Francisco Ferreira a apporté une grosse souche de buis assez "haute sur pattes" visiblement en forme et bien cultivé si l'on se base sur la densité du feuillage :
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Détail de la base large :
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Autre image de la base :
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Quelques coups de maillet sur ciseaux à bois :
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Sélection des pousses et tailles :
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Pose des ligatures (du cuivre).
Détail du geste :
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et
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Toute la végétation basse est placé en plateau de part et d'autre de la souche en écartant bien les pousses afin de laisser pénétrer le soleil au cœur de la végétation.
Sur les feuillus en général je ne sais pas, mais sur le buis en particulier c'est sûr (lu, relu et re-relu). D'ailleurs, j'ai un buis qui a pris une petite rafale de bouillie bordelaise (à cause d'un coup de vent pendant que je traitais un autre arbre), il a drôlement fait la gueule pendant un mois.
Mais si Francisco pratique comme ça... j'imagine qu'il sait ce qu'il fait le monsieur.
Oui c'est bien du cuivre (promis dès que le cuivre devient bleu, je déligature...). La difficulté pour mettre du cuivre sur les feuillus, c'est que l'on risque plus d'abimer l'écorce en posant le fil. Je ligature depuis quelques années au cuivre (y compris les érables) et je n'ai pas vu de soucis. La protection que l'on enroule au tour du fil est justement là pour éviter de blesser l’écorce.
Parce que le cuivre même recuit est moins souple que l'aluminium anodisé. Par contre le cuivre à l'avantage d'exister dans des diamètres plus faible que l'aluminium (inférieur à 1 mm) et entre 1 et 1.5 mm. Et si vous regardez bien le fil utilisé pour certains rameaux est très fin.
Je pense que Penjing nous postera des photos de la fin de la démo.
