Quelle essence pour quel style ?

On nous invite souvent à travailler l’arbre dans le respect de son essence et de son biotope afin de créer des bonsaï vraisemblables et non des standards passe-partout. Mais les formes codifiées représentent également un guide esthétique qu’on ne peut rejeter d’un revers de main. Alors, comment les concilier ? En choisissant quelles essences pour quelles formes ? (et réciproquement)

Le pin sylvestre convient parfaitement à l’esprit du lettré, nous déclare Patrice. Et pour une cascade, un battu par les vents ?

Les indications fournies dans les livres et revues me semblent souvent bien extensives. Et pour vous, quand vous pensez « chokkan », quel arbre vous vient à l’esprit ?

J’aimerais que vous vous limitiez à des essences européennes, SVP.