On m’a fait part de cet extrait de "Ma vie avec Mozart" de E E Schmitt.
"Quelle que soit l’admiration qu’on marque, on est toujours gêné lors des expositions de bonsaï(s), on a mal pour eux, pour leur racines amputées, leurs branches tordues, leur soif trompée, on ressent la violence infligée à la nature, l’entorse au développement, on éprouve du ressentiment contre le bourreau esthète qui a triomphé d’un plus faible que lui…"
Je laisse à votre méditation, et à votre clavier…