Prélèvement, une question de neophite

une question qui va peu etre paraitre un peu bebete:

On peut prelever un yamadori en automne ou avant le debourrement au printemps, selon les especes et les zones climatiques.

Comme l’arbre est en repos dès l’automne, qu’il n’a plus d’activité de photosynthese et donc je suppose de circulation de seve (je dis une betise là? :unsure: )quelle est la raison pour laquelle on conseille de prelever certaines essences, (le chene par exemple), plutot vers mars qu’en automne?

est ce du a l’humidite qui pourrait jouer sur les coupes faites pendant le prelement (Si l’on taille en repos de sève la plaie reste béante assez longtemps, les tissus sèchent, se nécrosent et peuvent devenir une porte d’entrée plus aisée pour les parasites .)? Mais n’est ce pas valable que pour les grosses coupes aerienne (et non mastiquée), que perso je ne pratique pas lors du prelevement?

Les temperatures basses d’hiver qui demandent donc une protection des racines?