Bonjour à tous, je démarre dans la formation d’un bonsaï. Je vis dans les Pyrénées Atlantiques, et cette année la nature m’a fait un beau cadeau que je voudrais pouvoir mener en bonsaï. Il s’agit d’une graine d’érable sycomore qui a germé proche d’un camélia. Il a déjà atteint 30 cm et lors de travaux de jardinage je l’ai étêté sans le vouloir. A ma grande surprise il a ramifié à différents endroits. Que dois je faire pour le traiter en bonsaï sachant qu’il est encore en pleine terre ? Merci à tous pour vos bons conseils. Bonne fin de journée.
Salut à toi!
Alors dame nature n’a pas été si sympa que ça avec toi, l’érable sycomore est vraiment peu adapté au bonsai.
D’ailleurs si tu fais un peu de recherche sur le forum, tu en trouveras sans doute pas beaucoup…
Merci Clément, je vais donc refiler le bébé à ma belle soeur qui a un parc où cet érable sera du plus bel effet. Ce serait dommage de le supprimer.J’ai consulté également d’autres sites bonsaï et en effet ce n’est pas évident .
Bonsoir Iguzkian,
Tu peux trouver, via ce lien, quelques éléments de réponse sur l’érable sycomore et sa gestion en bonsaï.
Bonjour Toto et merci pour ta réponse. Celle de Clément m’avait un peu découragée, la tienne au contraire après avoir lu entièrement le lien, me donne envie d’essayer. Je sais qu’il faut beaucoup de patience et de temps. Le sujet que j’ai est tellement joli que je ne me résouds pas à m’en séparer. Bon week-end. Christiane.
Bonjour,
C’est un projet qui m’a l’air très intéressant.
En effet, transformer cette plante en bonsai n’est pas si évident que cela. Mais pas impossible.
J’ai hâte d’avoir de tes retours pour connaître le résultat.
N’oublies pas les photos
Non, non, faut pas se décourager. Tout se tente. Tu ne perdras rien si ce n’est un peu de temps.
C’était juste pour te dire de ne pas mettre tous tes œufs dans le même panier.
Tente le sycomore mais commence en parallèle autre chose avec une espèce plus facile.
Pareil que Clement34. Même si on peut essayer avec des plantes pas super adaptées pour des raisons sentimentales ou autres, pour ne pas se décourager et progresser, il faut aussi cultiver des espèces « faciles » : palmatum, burger, ormes par exemple.