Dans ma campagne, il y a quelques temps de cela, les vieux ne pouvaient pas apercevoir un lierre grimpouiller dans un arbre sans dégainer leur serpette (ou leur serpe) et trancher net le col au jeune (ou moins jeune) impudent.
Aujourd’hui, le mot d’ordre a changé : la liane (au fait, c’en est bien une ???) ne nuirait en aucun cas à son support végétal et même lui servirait un peu de béquille l’âge venant. Et, une fois l’arbre au paradis des arbres, aurait encore la bonne idée d’aider à débarrasser la place des restes de la dépouille mortelle.
Mais il semblerait que les forestiers perpétuent le geste trancheur : vieille habitude ? culture passéiste ? méconnaissance ? ou … sylviculture avisée ? Le lierre nuirait-il au développement harmonieux du fût ? au veinage de son bois ? ou autre ?
Yatikékunkissait ?