteur est sa vision, elle est limité par sa perception.On ne peut pas connaitre ce qui nous est étranger.

On ne peut pas comparer un amateur lambda, un marchand et un artiste de ce milieu, ils sont différents, leurs finalités , leurs attentes ne sont pas les mêmes .

On peut reprocher à l’école, à l’académisme d’être ce qu’il est mais à un moment il faut bien avoir posé un truc…après certains restent dedans et d’autres finissent par en sortir.

Parler exposition quand c’est un truc extérieur à soi …

Un ex perso je voulais pas exposer fut un temps.Puis je me suis rendu compte que je ne percevais pas du tout de la même façon un arbre selon qu’il se trouve dans une pièce fermée ou dans mon jardin, dans l’un des deux cas il prenait une toute autre dimension.

J’ai donc décidé de travailler mes arbres en situation d’exposition sans forcément toujours vouloir les exposer mais dans ce contexte là.Et là pleins de problématiques auxquelles je n’avais pas penser jusque là avant sont apparues, ont vu le jour.Pourquoi ? pcq je me suis mis dans ce contexte.En fait j’appris bcp de choses en faisant, en travaillant pcq les pb se sont présentés à ma porte et que j’ai du les résoudre pour avancer.

Si on considère que l’oeuvre est la présentation, que l’arbre n’est juste qu’une partie du puzzle.Si on raisonne en élément principal, secondaire, en terme de composition.
Tout dépend du pb que l’on étudie, des hypothèses prises, du contexte, de l’ennoncé.Si on considère que l’on a un cadre d’expression, comment occupe t-on l’espace ? pour faire sens et éviter les contre sens.

J’ai un ami qui m’a dit.J’ai fait plusieurs expo européenne.C’est marrant chez vous le gus arrive paf il critique direct, il dit moi j’aurais fait ainsi comme ci comme ça.Là le gus il arrive, il profite, il regarde la proposition qu’on lui a faite et seulement parfois il se risque à ….C’est culturel.

Je vous invite à regarder l’expo de l’abe qui a eu lieu le wk dernier.A lire des bouquins qui traitent de la composition de certaines œuvres, à étudier cela.

La présentation est quelque part la finalité de cette pratique.Elle est quasiment jamais évoquée, ça interpelle quand même.Etrange qd même cette tendance à ne pas évoquer l’important et à se focaliser sur des détails.

Moi je trouve que ceux qui expose sont courageux pourquoi parcequ’il s’offre à l’autre, au regard de l’autre.il s’expose à la critique, à prendre des coups, à avoir potentiellement mal.ils ont envie de montrer leur travail, de valoriser leur art, bien sur il y a aussi une part d’ego.Ils donnent, se donnent quelque part.

On peut remarquer que la plupart de ceux qui expose ne s’expriment pas, ils font, c’est déjà bcp.C’est aussi une activité individuelle.Ils hurlent pas du fond de leur jardin .

Le monde est fait de nuances, de complexité.Toujours se méfier de ceux qui prétendent détenir une vérité ,des preneurs de postures, des impostures, de ceux qui endosse le petit costume de chevalier blanc.

Critiquer c’est bien si c’est positif, faire proposer, c’est encore mieux .Je préfère ceux qui tirent les autres à ceux qui tirent sur les autres.

Moi vu où certains sont pavenus , je suis curieux de savoir ce qu’il y a après, les pas d’après.un artiste s’insert dans une continuité, il fait une partie du chemin que d’autre pousuivont, c’est une sorte d’intégrale.

Soulage se définissait comme un chercheur en art, l’art une science comme une autre.Il faut comprendre la notion de vocation.Pour certains l’art, leur vocation c’est leur vie, ça les dépasse, c’est ça qui les tient debout, c’est une forme de sacerdoce, pas forcément choisi, parfois subi car c’est ainsi.Avec son petit moteur la joie comme disait Spinoza.C’était aussi un bourreau de travail, on a rien sans rien, sans efforts et quelques larmes ni sueurs.

Pour un artiste, une œuvre n’est pas une finalité en soi, c’est juste un pas, elle appelle le pas d’après.L’ensemble de ces pas faisant sa vie, son vécu parfois une trace qui restera alors que d’autres disparaitront.il est dépassé par ce qu’il est.

Si on veut être libre il faut être libre de son style, de soi de tout être enfermé en rien et dans rien.

Une des vertus de l’art c’est l’émancipation, c’est ça qui est important pas la façon de s’émanciper ça s’est secondaire et relatif.

Je vous invite à faire,à marcher, à être, à vivre, car il faut vivre pour être.

Je ne suis pas vraiment d’accord.
Il y a des règles en horticulture et en particulier pour la culture du bonsai. Fréquence des rempotages, périodes de taille, protection hivernale, bref tous les gestes techniques permettant la vie ou la survie de l’arbre dans son pot.
Ce sont vraiment des règles peaufinées par les artisans nippons et qu’il est bon d’adopter.

Mais dès qu’on touche à l’esthétique, c’est-à-dire au côté décoratif ou artistique du bonsaï, il n’y a plus de règles. Les techniques (ex : perspective en dessin) s’accommodent de règles mais non la démarche artistique qui est synonyme de liberté, du moins dans notre civilisation.
Il y a des codes culturels qu’on devrait être libre d’adopter ou pas.
Il y a les styles élaborés par des bonsaikas créatifs ou innovants ou visionnaires

Ce que je dis c’est que le japonisme est tacitement imposé dans le monde du bonsai

Le pb c’est la notion de norme, de cadre.Tout est normé, tout le monde ne peut pas vivre hors de la norme, des certitudes.Qd ça n’existe pas on peut même s’auto créer un cadre un espace normatif car l’individu a souvent besoin d’un cadre.Pourquoi ce besoin ?

Un individu est capable de s’enfermer tout seul comme un grand.ça pose pb…

Le burton est un cadre, il est différent d’un autre mais c’est un cadre comme un autre c’est une autre forme de normalité.c’est juste un changement de repère, on change de position en tant qu’observateur.Comme le cubisme ou autre l’ont été dans le cadre de la peinture par ex.Ce qui est important c’est pas d’avoir fait ça, c’est d’avoir oser faire ça à des fruits que l’on récolte et le pas d’après que l’on appelle, c’est une induction, ça met en mouvement, c’est une dynamique.

une règle, une non règle ça définit une norme, un espace normé.c’est juste la définition du repère qui change.c’est aussi ce qui le rend visible, perceptible. ça le caractérise.

ça matérialise le concept, l’idée, ça lui donne une vie concrète charnelle.L’expression prend corps et un jour pourra peut être s’en aller car elle n’appartiendra plus à son auteur, à son géniteur.Elle fera seule comme une grande sa petite vie d’œuvre.

Un dimension est définie par un repère, une unité, une origine.

Préférer la notion de principe à la notion de règle.

Considérer l’absolu plus que le relatif.

voir les notions, d’espace vectoriel, de dimension, de repère, de relativité restreinte ou générale.

Rien n’est imposé sinon il n’y aurait pas d’autres façons de faire, des expressions différentes.Une démonstration par l’absurde met sa en évidence…Croire le contraire ça relève de la croyance avec toutes les conséquences induites des croyances dont le fait d’être prisonnier de celles-ci.La croyance est un vraie pb peut être le pb tout comme nous nous sommes un pb, au sens philosophique s’entend.

C’est un art , avec une histoire, une évolution, une trajectoire, il est vivant.On se trouve juste à un instant de celle-ci, c’est l’état de l’art à cet instant en quelque sorte mais comme en science.Tout est lié ne fait qu’un et il n’y a pas de vérité.

Je ne sais plus ou dans cette série.il est expliqué que des individus voient le monde de façons différentes pourtant ils vivent dans le même monde ça sous tend qu’il n’y a pas une mais des vérités sous entendu aucune aussi. https://youtu.be/zjIC6jIQRKQ?si=BcqTH4QheKEv-hm7

Y a quelque chose à considérer aussi les notions d’épure, les limites, les conditions limites car plus on tend vers celles ci vers le concept, l’abstrait…

Se libérer de son cadre , de ces croyances, de soi…

Le beau est en tout, partout, en rien et en tout.c’est un absolu, un invariant.
C’est une bien jolie demoiselle, existe telle, est elle une illusion, certains la suivent, d’autres prétendent l’avoir croiser.Peu importe, quel regard, quelle belle émotion, qu’elle belle âme, quel corpus, de corps et d’esprit un peu rebel.Elle se dévêtie , laissant tomber des petits bouts d’ailes d’ici de là, ailleurs et quelque pas ailleurs sans aigreur, sans jalousie, pour se donner à voir, elle est dans le don mais nul n’a réussi à la saisir au vol car ce drôle d’oiseau est libre comme le vent depuis la nuit des temps.

Par la joie, elle me fait vivre, elle m’aide à m’épanouir et à grandir tout comme le soleil aide un abre, une plante, un animal.Je préfère être vivant que mort, c’est un choix.La vie est dans le flux pas dans l’immobilité.

c’est un art finalement qui met en valeur la vie, le rien,le tout.Il met tout en valeur car tout est lié et ne fait qu’un.

C’est l’une des voies mais ce n’est pas la voie.

J’en appelle aux modérateurs @LeeOw et au Webmestre @olopost

Les modifications d’un message sont possibles tant qu’aucune réponse ne lui a été apportée

C’est une fonctionnalité du nouveau forum qui est intéressante à condition d’en faire un usage raisonnable. S’en servir pour corriger ses fautes d’orthographe me paraît convenable

Mais comment répondre à un message qui enfle toutes les 10 minutes, un message dont l’auteur ajoute , re-ajoute et re-re-ajoute du texte sans arrêt ?

Un message qui a subi 30 modifications et ajouts

Un autre du même auteur qui est passé de 14 modifs à 17, le temps de faire la copie d’écran (14) et écrire ce texte (17)

Le nombre de modifs possible est limité, y a un quota.remarque sur la forme, rien sur le fond…

pas si simple d’être bon au premier jet, la littérature est remplie d’exemples ainsi que de ratures, de corrections, d’ajouts.puis les éléments viennent au fil de la réflexion, c’est ça le petit jeu, la danse de la pensée, de l’argumentation qui est aussi une activité sportive, une sorte de mécanique, un jeu de dominos.

un tableau, un livre, un bonsai peut se faire sur des années, des décennies.

Et hop l’appel à l’ordre, à la norme

Comment répondre ? en attendant, en patientant…y a aussi des livres qui traitent de l’art de la correspondance, de la littérature.l’instantanéité est aussi un de nos pb actuel.il faut savoir prendre son temps.Certains se sont même répondu par le biais de livres.

à un endroit il était question d’un débat d’idée.

Je préfère modifier plutôt que faire des trucs à rallonges,ça je sais faire aussi là je fais autrement, c’est un choix pas une liberté.

ça permert de ne pas polluer, de construire un truc à un endroit précis.

puis un texte est une sorte de tableau, savoir tranposer peut être intéressant

en appeler à la liberté et attaquer celle de l’expression…

on peut aussi supprimer tout ce que l’on écrit si on le souhaite.

Punaise plus de 100 lignes par post, c’est plus du bonsaï c’est de la philosophie…

c’est pas faux

Ce sujet est devenu illisible.
C’est une réelle entreprise de destruction !
Une stratégie de l’inflation.

Je ne comprends rien à toutes les banalités, les redites, ces textes sans queue ni tête qu’écrit Corto.

Je vais donc m’abstenir d’intervenir plus avant ici

Moi je supprimerai ce que je pourrai quand j’aurai repris la main.Bonne soirée.

Je ferme le sujet pour éviter tout problème

Merci de votre compréhension