Envisageant de rejoindre le club des amateurs de bonsaï à grandes feuilles, j’ai prélevé un marronnier.
Le nebari le prédispose à la forme penchée. Mais le reste n’a, pour l’instant, pas grand chose d’intéressant. De toutes façons, il va rester quelques années à se refaire une santé ; mais j’aimerais bien des idées, virtuels, infos sur l’essence et autres remarques.
Dans mon imaginaire, un marronnier c’est l’arbre géant qui occupait le centre de la cour de la communale –une vieille école en briques, avec de hauts plafonds, de grandes fenêtres au sommet arrondi, des pupitres en bois, percés pour recevoir l’encrier (qui avait été ôté depuis longtemps déjà) et fleurait bon la cire, les cahiers neufs et la colle blanche (le même parfum que les fleurs de Mahaleb)
Amis hippocastanaçologues (ou hippocastanologues ? ), merci d’avance !