Recherche Préleveurs - Yamadori

Bonjour à tous, 

 

Je sollicite votre aide.

Je suis en recherche de Préleveurs sérieux et habilités.

En recherche de jolis Yamadoris, mais désireux de respecter les arbres et de ne pas faire n'importe quoi ; je sais qu'il existe des "professionnels" plus compétents.

Sylvestres, Chênes, Hêtres et autres espèces autochtones..., petits spécimens de chez nous, à cultiver.

 

Comment les trouver et les contacter ?

Auriez vous des pistes, voire des coordonnées ?

Des retours d'expérience ?

 

Réponses en mp si vous préférez !!

 

En espérant que vous puissiez m'aider...

Merci

En cherchant un peu tu trouveras.Avant de penser yamadori.Depuis combien de temps fais tu du bonsai ? as tu les connaissances technique ? maîtrises tu la culture ? connais tu les variétés ? Un yama demande certaines connaissances et généralement du temps car c'est souvent des projets sur le long terme.@+

Petits spécimens ? Si tu cherches des petits spécimens tu peux, avec autorisation du propriétaire du terrain, les ramasser toi même ! Et c’est en forgeant que l’on devient forgeron

Merci corto pour cette réponse, comme toujours constructive, dénuée de toute agressivité et de tout jugement.

 

Double Merci Le Sabi. (On est plus sympathique dans le sud !!)

J'ai déjà pu prélever quelques arbres sur des terrains familiaux qui vivent jusque là leur vie tranquillement.

Quelques petits pins notamment, qui reprennent sereinement.

 

Au delà de ces "bébés", il existe des gens plus compétents que moi et/ou mieux localisés, pour trouver des arbres de caractère, ...voire des gens dont c'est simplement le métier (ou presque).

 

Certains d'entre nous, ont leurs circuits ou leurs contacts. 

 

Ce sont ces contacts de "préleveurs" que je tente ici de trouver. Merci

salut, il y a des professionnels comme Alain blervaque, Jean François busquet, laurent breysse, Éric mousquet , serge clémence entre autre qui font ça très bien. il te suffit de les contacter ou de te déplacer chez’eux pour trouver ton bonheur, amicalement.

Je recommande JF Busquet dans le sud (corbières). C’est un gars super sympa et tu pourras même aller récolter des arbres avec lui et il t’apprendra tout de la récolte jusqu’à la mise en forme.

Bonne continuation

Le sabi

il existe des commerçants partenaires qui vendent des yamadoris dont la reprise est assurée!

Merci pour vos diverses réponses.

Contact pris avec JF Busquet.

Je confirme l'avis quant "gars sympa" de Le Sabi !

 

Merci Le Bleu. Ma recherche vise justement à shunter l'étape du "commerçant partenaire" en contactant directement le préleveur initial.

(Pas certain qu'une reprise puisse être "assurée")

je pense qu'un yamadori qui a quelques années de culture en caisse derrière lui et qui montre des signes de vigueur peut etre considéré comme sauvé.....après, celui qui l'achète peut foirer......ça c'est indépendant du revendeur.....

 

J'ai déjà pu prélever quelques arbres sur....

....il existe des gens plus compétents que moi et/ou mieux localisé....

Cher Mrik,

Il y a des situations que j’ai définitivement beaucoup de mal à comprendre.

 

Et pour illustrer mon atermoiement j'utiliserais, avec ta permission, une métaphore :

 

Peut-on admettre qu'un couple fertile puisse avoir recours à la gestation pour autrui (GPA) ?

Prélever un arbre ressemble à un accouchement. Ce moment, parfois douloureux, tisse un lien entre l’arbre et son préleveur qu’un passage par la case porte-monnaie ne pourra pas remplacer. C’est un acte lourd de sens pour éduquer ce qui n’était qu’une plante comme une autre, vers un véritable bonsaï.

Alors, à moins de souffrir d'un handicap ou d'une invalidité redhibitoire, pourquoi se priver d'un prélèvement/accouchement pour construire sur des bases solides et inoublables l'attachement nécessaire à une bonne culture/éducation ? Pourqoi avoir recours à une mère porteuse quand on est fécond ?

Serait-ce parce qu’on est pressé ? ou flemmard ? ou peureux devant le risque de l’echec ?

J’ai du mal à admettre la démarche consumeriste de l’acheteur d’un arbre prélevé, mais je m’interroge aussi sur la conduite de celui qui le vend à des personnes en pleine possession de leurs moyens physiques et mentaux.

 

Pour moi un arbre n'est pas un objet. Pour un client et un marchand c'est une denrée comme une autre.

très beau discourt bonsaiphil,

il m’est arriver de prélever, et je ne pourrai pas vendre aucun de mes arbres.

Cher Bonsaiphil

 

 

Pour reprendre ta métaphore, avant d’avoir un bébé en pleine forme, il va te falloir prospecter pour trouver la personne idéale à ton projet  :spb80:  (tu as déjà essayé de trouver des yamadori en Essonne ? :newsm_9: ), essuyer de nombreux refus, prendre des râteaux à la pelle (j’aime bien celle la), se prendre des baffes. :PB260:

 

Malgré les problèmes le petit est en route. (Et la je ne parlerais pas des problèmes sexuels, impuissance, infertilité, lumbago, ampoules…)

 

Mais malheureusement comme dans 90% des cas le petit est fragile, très fragile même :spb120: , alors il faudra lui construire une clinique (serre) le mettre sous perfusion (brumisation) lui apporter de nombreux soins que seul l’expérience ou un spécialise peuvent prodiguer, et attendre très très longtemps avant de pouvoir jouer à la playstation avec lui. :spb33:

 

Ce n’est pas si mal la GPA pour le bonsaï finalement.

 

Bon ce que j’en dis…Je ne me sens pas concerné vu que je n’ai pas de yamadori, seulement quelques prélèvements que j’ai fait évoluer au fils du temps, ça m’amuse beaucoup plus, et depuis quelques temps j’ai même arrêté tout prélèvement, raz le bol des échecs :spb119: .

 

:spb164:

 

:emo4:

Cher Bonsaiphil, 

 
Attention aux métaphores utilisées qui facilement pourraient passer pour extrémistes.
Un arbre ne reste qu'un arbre. 
Je ne suis pas certain qu'une personne souffrant de handicap ou d'infertilité entende comme toi et moi de telles comparaisons... 
Je comprends ce que tu veux dire biensûr, mais attention...
 
Ma recherche, plus que celle consumériste de trouver facilement des arbres prélevés, vise plutôt à acquérir les compétences qui me font encore défaut afin d'optimiser reprise et survie, de ce que mes yeux pourraient m'amener à croiser dans la nature. Dans ce sens, j'ai contacté hier deux "préleveurs" plus confirmés afin de les suivre et d'apprendre de leurs expériences.
 
Combien d'arbres m'autorises tu à sacrifier ? (Combien d'enfants ??)
 
Et au-delà de ça, comme le disait LeBleu, pourquoi ne pas s'en remettre à des gens qui savent faire, pour avoir appris de leurs échecs passés ? Des gens qui ont su prélever et acclimater des arbres à la vie en pot ?
Prélever ? Sauver ? Ou adopter ?
Ne peut-on pas considérer cela plus comme une adoption que comme un achat ?
 
Les commerçants du bonsaï ne sont il me semble, pas les plus difficiles à trouver. Sans flemme mais pourtant, sans sortir de chez soi. Tous ont pignon sur rue (ou pignon sur site).
Je pensais que le but de ma question serait plus, par le levier de l'ouverture du forum, de contacter ceux qui sont au-delà du "commerce".
 
Et si j'aime plus les arbres, que les arbres en pot ; cela m'interdirait-il, si j'en croisais un, de souhaiter adopter un arbre déjà en pot ?
 
Bref. Aucune réponse attendue.
 
La question première était simplement de trouver des références, autres que celles que je connais déjà, de personnes plus expérimentées que moi. Merci à ceux qui ont répondu. A creuser...

C'est quoi "être au-delà du commerce" ?

J'ai comme un doute.

Je rappelle que la liste des pros, et Jean-François Busquet s'y trouve est sur la carte de l'annuaire de la page d'accueil du site.

J'ai du mal à admettre la démarche consumeriste de l'acheteur d'un arbre prélevé, mais je m'interroge aussi sur la conduite de celui qui le vend à des personnes en pleine possession de leurs moyens physiques et mentaux.

 

Pour moi un arbre n'est pas un objet. Pour un client et un marchand c'est une denrée comme une autre.

 

Perso, je ne suis pas un préleveur, c'est une étape qui ne m'intéresse pas, qui demande des compétences que je n'ai pas, des installations que, si on veut  le faire dans les régles de l'art , je ne posséde pas..........bref, ce n'est pas mon truc.

 

Donc, je préfére m'en remettre à des professionnels qui connaissent parfaitement le job, et surtout qui adaptent les conditions de reprise à leur climat et aux essences prélevées.

 

Les 2/3 de mes arbres ont été prélevés par JL SALLES à l'époque ou il était en activité et je ne peut que m'en féliciter, ce sont les plus beau que je posséde.

 

Pardonne moi Bonsaiphil, mais avec ce genre de raisonnement, il ne faut pas s'étonner que les pro specialisés disparaissent; hier JL SALLES, aujoud'hui L.BRESSE et demain........?

Hello

 

le bonsaï est un mélange de passions, d'émotions, de savoir faire, et j'en oublie surement, mais aussi de budget et de priorités.

Cela fait presque 15 ans que je me suis lancé dans cette aventure végétale, autodidacte (pas facile pour progresser je l'avoue) et j'ai souvent "baver" devant de beaux yamadoris.

Mais mes moyens modestes, ma petite famille, notre maison, ......       ,et mon petit garçon en situation de handicap m'ont fixé d'autres priorités !!!

 

Je n'aurais probablement jamais l'occasion d'exposer un de mes arbres ou même d'obtenir des arbres aboutis.

 

Mais l'ENVIE et la PASSION des petits arbres est toujours présente et, yamadori ou pas, j'y trouve du réconfort.   

 

Et chacun fait ce qu' il veut, mais aussi comme il peut.         :spb95:

 

Pardonne moi Bonsaiphil, mais avec ce genre de raisonnement, il ne faut pas s'étonner que les pro specialisés disparaissent; hier JL SALLES, aujoud'hui L.BRESSE et demain........?

Je partage tout à fait ton avis.

Je sais que les deux derniers arbres dont je fais l’acquisition n’auraient jamais pu êtr prélevés par mes soins, d’abord, je ne vis ni en haute loire, ni en écosse, ensuite je ne compte pas passer des années à massacrer des arbres pour enfin réussir à prélever des survivants.

 

 

Mais bon sang, fabriquez donc vos pots et tablettes vous-mêmes, avant de prétendre faire du bonsai...au lieu de tomber dans la facilité d'acheter des pots tous faits...(humour, je précise)

 

Pareil, je n'habite pas en Espagne, ni même dans les régions intéressantes pour le prélèvement en France. Du coup, je suis privé de yamadori ?

Avec le vivant, ce qu'on achète, c'est du temps. Du temps de pépinière, du temps de travail vers le bonsaï, du temps de reprise post-prélèvement, du temps de recherche du bon matériel.

Faut arrêter de sacraliser les arbres, ce ne sont "que" les supports de notre travail, et ils méritent beaucoup de respect pour çà, mais de là à faire des comparaisons hasardeuses, je ne m'y aventurerais pas...

Pardonne moi Bonsaiphil, mais avec ce genre de raisonnement, il ne faut pas s'étonner que les pro specialisés disparaissent; hier JL SALLES, aujoud'hui L.BRESSE et demain........?

Je pense que ce raisonnement est mal posé.

C'est aux professionnels de convaincre le public de devenir leurs clients, pas aux gens de justifier  leur état de non-client.

 

Faut pas inverser !

un point lanig