Bonjour et merci pour vos commentaires très intéressants 
Dans la mesure où les arbres ont la capacité de se régénérer, tout est possible... mais j'aurai pu dépenser quelques euros de moins si j'avais voulu partir d'un tronc brut pour tout reconstruire ce qui serait nécessaire en changeant de face (le nebari est moins large, le mouvement est moins beau et l'inclinaison du tronc n'est pas terrible sur la face que tu montres Clem).
Qu'est ce que est le plus important: le parcours ou la destination ? peut-être que les deux sont d'importance égale...on se forme en formant l'arbre, on apprend mais le résultat final est aussi très important; je trouve qu'à force de faire et de défaire, on peut facilement tourner en rond lol !
Sur photo, il n'est pas toujours aisé de voir l'arbre comme il est en réalité et c'est toujours plus facile de couper que de faire pousser (de nombreux coiffeurs ont raté leur voie lol).
Le plus difficile serait de savoir quoi laisser et de connaître ses limites et celles de l'arbre et de faire du mieux avec ce que l'on a (en l’occurrence ici, un arbre avec 40 ans de culture en pot qui je ne travaillerai pas comme un yamadori ou un arbre à 50 euros par exemple).
Je discuterai de cette bosse avec un N3 ou quelqu'un d'expérimenté. Je ne comprends pas pourquoi elle est là si, selon vous, c'est si facile de la couper et de la faire cicatriser. Son dernier propriétaire est loin d'être un néophyte et avant lui, l'arbre a du passer entre les mains de plusieurs personnes expérimentées. La coupe à du avoir lieu il y a longtemps et les lignes de la coupe originale sont visibles à environ 3 cm sous la bosse. D'après ce que j'ai pu lire sur le site internet de Peter Tea à propose des Buerger, si on coupe à plat, la cicatrice forme un bourrelet comme c'est le cas ici (ce qui, dans certains cas peut être recherché) mais si on coupe de façon concave, on obtient une cicatrisation plus plate...
Affaire à suivre
Salutations
Le Sabi